36 tubeless? Avec quel pneu ?
J’avoue que la différence de maintien sur ma 36" n’est pas flagrante. On sent bien la différence de masse cela dit.
Par contre, la différence sur ma 29S a été assez impressionnante. Mon niveau a grimpé en flèche simplement en changeant la chambre, car j’étais beaucoup plus stable sur mes réceptions. Chose que l’on n’a donc pas en 36.
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Après une autre sortie sur le halage de 24km/1h40 (incluant les pauses et le bonheur d’un mini-col #Normandie 
), je commence à prendre mes marques sur le 36 même si il va falloir un peu de temps pour atteindre l’aisance et la cadence comme avec le 29.
Par contre, j’ai eu le temps d’identifier quelques détails à améliorer:
1) Confort pour les cas d’urgence
CommeComme la toute première sortie s’est soldée sur un double échec (perte de pression + manque de pompe), le remède était évident: avoir une pompe dédiée au mono. Un petit bout de bois a suffit pour faire adaptateur entre la Urslibar et le support de la pompe (en rallongeant les vis).
2) Confort pour les pieds
Les pédales alu présentent sur la photo de montage initial n’avaient vraiment pas d’accroche (ce qui n’aide pas pour une nouvelle situation). Les Neatt ont des plateformes larges, des picots qui tiennent même les mauvaises chaussures et sont ridiculement peu chères en promo 
3) Confort pour les genoux
Les genouillères Endura sont super en terme de maintient et de confort même à 30° sous un pantalon !
Par contre, j’ai parfois les coutures intérieures en bas de la genoullière qui se font remarquer. La solution: glisser une chaussette basse en coton sous la genoullière. Et en bonus, ça sert de clim 
Je suis encore en réflexion pour un point 4 au niveau de la selle mais il va falloir attendre un test à la prochaine sortie avant de détailler ici.
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Semi-hors-sujet : depuis quelques temps, quand je pédalais sur ma 29S ou ma 36S, j’entendais des craquements. Je les sentais également dans les pieds. C’était assez désagréable.
En début de semaine, j’ai passé un coup de WD-40 sur les pédales (auto sur les 2 monos bien sûr)… Et plus de bruit ni de grincement 
C’est du bricolage de haut niveau, n’est-ce pas ? 
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Dans la série « je sais pas bricoler, je comprends pas pourquoi ça fonctionne pas ». Je parlais dans un autre message de mon frein tout mou après une purge. Eh bien, figurez-vous que les articles, manuels et vidéos expliquant comment purger oublient un détail fort important, qui est inné aux vélos : il faut que le levier de frein se situe en hauteur par rapport à l’étrier. Sinon, les bulles restent coincées au niveau de l’étrier, et on a beau rajouter du liquide, le frein reste mou
Il se trouve que, moi, peu réfléchi comme je le suis, je posais mon mono en équilibre sur le prolongateur et le pneu, accolé à une table. J’injectais du liquide par l’étrier, comme il est prévu de le faire. Je voyais du liquide sortir de l’autre côté, mais quasiment pas de bulles. Et le frein restait tout mou.
À un moment où j’ai inséré la seringue puis dévissé la vis de purge, j’ai vu une bulle remonter dans la seringue. Et alors j’ai compris… 
En mettant le mono dans le bon sens, debout contre le mur, le problème a été réglé en 2 minutes. Ça semble freiner beaucoup plus sec désormais ! Faudra que je teste ça demain, mais ça devrait être beaucoup plus agréable. Attendez-vous à me voir faire un soleil !
Allez, à la prochaine pour les aventures de « Je m’appelle Maxence, je sais pas bricoler, mais j’essaie quand même ! ».
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Je ne sais plus quelle émoticône utiliser… 
En vrai, c’est si simple pour un vélo et si chiant à faire pour un monocycle…
Avec les freins HOPE, il y a un réservoir tu ne peux pas ajouter du liquide avec une seringue, c’est plus contraignant mais tu ne peux pas « faire » la purge dans n’importe quelle position. Le levier de frein doit être droit.
En général, je cale le levier de frein dans mon établi, mais il faut que je fasse attention que ça ne tire pas trop sur la durite… vu comme c’est plaisant à faire, j’en profite pour lubrifier les pistons (et si possible je le fais quand je dois changer les plaquettes…).
Enfin, en général ça se passe bien, mais j’ai un ou 2 freins (oui, j’en ai toute une collection ) qui ont moins de mordant, ils doivent avoir un problème que je n’ai pas identifié, mais ça ne m’empêche pas de tenter de régler le problème avec une purge (+ lubrification des pistons) quand je dois changer les plaquettes… 
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Et pourtant une des plus grosses légendes urbaines de l’entretien vélo est qu’il ne faut jamais retourner un vélo à frein à disques à huile, sous peine de perdre son freinage.
En effet en le manipulant ainsi, les bulles d’air pourraient migrer vers l’étrier et rendre le freinage spongieux. Sauf que ça n’arrive que si le frein nécessite une purge et on s’en rend compte bien avant.
A monocycle, on sait bien que ce n’est pas de retourner la bête qui gâche le freinage. Sinon les munistes termineraient toujours à pied.
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je m’en suis rendu compte cet été 
J’avais le mono sur l’épaule pour monter dans la montagne, arrivé en haut je pose le mono, je monte dessus et là le frein est super mou. Au début je comprends pas puis je freine plusieurs fois sans être sur le mono et le levier de frein reprend son freinage habituel, j’ai donc compris qu’il devait y avoir eu une belle bulle qui se baladait
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D’ailleurs à propos de frein j’en ai une belle qui m’es arrivé.
J’ai mis de côté un frein à disque hydraulique qui fuyait. Puis je regarde un peu l’étrier et je me rend compte qu’un des pistons est pas droit et qu’il semble plus sorti que l’autre. Le piston a finit par me tomber dans la main avec évidemment le liquide de freinage au passage. Je sais que ça se remonter à condition de faire attention au placement du joint mais j’ai essayé de démonter l’étrier et impossible, c’est trop bien vissé. Vous auriez des tips ?
Je peux envoyer des photos si besoin
C’est des visses torque mais avec un point au centre
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J’avais déjà vu ce type de vis, mais je ne m’y étais jamais vraiment intéressé. Il semble que ce soit des vis dites « inviolables ». Elles nécessitent un outil spécifique pour être desserrées. Bon courage pour trouver le bon outil ! Peut-être dans une quincaillerie ?
j’ai la tête de visse nécessaire mais c’est juste super serré
Je me demande si c’est pas voulu justement mais du coup jsp comment remonter mon piston…
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Tu n’y arrives pas même en utilisant un levier ? Une clé à cliquet bien longue par exemple. Récemment sur un de mes monos, une vis de fixation de l’étrier sur l’adaptateur était tellement serrée que j’ai dû rallonger ma clé à cliquet avec un tube. J’ai rajouté quasi 20cm, la vis s’est desserrée sans effort 
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Tu peux aussi chauffer la vis, et/ou utiliser une clé à choc.