Ce weekend, il fait beau!
Et notamment la nuit passée, il n’y avait pas de vent, il faisait sec et les températures étaient correctes (6-7°C).
Du coup, j’ai pris le train direction Carentan, arrivée 18h08, puis retour à Cherbourg par la voie verte.
Cette voie verte est une ancienne voie ferrée réaménagée, donc plate, avec un (assez) bon revêtement en stabilisé. Bon, en l’occurrence, au vu de la météo récente, la terre était régulièrement abîmée (petits trous, boue, feuilles et branchages).
Donc, pas possible de partir à fond, mais je pouvais régulièrement me mettre à plus de 25, avec des portions ou 20 de moyenne c’était déjà un peu limite.
Sur la fin de la sortie, on quitte l’ancienne voie ferrée et on passe dans des chasses (chemins) assez pourris, dont un que j’ai dû faire à pied.
Au final, 75 km, à 90-95% de nuit, j’ai croisé 4 personnes, une dizaine de lapins et roulé 4h20.
Très bon ! Je vois tout à fait l’itinéraire ; avec passage sous la quatre voies dans une espèce de tunnel…
Exactement, c’est la partie pas fun
Coucou ! Moi je suis complètement partie en roue libre ce weekend. 
J’ai mis quelques messages sur unicyclist.com, je mets le dernier ici en français.
Voici la carte des 3 sections où j’ai fait 3 coasts de plus de 1km hier :
La carte topographique pour visualiser le relief près du cours d’eau (la flume) :
La 1ère section (1400 m)
La première section est la plus facile, avec une pente très douce et des vitesses presque toujours comprises entre 18 et 22 km/h. La partie la plus difficile est la section plus plate, où ma vitesse a chuté à 12 km/h.
La 2ème section (1050 m)
La 2ème section est la plus irrégulière en termes de pente, mais c’est aussi la section qui a le revêtement le plus récent. Il n’y a pas de trou, c’est du billard.
Il y a plusieurs difficultés : un virage relevé (heureusement) dans une pente assez raide, suivi d’un plat où la vitesse tombe en dessous de 10 km/h, et une dernière partie où on reprend pas mal de vitesse (28 km/h pendant 15 secondes hier 
). C’est la section où les sensations sont les plus fortes.
La 3ème section (1350 m)
La 3ème section est sur une route de mauvaise qualité, avec des courbes qui manquent de visibilité. La pente est plus régulière que celle de la section 2 (et moins que celle de la section 1). Lorsque je suis tombé (sur mes pieds), il restait environ 350 m à parcourir jusqu’en bas, dont au moins 100 m à environ 25 km/h. C’est sur cette section que je pourrais dépasser le « mile » (c’est mon nouvel objectif, maintenant que le kilomètre est passé 
).
Vendredi, j’ai commandé un drone hoverair x1, j’espère pouvoir capturer et partager des images intéressantes d’ici quelques semaines. 
Bravo @toutestbon !
Hâte de voir des images…
Okay, là, voilà, beau cas d’usage de la roue libre ! Là je me dis que j’ai envie de me mettre à la roue libre ! 
Et puis
1/ j’arrive toujours pas à dépasser les 30m en coast « normal » (pieds sur le cadre) en 20 pouces
2/ parce que ça semble plus facile de trouver une longue ligne droite plate qu’une longue descente favorable au glide…
Je ne sais ni faire du wheelwalk, ni glider et mon record de coast avec un mono classique doit être d’environ 10 m (coup de chance). Et je n’y arrive plus…
Je ne sais pas non plus faire de roue impossible…
Tant de techniques que je ne maitrise pas
Dès que la pente est plus prononcée, c’est compliqué de faire du coast en roue libre… le glide a surement un éventail de pente plus grand.
J’ai lu qu’un certain Brett Bymaster glidait jusqu’à 40 km/h… il devait pouvoir descendre un col de montagne en glidant
L’avantage de la roue libre, c’est qu’on peut se balader loin avec une grande roue genre 29" pour aller jusqu’ à ses spots de coast préférés. Ce qui est moins évidemment avec un 20" avec lequel on a l’habitude de glider ou une roue impossible sur laquelle on ne peut pas s’assoir.
Avec la roue impossible, impossible ! 
Mon frère m’a motivé à aller rouler hier matin avec un de ses amis. Eux sur 2 roues, moi en 36S. Rendez-vous à 7h, pour un départ avant l’aube afin d’être rentrés pour travailler. Au programme : un aller-retour jusqu’à Neuville-sur-Saône depuis Lyon, en suivant la Saône. Une quarantaine de kilomètres en comptant le trajet jusqu’au point de rendez-vous.
J’ai appris 3 trucs :
- 7h, c’est tôt. Et il faut se lever encore plus tôt pour être à un rendez-vous à 7h.
- Si on veut avoir le temps de digérer, il faut se lever encore plus tôt ! Mon corps n’a pas aimé mon petit-déjeuner, j’ai eu l’impression que j’allais vomir à un moment.
- Je suis tout rouillé. Pointe max aux alentours de 35, et pas un segment au-dessus de 27. J’ai même eu du mal à suivre mon frère et son ami sur le retour
Au programme cette année : des sorties un peu plus longues et régulières que ce dont j’ai eu l’habitude ces dernières années. Faudrait pas que je déshonore mon futur cadre Flansberrium en n’étant pas à la hauteur !
Allez, je me lance (j’ai coutume de vous faire grâce des trajets journaliers, des petites sorties de 10 - 15 km, ainsi que des 3h d’entraînement hebdomadaire au monobasket), mais là, j’ai eu l’occasion de refaire une sortie un peu plus conséquente en 36" (avec mes roulements tout neufs) ; j’avais une course à faire à Bordeaux : un AR d’env. 40 km en circuit urbain, avec un moyenne pépère à 19 km/h, et une petite pause d’1/2 heure. (Avec les 2 AR au collège de ma fille, je totalise + de 50km dans la journée). Je n’avais pas fait de telles distances depuis l’été dernier. Ça fait du bien, c’était cool, juste un peu stressant au niveau des passages des gros rond-points ! 
Tu es une lampe?
19 lm/h, c’est pas brillant ! 
Aujourd’hui, pour préparer les 24h de l’INSA et le gravelman, c’était sortie longue.
Au programme : 170 km dans le cotentin, en suivant l’euro vélo 4 au départ de Cherbourg.
Finalement, j’ai arrêté à 150, afin d’éviter la dernière partie qui passe par des chemins très mal entretenus et car j’avais du mal à m’alimenter (nausées depuis une vingtaine de kilomètres).
Et ces 150 km ont été réalisés en 7h45 (6h50 de temps de déplacement). Autrement dit, il « suffit » de faire trois fois ça au même rythme pour aller battre le record de 453 km (après il faut que ça soit homologué et ça c’est une autre paire de manches)
Il « suffit » de maintenir une vitesse moy. mini de 21,5 km/h durant env. 22h / 24 h consécutives, facile !
Non, juste 20,5 pendant 22h.
Mais en schlumpf, je roule facilement à 22-23.
En roulant à 22,7, ça fait 20h de déplacement, soit 4h de pause.
22,7 km/h de moyenne et 4h de pause /24h, avec le schlumpf c’est possible, tu as raison. C’est juste que tu m’as fait rire : tu dis « il suffit » là où n’importe qui dirait « il faudra tenir » et ça traduit clairement ta détermination farouche ! Tu vas y arriver Aurélien, devenir le futur détenteur du record mondial de distance parcourue en 24h et on sera tous super fiers pour toi ! Bon courage pour ton entraînement et assure-toi bien que ton record sera homologué…
Je n’ai pas mis les guillemets pour rien, c’est faisable, mais clairement pas simple. Hier j’ai galéré sur la fin, principalement pour cause de nausées, et j’étais bien fatigué, donc encore deux fois ça c’est très conséquent. L’avantage c’est que je ne subirais pas le dénivelé ni les chemins pourris.
Ça c’est la partie compliquée, sur les 24h il y a à priori deux points bloquants : On ne peut pas me voir en continu, et il peut y avoir du drafting. J’ai discuté avec Klaas Bil de tout ça, mais ça risque fort d’être compliqué.
Au pire, j’aurai le record non officiel (si j’arrive à aller au bout).
Pour le drafting, à priori il n’y a rien à faire, mais pour qu’on puisse te voir en continu, est-ce que tu ne pourrais pas être suivi/filmé par un vélo ?
Mais si la question légitime du drafting s’avère rédhibitoire, inutile de se compliquer la vie
Ça me paraît très compliqué au niveau organisation. Déjà parcequ’il faut des gens motivés pour me suivre pendant tout ce temps, et il faut que l’organisation des 24h soit d’accord, etc, bref très compliqué
À mon avis c’est une erreur de faire des multiplications basiques pour extrapoler à la distance parcourue sur 24 h… Je suppute qu’au bout de 10, 15 ou 20 h beaucoup de nouveaux facteurs entrent en jeu qui peuvent potentiellement faire chuter la vitesse moyenne.
(voir mp pour avancer sur une éventuelle homologation d’un éventuel record)