Raconte ton dernier entraînement !

J’ai été faire un tour de muni tout à l’heure.
Et j’ai découvert que les 29 ça a un gros défaut: On est très haut. Résultat: Quand il y a des branches parfois, même penché on tape. Et j’ai aussi découvert que les t-bar longs ne sont pas adaptés au muni, car quand on se cogne la tête, la poignée est en face de la pomme d’adam, et c’est pas très agréable.

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Effectivement, mais j’ai parfois moins de mal à faire des drops en 29 qu’en 27"5. J’ai toujours pas trouvé la raison… :thinking:

Un jour, tu essaieras aussi la 36 en Muni. Et tu verras à quel point la 29 est basse, finalement :grin:

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Ca veut dire que je vais me prendre plus de branches dans la gueule ça…

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C’est surtout que c’est plus dans la gueule que tu te prendras les branches !

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Aujourd’hui j’ai fait 120 km avec 650m de d+, c’est déjà fatiguant alors 215 km avec 2150m de d+ ! :hot_face:

Le vent de côté tout chargé c’est pas cool !
Il faut dire que la nuit derrière j’ai pas fait ma meilleure nuit… à la belle étoile sans tarp… J’ai fait cette virée pour me reconnecter à la nature, et je crois que la nature l’a bien compris. J’entendais les animaux de la fôret, un chevreuil m’a approché… je l’ai senti bondir quand j’ai fait un bruit. Ensuite, je crois que j’ai commencé à mélanger la réalité et mes rêves… Un autre animal est venu, et après ça j’entendais des hordes de sangliers défiler sur le chemin à côté de moi… :rofl: Puis j’ai pensé au loup qui revenu dans le coin, et je mettais les mains sur mon cou pour me défendre.
Puis le soleil est revenu trop vite… :zzz:

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J’ai connu des situations similaires en Suède.
J’étais en hamac protègé par un tarp, mais j’entendais des bruits de courses d’animaux et des aboiements. J’avais très peur que ce soit des élans ou des chevreuils poursuivis par des chiens voire des loups, et je craignais qu’ils ne me foncent dessus accidentellement.

J’ai appris par la suite que les chevreuils aboient, c’était donc juste un groupe de chevreuils qui couraient autour du campement.

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Rien d’aussi impressionnant que la balade de @toutestbon pour ma part pour ce lundi férié!

Juste un trajet de 18km pour rejoindre la famille à la piscine. Principalement sur piste cyclable sauf la fin le long d’une route à 90.
C’était un peu vallonné, environ 180m en D+ et 190m en D-, à environ 14 km/h de moyenne

Quelques difficultés avec le combo vent (rafales à 30/40 km/h) + dévers de certaines bandes cyclables, mais tout s’est bien passé. J’ai juste terminé la côte presque finale à pieds, entre la perte de vitesse et d’équilibre sur la montée + les voitures à 90 km/h juste à coté, je n’étais pas super serein :slight_smile:

Dans tous les cas j’ai remarqué qu’en partant avec de l’eau légèrement sucrée dans la poche à eau, j’étais plus efficace à rouler, et je bois beaucoup moins. J’avais tendance à boire beaucoup d’eau pour compenser les pertes d’énergie, sans grand succès, j’aurai peut être du réfléchir avant à ça :smiley: . J’ai aussi vachement moins faim à la fin de la balade.
A voir donc sur des plus longues distances si ça fonctionne aussi (les plus expérimentés ici sauront surement me le dire en avance :D)

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Ça fonctionne ! Mais il ne faut pas mettre trop de sucre et ne pas boire que ça durant la journée. Je l’ai fait durant l’Unicon, j’ai eu mal aux dents pendant plusieurs jours après :laughing:

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Je dirai que oui c’est efficace (voire important), mais perso je préfère avoir de l’eau plate dans ma poche à eau et de l’eau sucrée dans une gourde à côté, le sucre peut être très écoeurant autrement et t’empêcher de boire. (J’aime bien mettre du sirop de menthe perso).

Un autre problème de l’eau sucrée c’est que si tu en abuses, ta glycémie va faire des montagnes russes voire te mettre en hyperglycémie (et c’est pas bon du tout).

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Merci pour les conseils!

J’avais mis du sirop de fraise, mais pas trop dosé pour éviter l’écœurement du sucre, mais c’est vrai que je n’avais pas d’eau plate en plus pour compenser. Et ça permet d’éviter l’hyperglycémie j’imagine aussi, en gérant l’apport en sucre mais aussi une hydratation classique en parallèle?

Sur des trajets courts comme j’ai fait (1h15 max) j’imagine que ce n’est pas trop gênant, mais ça le sera surement sur des trajets de plusieurs dizaines de km.

Et en effet, il faut aussi penser aux caries :sweat_smile:

@toutestbon m’avait partagé cette page qui liste quelques boissons énergétiques à préparer soi-même : Les boissons énergétiques maison - diet-sport-coach.com

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Il y a aussi des recettes intéressantes sur https://www.nicolas-aubineau.com/

Pour les efforts « courts » (<1 h), tu peux y aller sur les sucres à index glycémique élevé (glucose). Mais pour les efforts plus long (>2 h), si tu veux t’alimenter dans ta boisson, il vaut mieux limiter le glucose et favoriser le fructose qui a un index glycémique bas (il y a en pas mal dans le miel et le sirop d’agave). Entre 1 et 2 h tu peux faire des mélanges.

Après quand tu roules toute la journée, je préfère avoir de l’eau et de la nourriture solide. Mais il vaut mieux éviter les sucres à index glycémique élevé et s’alimenter régulièrement. Hier j’ai eu un petit coup de mou vers 19h. Il faut dire qu’à 13h, j’ai mangé un panini au fromage, des fraises, un pain aux raisins vers 15h et un jus d’abricot à 17h. J’aurais du manger mon sandwich au thon avant d’avoir un coup de mou. Le matin, je me suis enfilé des viennoiseries… bref, trop de sucres rapides et pas assez en quantité totale. Pour les Pyrénées, je vais essayer de d’éviter un max les sucres rapides dans la journée quitte à me rattraper en fin de journée, et surtout manger manger manger !
Quand on fait des journées à 5000kcal, ce n’est pas le moment de se mettre au régime.

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Tout à fait d’accord avec ce qui a été dit. Il faut aussi manger à chaque fois que le corps est « au repos », donc en gros en haut de toutes les côtes, et parfois il faut savoir se forcer (j’en ai fais les frais sur mon 200).

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Merci beaucoup pour les infos! N’ayant jamais été sportif « intensif », j’ai aucune idée de comment boire/m’alimenter sur un effort selon la durée, donc je prends note de tout ça!

J’avais bien vu sur les trajets de 50km que j’ai fait l’an dernier que juste eau plate + barres de céréales aux pauses n’était pas optimal, et je finissais les trajets totalement vidé de mon énergie.

Pour l’instant j’essaye de reprendre des « habitudes de roulage » sur des trajets plus courts, n’ayant pas ou peu roulé depuis octobre dernier (et avec au passage une chute et une blessure), mais j’aimerai vite repasser à des balades de plusieurs heures. Et c’est là que tous vos conseils me serviront :slight_smile:

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Comme promis, un point après un mois et demi en 29" x 89 mm : finalement je ne suis pas repassé en 100 mm, car un fois l’adaptation terminée et les habitudes en place, je me sens bien en 89 mm, ça me convient très bien et je prévois même de raccourcir encore : je vais tester des 75mm…

C’est vraiment top une fois lancé, pour rouler vite sur plat, sur route, ou sur piste, avec un sol régulier et sans vent. Avec du vent ou du faux plat, il faut continuer d’appuyer fort (un peu comme au démarrage, pour emmener la machine) et on perd pas mal de vitesse, mais c’est un très bon exercice d’endurance et de renforcement musculaire, ça fait les cuisses et les mollets !

Par contre, vu qu’on a besoin d’appuyer plus fort par moment, il est impératif de pouvoir compter sur l’adhérence de ses pieds sur les pédales : des pédales avec un très bon gripp, c’est vraiment indispensable ! J’en avais acheté des « sympa », on ne va pas les nommer ici, mais elles n’ont tenu que 4 jours :thinking: Il faut vraiment du costaud ! Depuis, j’ai récupéré une vieille paire de pédales en alu, légères et indestructibles, et je les ai améliorées à ma manière (la plateforme comprenait 4 trous sur chaque face, qui devaient certainement servir à la fixation des réflecteurs. J’y ai vissé des petits boulons en guise de picots, tout simplement) et ça marche nickel : comme les têtons sont filetés, j’obtiens un super gripp malgré un diamètre plus fort ; le contre écrou réduit aussi la longueur des picots, ce qui les rend moins blessants pour les tibias et économisera certainement les semelles ! :yum:

Avec ce genre de pédales, les UPD sont encore plus rares ; au début, ça arrivait à la moindre déformation du sol, sans que je le vois venir et sans que comprenne vraiment pourquoi, et c’était très désagréable. En fait, c’était dû à la perte d’adhérence avec les pédales.

Conseil : manivelles courtes > pédales avec gripp !

L’idée des pédales autos s’impose petit
à petit, mais je ne fais jamais de vélo et je n’ai donc pas le temps de m’y entraîner (j’en aurai une paire sous la main, je l’aurais certainement déjà mise sous le pied)… :wink:

Les montées restent beaucoup plus difficiles : on est plus haut et il faut appuyer plus fort, les premiers tours de pédales sont vraiment laborieux ; on va donc préférer un sol régulier et lorsque l’on est chargé, on n’hésitera pas à s’aider d’un poteau, pour se hisser.

Je ne ressens toujours pas le besoin d’un frein sur plat, y compris en ville, où je préfère anticiper et poser le pied si besoin ; à terme néanmoins, il sera le bienvenu, car j’avoue que comme la montée, la descente n’est pas toujours aussi gracieuse que je le souhaiterais ; le dernier petit coup de rétropédalage ne suffit pas toujours pour arrêter complètement la machine, et alors que tes deux pieds ont déjà atterri sur le sol, la poignée t’échappe parfois des mains, ton monocycle te file alors entre les pattes et poursuit sa course sur environ un mètre, le temps que l’arrière de la selle frappe violemment le sol et stoppe lamentablement sa course ! :roll_eyes:

Bon, on n’a rien sans rien ! :rofl:

L’idée d’un guidon s’impose aussi progressivement, mais court, car je souhaite que mon 29 de tous les jours reste compact.

Pour l’heure, même sans guidon et sans frein, j’ai considérablement augmenté ma fréquence de pédalage et j’ai sérieusement gagné en vitesse : sur piste, je double de + en + fréquemment les vélos. :grin:

Ces derniers temps, alors que normalement je l’adore, j’ai un peu boudé mon 36" et je le voyais prendre la poussière. :disappointed_relieved: Alors l’autre soir, je me suis fait une petite sortie… Waouh ! Ça m’a fait vraiment très bizarre, j’avais déjà perdu l’habitude !? 114 mm, ça m’a paru looong, et j’avais l’impression de devoir me déhancher pour mouliner !? :rofl: Du coup, j’avais du mal à trouver mon équilibre latéral, ça m’avait jamais fait ça auparavant !? A moins que ça ne soit l’augmentation de ma fréquence de pédale qui m’a empêché de trouver aussi facilement l’équilibre qu’auparavant, peut-être aussi, et ça prouverait que je progresse ; au bout de quelques kilomètres, mes sensations sont revenues, l’équilibre aussi, mais avec la vitesse en plus (entre 21 et 22 km/h), cétait bien ça, la fréquence de pédalage du 29 rapporté sur la roue de 36, c’était bon ! 36 pouces, quand on commence à l’emmener fort, c’est vraiment impressionnant ! :grin:

Pour le tout courant, je vais donc essayer de passer en 29x75 mm, pour le fun et je ne manquerai pas de vous en dire des nouvelles…

PS : le porte bidon est de + en + utile, je ne le sens quasiment pas et je le recommande à tous !

:peace_symbol::dove::white_flag:

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Un petit tour de 60km/800D+ hier. En 36/125, j’ai trouvé ça fatigant dans les derniers coups de cul, j’avais les ischios bien entamés. Habitué de parcours moins plats, je vois bien que le plat me pose problème: les appuis/frottements sur l’avant (sous les testicules) sont un vrai problème. Je roule avec cuissard sur une selle KH Fusion One plate, ce que j’ai testé de moins pire. Grosso modo, sur un parcours facile (moins de 1000D+ aux 100km) je me vois bien faire 100, 200 ou plus de kms car pour moi c’est physiquement accessible. Par contre, c’est juste de la torture tellement ça appuie et ça chauffe. Je vais retester avec une selle de vélo, voir si mon équilibre s’est suffisamment amélioré pour que ce soit envisageable de rouler ainsi.

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Bon, je vais avoir besoin d’une explication. Pourquoi ?


Pour préparer mon prochain voyage à mono que je ferai en pédales plate, je me suis dit qu’il me fallait faire quelques kilomètres avant pour m’entraîner. Hier, j’ai donc sorti le mono pour aller au lac : 18 km aller, avec un petit col au milieu : celui de la Chambotte. Il existe aussi un autre itinéraire, mais il rajoute pas mal de kilomètres pour finalement juste éviter le col. Pas d’intérêt donc :stuck_out_tongue:

À l’aller, le col est assez facile : 6,5 km à 4% de moyenne. Au retour, ce sont 5 km à 8,3%. Il y a également une autre montée de 2,5 km à près de 9% à la toute fin.

https://strava.app.link/OCRMIXqSlAb

https://strava.app.link/L9M3SmsSlAb

J’en reviens donc à ma question : pourquoi des monocyclistes font-ils des cols en pédales plates ? Il faut être fou pour faire ça, c’est beaucoup trop dur :scream:

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Il faut être fou pour monter un col à monocycle, avec ou sans pédales automatiques ! :rofl:

A présent qu’avec des manivelles courtes, il m’arrive aussi de devoir appuyer fort, je comprends l’intérêt des pédales auto et je ne doute pas de leur avantage. Mais lors de l’ascension d’un col, à tout moment, on peut atteindre ses limites et vouloir descendre brusquement du monocycle (comment déchausser lorsqu’on est en danseuse dans une montée à 8 %), voire de trébucher et de tomber en avant ! L’idée d’avoir les pieds accrochés aux pédales dans ces circonstances, je suis pas certain que ce soit de nature à motiver les troupes pour sauter le pas ! :yum: :rofl:

Comme sur du plat : en tournant les pieds ;p
Il n’y a pas vraiment de difficulté supplémentaire en montée. D’autant plus que tu es plus proche du sol si jamais tu tombes en avant. Ça fait moins mal ! :grin:

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Ce matin, nouveau record perso sur mon trajet mono-taf:
24 de moyenne sur 6,3 km (avec le vent dans le dos) et 25,5 sur la première moitié (après il y a un secteur pavé, un secteur avec des virages serrés, un secteur en travaux avec une voie très fine et aucune visibilité puis passage sur la route et entrée sur site (donc pied à terre).

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