Oui, c’est ça. J’avais juste retenu que c’était un prénom de cagole qui finit en « a »
Ma mère s’appelle Cinthya
Résumé
Edit : trolling mode activated
En résumé, les pédales ice fast sont jolies, pas trop chères, mais elles ne pardonnent pas en cas de contact avec les tibias !
Une autre boucle de 50km en bord de Loire aujourd’hui, cette fois en direction de l’Est de Nantes. 25 km > pont > 25km.
Les 6 ou 7 premiers km étaient en ville, le temps de rattraper le chemin de halage, ensuite des chemins plutôt sympas, je suis parti à 7h45 donc il faisait encore frais, personne nulle part, le paradis!
Comme la dernière fois sur cette distance, j’ai eu un coup de mou vers les 35km, mais cette fois ça n’a été que temporaire, et j’ai eu beaucoup moins de mal à terminer le trajet.
Les 15 derniers km étaient moins rigolos niveau route, entre la piste cyclable le long du périph nantais, de la ville et de la grimpette pour terminer!
Et je me sens même moins vidé de mon énergie cet après midi, la dernière fois j’étais en pls pour la journée!
Plus qu’à prévoir un nouvel itinéraire pour la prochaine!
Bonus : j’ai croisé Martin sur le trajet, pas le monocycliste par contre, la dépanneuse du film d’animation « Cars »
Peut-être que les organisateurs classifient le mono comme une «mobilité dure»
De moins dures me moulurent et m’eurent !
Avec 2 MonO’gre et @Chonky (lui en vélo ), nous avons participé à la STL VTT. Une randonnée VTTiste nocturne aux alentours de Lyon, à laquelle j’avais déjà participé en 2018. J’en avais parlé dans le Girafon n°13
Cette année, nous étions inscrits pour la randonnée de 50 km. Enfin, officiellement. Officieusement, elle en faisait 58. Quelques kilomètres qui, au milieu de la nuit, ne sont pas si évident à parcourir ! En pratique, il se peut même que l’on ait rajouté quelques kilomètres, portant le compteur total à 65. La cause ? Un orage, une pluie diluvienne, un sentier ascendant s’étant transformé en torrent et nous empêchant de monter (même à pied, c’était impraticable, on en avait jusqu’aux mollets et elle était glacée - j’ai traversé pour vérifier !). On a dû faire un grand détour pour récupérer la trace plus loin.
Autre problème : la batterie de nos frontales. On se pensait large, mais avec le temps capricieux et les détours, nos batteries ont fondu. Aux alentours de 23h, j’ai vérifié la charge restante : 11% ! Alors qu’elle était complètement chargée au départ. C’était stressant. À partir de ce moment, je suis passé en mode super-économie : lumière au minimum, et extinction dès que le terrain était lisse et qu’un collègue ou que des lampadaires m’éclairaient. Pas serein du tout en sachant à ce moment qu’il restait probablement 25 ou 30km à parcourir. Finalement, en gérant bien, j’ai pu tenir les 4h restantes avec ma frontale. J’ai même réussi à rentrer chez moi, à 30 minutes du lieu d’arrivée !
Outre l’orage gelé, on a évité la grêle qui est tombée sur d’autres cyclistes, plus avancés et plus en altitude que nous. On a quand même pu observer les tas de grêlons sur le bas-côté en arrivant en haut.
J’ai aussi eu droit à une petite crevaison, sans chambre à air de rechange (oui, on était très bien préparés). Heureusement, après quelques minutes de galère, on a fini par trouver le trou et la rustine a tenu. Ouf !
J’ai aussi fait une grosse chute sur le visage. Première fois que ça m’arrive, j’ai pas trop compris ce qu’il s’est passé. Il semble que j’ai roulé sur un caillou que je n’avais pas vu, j’ai été propulsé sur le côté gauche, face la première. Malheureusement, je portais uniquement un casque léger, pas l’intégral. Je ne pensais pas en avoir besoin, étant donné que le parcours ne possédait pas trop de descentes dangereuses (on a tout passé). Le casque a tout de même amorti un peu la chute, mais ne m’a pas empêché d’être sonné ni de me râper le côté gauche du visage !
Un aperçu du trajet de la rando (en rouge) et le trajet que l’on a fait (en bleu) :
Au final, on est donc arrivés vers 3h du matin, après 7h à crapahuter dans les Monts du Lyonnais. Une expérience que l’on n’est pas prêts d’oublier. Et je crois que, malgré l’orage, la pluie glaciale et nos errances, on a tous hâte d’y retourner !
Je regardais justement les casques intégraux avec mentonnière amovible sur le net tout à l’heure pour bombarder serein en 36"S…
J’ai un Bell et j’en suis satisfait, si ça peut t’aider. Il me semble que mon modèle est le prédecesseur du Super 3R Mips. Le seul truc que j’ai à en dire, c’est qu’après 2 bonnes années à le porter quotidiennement, les mousses à l’intérieur du casque (celles qui reposent sur les cheveux) se sont décollées, ce qui rend le casque moins confortable. Il faudra d’ailleurs que je songe à le remplacer à cause de la chute et de son âge… Mais c’est pas donné ces bêtes-là
C’est ce modèle que je convoitais…
Pour revenir à votre virée nocturne, chapeau ! Quels monos avez-vous usé ?
J’ai un GIRO SWITCHBLADE MIPS Noir 2017
Le seul truc que je lui reproche et qu’il est un peu lourd et que mes cervicales fatiguent assez vite avec.
Souryan était en 27"5, Nico C en 29" et moi en 27"5 Flik Flok (histoire de bien compliquer les questions comme « vous n’avez pas de roue libre ? » ). Les deux étaient en pédales plates et moi en auto. Ils avaient également des pneus typés cross tandis que j’avais un gros pneu de DH (Maxxis High Roller 2 en 27"5 x 3").
Petit retour sur le col du rousset le weekend dernier
on était 4 , 3 au départ du bas et moi en partant d’en haut (c’était plus court de la ou j’habite). On avait prévue de se retrouver à Chamaloc au départ du col.
5° au sommet ressentie 0°. Un mistral en rafale si bien qu’a la sortie du tunnel en descente je me suis retrouvé à l’arrêt à de nombreuse reprise à cause du vent.
La descente s’est bien passé mais j’ai été plus lent que prévue (surement le vent). Seul sur la route un bon moment, j’ai croisé des bouquetins qui comme moi profitait du silence du col.
J’ai retrouvé les copains 2km plus haut que prévue et on roule ensemble 1km et catastrophe je perd une manivelle. Pas moyen de remettre la main sur le boulon, j’ai terminé dans la voiture balais de la cyclotourisme jusqu’au sommet.
Pour les copains, ils se sont régalés jusqu’au sommet malgré le vent mais ont vraiment galérer sur la descente pour revenir à leur voiture.
Leur impression : « belle ballade, beau col mais putain de vent »
Le département de la Drome a fermé 3 ou 4 cols depuis le mois de mai pour permettre au vélo d’en profiter. On va être attentif l’an prochain pour en profiter.
Ça me rappelle l’ascension de mon premier col (Signal de Lure) durant laquelle j’ai cassé une pédale. C’est toujours triste
Félicitations à vous tous pour vous être lancés dans cette aventure !
J’essaierai peut-être d’en être l’année prochaine !
J’espère bien Maxence, d’autan qu’au Unicon Martin Charrier nous a dit qu’il venait souvent dans la Drome La il n’était pas dispo mais serait venue avec plaisir.
On va essayer d’organiser des sorties régulières, je vous tiens informé
Je vois que ça a monocyclé ce weekend, comme dirait l’autre !
De mon côté, j’essaye de garder la tête hors de l’eau après des moments compliqués… 3 semaines pourries au mois d’août avec une infection au coude (une bursite septique du coude… ou une couillite des bourses comme disent mes copains RMS). Bref, je m’en suis tiré avec 2 semaines d’antibiotiques à dose maximale après 1 semaine d’errance… J’ai prendre un arrêt de travail quelques jours à cause de la fatigue…
La weekend dernier je commençais à me sentir en forme, j’ai vu des amis et bim cette fois la pire gastro de ma vie… J’ai eu la nausée pendant 4-5 jours et ça commence doucement à aller mieux…
Fin du hors sujet : Hier, j’ai pris mon 29S pour aller en forêt, observer et ramasser des champignons. J’ai fait pareil le weekend précédent. Ça faisait des années que je voulais combiner ces 2 activités. Hier c’était une sortie parfaite (cette semaine j’ai reçu un sac à dos spécial et je n’ai pas fait de chute). J’ai pu revenir chez moi avec mes champignons en parfait état. Ça fait une sortie avec près de 30km de mono + de la marche en forêt.
La "couillite / burnite ", c’est affreusement douloureux, bon courage !
Super la sortie champignons, mais ne devrais-tu pas éviter la selle le temps que passe l’inflammation ?
En parlant de la selle et pour reprendre ma citation d’hier : " De moins dures me moulurent et m’eurent ! "
Hahaha ! C’était bien une bursite du coude et non une couillite des bourses.
Mais pourquoi tu cueilles des tue-mouches ?!?
Sans pédales auto aurais-tu touché le visage ?