Je ne me rappelle pas exactement de ce qui s’est passé, donc je ne peux pas répondre de manière exacte. Mais j’en doute. Je ne vois pas pourquoi je me serais écrasé sur la gauche à cause des pédales auto. Dans le pire des cas, c’est face en avant, nez dans la terre. Pas côté gauche 
Sauf si j’ai tourné la tête par réflexe. Mais là aussi, j’en doute !
Je ne me rappelle pas non plus avoir senti une accroche au niveau des pieds lors de ma chute.
Bref, mystère et boule de gomme !
Alors juste évite de manger les champignons rouge à points blancs que tu as trouvé si tu veux pas recommencer ! 
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Sur Internet, certains prétendent que l’amanite tue-mouche (joli champignon popularisé par les bandes dessinées et le cinéma d’animation) serait comestible, mais elle est extrêmement toxique et elle a d’importants effets hallucinogènes !
Sur la table, je crois également reconnaître quelques amanites phalloides, plus discrètes, mais mortelles !! Rassure-nous @toutestbon ! 
Je n’ai encore jamais goûté l’amanite tue-mouche, mais c’est un champignon qui a beaucoup été consommé et qui a une riche histoire. Dans des rituels shamaniques en Europe, on peut lire que pour prolonger la fête, les shamans faisaient boire leurs urines. Mais aussi pour se nourrir, bouillit et en changeant l’eau de cuisson 1 ou 2 fois. Les 2 substances hallucinogènes de ce champignon étant solubles dans l’eau. C’est le champignon le plus populaire, et la plupart des gens pensent qu’il est mortel, mais ce n’est pas le cas.
Cela dit, la cueillette des champignons n’est pas à prendre à la légère. Si vous n’y connaissez rien, n’allez pas en forêt ramasser des champignons qui selon vous ressembleraient à des champignons que j’ai mis en photo. Si je vois une belle amanite phalloïde, je vais la prendre en photo, mais ça ne veut pas dire que je vais la manger.
Pour te rassurer @nico33 voilà ce qu’il y a sur la table (je nettoie/coupe le pied quand je ramasse le champignon, mais si on a des doutes il faut conserver le champignon en entier avec son pied) :
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Amanita rubescens (Amanite rougissante)
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Leccinum aurantiacum (Bolet orangé)
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Boletus badius (Bolet bai)
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Boletus edulis (Cèpe de Bordeaux)
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Neoboletus erythropus (Bolet à pied rouge) et au dessus c’est probablement un Clitopilus prunulus (Meunier), mais compte tenu des risques de confusion avec des clitocybes toxiques, je l’ai jeté.
Les champignons me fascinent depuis longtemps (avant de faire du monocycle !). J’aime bien me replonger dans mes livres quand l’autonome arrive. Pour bien connaitre les champignons, ça demande d’investir beaucoup de temps.
EDIT : Pour info, Amanita rubescens et Neoboletus erythropus contiennent des substances toxiques (des « hémolyzines thermolabiles »). Ce sont des substances qui détruisent les globules rouges. Mais avec une cuisson prolongée de 10-15 minutes, ces substances sont détruites.
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Je vois que tu es un spécialiste, mais vu la quantité, j’aurais pu m’en douter !
Pour l’amanite tue-mouche, aucun doute possible, elle est reconnaissable entre toutes ; je savais qu’elle n’était pas mortelle, mais je ne me souvenais pas que les deux premières eaux de cuisson sont exploitables pour des rituels shamaniques ou autre.
Pour les autres amanites, je savais bien que j’en avais reconnu, c’est une affaire de spécialistes et la pruence est de mise, d’où mon inquiétude. 
Bon, ben t’es pas mort, c’est le principal !
Des bolets, miam ! …
Bon, je vous avais laissé tout sanguinolent, suturé, l’âme en peine et la pédale sortie du tibia. il était temps de s’y remettre.
Il fallait tout d’abord un équipement adapté à un éventuel retour de pédale ravageur.
En dépit de ces protections, j’ai quand même une certaine appréhension au moment de monter sur l’engin, ce que je ne connaissais plus depuis longtemps… Tant pis, ça disparaîtra sans doute bientôt.
Un départ sur des petites routes peu fréquentées avec comme objectif de pêter mon record de 22km. Chemin faisant, je me rend compte que je peux faire la jonction Le Moule St François sans passer par la nationale et son taux de cyclistes écrasés rédhibitoire.
Du coup, je pousse jusqu’au spot de wing (16km).
A ce stade, j’avais fini le Camel back, que j’avais re-rempli dans un restau ou bossent des potes et je commençais à me dire que 22km en Guadeloupe, c’est bcp bcp plus chaud que la même distance en métropole (au propre comme au figuré)
Ci dessous, le trajet :
L’avantage, c’est que j’ai retrouvé des potes au spot, dont une qui m’a fort gentiment proposé de me ramener, ce que j’ai éhontément accepté.
Du coup au bilan :
- je m’y suis remis
je flippouille comme un chacalj’ai un peu d’appréhension à la montée suite au dernier incident.- Je n’ai pas battu mon record de distance.
- J’ai en revanche battu mon record de distance en Guadeloupe.
- entre les petites routes et les chemins foireux, j’ai un terrain de jeu énorme.
- faut que je prévoie un moyen de retour. Prochaine mission : Moule Pointe des Châteaux.
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Ah, et le frein, ça commence.a être bon. Il y a plein de descentes que je passe maintenant alors qu’avant non… Ce guidon est ma meilleure idée d’achat depuis longtemps ! (Même s’il y en a sans doute des meilleurs).
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Reprise de l’entraînement ce soir, après 4 semaines sans toucher le moindre mono (c’est une trop longue histoire, je vous raconte pas)
J’avais jamais fait une aussi longue coupure depuis que j’ai débuté, max 1 semaine pendant des vacances à l’étranger.
20 petits kms qui font plaisir après quelques centaines de mètres pour me remettre dans le bain et c’est comme si je n’avais jamais arrêté 
Voir même une étrange sensation de facilité, l’impression de mieux ressentir la pression sur les pédales, les irrégularités de route, l’équilibre… la force quoi !!! 
Ce qui m’a fait rentrer, c’est d’avoir mal aux fesses 
mais c’était trop bien 
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De jolies retrouvailles, « une étrange sensation de facilité, de mieux ressentir… l’équilibre, la force », c’est beau ! C’est en nous, ça nous fait du bien et ça ne nous quitte pas, c’est une chose très rassurante et précieuse !
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Bon, ben ça s’est fait. Plus facile que les 16 de l’autre jour. Le départ matinal y est sans doute pour beaucoup. De plus en plus de moments les deux mains sur le guidon et de frein dans les descentes.
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À ce rythme, tu es bientôt au marathon. Félicitations ! 
Un de mes problèmes en fixe, en ce moment, lié à mon problème de vitesse, c’est la nécessité que je ressens d’avoir une main sur le frein. Du coup, je me suis un peu amusé le week-end dernier en roue libre. Dans de petites descentes, j’ai lâché le frein… Et j’ai coasté une bonne dizaine de mètres comme ça ! J’aime beaucoup le coast sur du plat, mais je n’avais jamais fait trop d’efforts pour y arriver en descente (c’est beaucoup plus difficile à cause de la prise de vitesse rapide)… Et en fait, j’adore ! Il faut que je pratique plus souvent
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A vrai dire, je n’en n’ai pas l’impression mais je n’ai aucune idée de la progression que je peux envisager. J’aimerais surtout progresser en vitesse histoire de gagner des kilomètres sans y passer trop plus de temps. 2h, je trouve que ça fait de bonnes sorties (et c’est déjà difficile de trouver un créneau de 2h où il ne fasse pas trop chaud)
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Plusieurs propositions de solutions :
- Acheter une 36" ( )
- Utiliser des manivelles plus courtes (le gain de vitesse ne sera pas immédiat mais il devrait finir par arriver)
- Faire des sorties avec un mono plus petit et devoir mouliner pour avancer. Ensuite, il ne reste plus qu’à transposer sur un mono plus grand et hop !
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Je vais tenter deux de ces trois solutions ! (Celles qui n’incluent pas de 36 !)
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Sinon, je me suis surpris à commencer à rouler dans les flaques. C’est assez grisant. Ça met une drôle de pression car on ne sait pas si ça va passer tranquille ou s’il y aura un trou, ou de la boue au fond qui vous enverra direct le c… dans la flaque.
Je recommande vivement cette activité !
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J’apprends aux enfants du club à rouler dans les flaques (quand on connaît la nature du fond)(« Nous les flaques on roule : DEDANS ! »), c’est tellement transgressif alors que ce n’est pas méchant du tout.
Et l’hiver j’adore monter mon garde-boue amovible sur ma 36" et bombarder le long du canal (là au moins on sait que c’est plat au fond) après la pluie
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Quand la terre est grise
J’ai passé le week-end en Ardèche. Hier, pour rentrer, on a pris la Via Rhôna jusqu’à Valence avec ma copine (elle en vélo, moi en 36S). 20 km prévus, ~1h45 avant le train, 1h prévue d’après Maps. Facile me direz-vous ?
Alors, oui mais non. 
Déjà, il faut savoir que je suis mauvais en orientation. S’il faut tourner à gauche, je prends à droite (la vue est plus belle là-bas paraît-il). Ma copine, bien qu’elle soit un peu plus douée que moi, se plante également régulièrement. On a donc traversé des ponts très désagréables dans les deux sens, par exemple celui-là :
Compliqué de rouler dessus, avec les voitures qui forcent derrière pour passer. Il faut aussi savoir que la Via Rhôna est prévue à la base pour descendre le long du Rhône ; on la prenait donc en sens inverse. En théorie, elle est fléchée dans les deux sens, mais en pratique, il arrive que l'on rencontre des voies à sens unique... Ce qui est très perturbant (et vu notre sens de l'orientation... 🙃 ). À un moment, on a donc fait plusieurs allers-retours pour essayer de comprendre où nous devions aller. Le petit point drôle, c'était le vent, assez fort. Dans un sens, on avait l'impression de voler. Dans l'autre... :exploding_head: On a finalement trouvé le bon itinéraire... Qui débouchait sur un immense pont au-dessus du Rhône, après avoir tourné à 90° par rapport aux voies précédentes. Mis à part Toutestbon, vous avez déjà fait de la 36 avec un fort vent latéral ? J'ai traversé le pont à pied, trop dangereux sinon (déjà que là, j'avais l'impression que j'allais m'envoler...).Après tout ça, il est 12h10, il nous reste 5 km à faire, le train est à 12h32. Oups
On roule donc plein gaz pour espérer avoir le train - surtout qu’on arrive dans une ville qu’on ne connaît pas vraiment, il nous faut trouver la gare… À un moment, je m’aperçois trop tard d’une racine devant ma roue. Je devais être à 30 km/h (je reprends confiance en moi d’ailleurs \o/), je réagis par réflexe : j’enlève les pieds des pédales, je pars en brake coast, je décolle un peu sur la racine, je retombe, je bascule légèrement en avant, je relâche le frein, petit moment de flottement, la roue repasse devant moi, je rappuie légèrement sur le frein et je pose doucement les pieds au sol. Je suis vivant, ouf ! Je roulais léger (casque non-intégral, gants KH), je n’aurais pas aimé me vautrer.
Bref, on arrive finalement avec 7-8 minutes d’avance à la gare. On a réussi à perdre plus de 30 minutes par rapport aux estimations alors qu’on roulait sur un itinéraire balisé. Bravo à nous !
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Aujourd’hui je suis bien content de ma séance de freestyle! J’ai pu réaliser plusieurs premières et ça motive beaucoup.
J’ai fait un cercle en coast deux pieds, avec une belle sortie en gliding. J’ai même réussi à faire des transition coast deux pieds/ coast un pied/ coast deux pieds et bien replaqué😇. Et ensuite, pour la première fois j’arrive à lançer mon coast un pied apres un wheel walk un pied.
C’est déjà pas mal pour une reprise après un mois sans faire de freestyle.
En parallèle je bosse toujours le wheel walk arrière mais c’est plus laborieux, je dois faire 4 mètres maximum.
C’est vraiment agréable de réussir à maîtriser des figures que l’on pensait trop difficiles. Cela fait des années que je cherche à faire ces figures et aujourd’hui bingo!
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Hi ! Ca faisait longtemps que je ne m’étais pas baladé dans Paris avec ma roue de 29 pouces. Très très tard comme toujours, vers 2h30 du mat à hauteur de Villejuif sur le chemin du retour, j’ai fais la rencontre D’Adrien, il connais le club Roule Ta Bille mais n’est pas de Paris, il me racontait qu’il avait perdu son 20 pouces un jour lors d’un trajet motorisé. Qu’il ne roulait plus pour le moment mais qu’il avait fait Dieppe - Paris à mono. Ce fut une rencontre sympa il a meme enfourché mon mono pour quelques tours de roues. Nous avons papoté quelques instants c’était fort sympathique ! Voilà voilà à toute.
Il connaît aussi monocycle.info mais qu’il n’était pas venu depuis fort longtemps. alors si jamais suite à ça Adrien tu te connecte et tu me lis, coucou
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