C’est dangereux dans la mesure où on ne maîtrise pas. Bon, en l’occurrence, je ne maîtrise pas. Mais il faut s’entraîner un peu pour voir si ça reste dangereux. Pour le reste. Bon, je suis un peu stupide, mais ça c’est pas nouveau ! 
Ah, et concernant l’entraînement sportif, il me manque plus que des notions. Il me manque les bases 
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le 24" cher ami, c’est l’effet 24" 
sérieusement, la meilleure taille de roue pour progresser!
la nervosité des petits formats et un peu de l’efficacité des grandes roues, la 24" n’exige pas les mêmes efforts qu’une 29" par exemple.
bientôt le Muni, ses plaisirs… et ses bobos
pas d’ambition de vitesse par contre…
mais avec une bête si légère, tu vas vite t’envoler! Le mien fait 7kg ( j’ai le duro 
)
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Mais tu fais ça pour aller plus vite ou pour moins te fatiguer ? 
Ça me fait penser que j’ai vu passer sur facebook quelqu’un qui comparait les longueurs de manivelles des premiers du marathon du dernier UNICON :
Pour la personne qui faisait ce commentaire, il semblait évident que Martin avait gagné avec un « handicap », car il utilisait des manivelles de 150mm (donc que ça va moins vite…). Alors qu’avec mon expérience, je suis convaincu que c’était la longueur optimale pour lui (et pour les autres, s’ils avaient l’ambition de rouler plus vite que Martin).
On a dévié dans un autre sujet, mais si ça t’intéresse, j’ai quelques illustrations pour essayer te faire comprendre simplement les clés de l’entrainement et de la performance. 
oui! Je suis preneur! C’est une bonne idée
J’étais aussi tombé sur cette discussion. Je crois que j’avais commencé un (long) message avant de le perdre dans les abysses de mon téléphone. Je reprenais certains de tes arguments sur la biomécanique, d’ailleurs !
Je pense que je fais ça un peu pour les deux raisons que tu évoques. Je trouve aussi que tourner les jambes avec des manivelles de 127 est beaucoup plus agréable qu’avec des manivelles de 150. Peut-être que je me trompe - c’est fort probable d’ailleurs -, mais j’ai envie de faire mes propres expériences. Il faudrait aussi que je teste des manivelles entre les deux, probablement du 137 pour voir si ça me correspond encore mieux.
Et je veux bien tes illustrations !
C’est à cause du frein sur la manivelle ? Comment tu freines ? De façon continue (bof) ou bien en lâchant le frein, en accélérant puis en freinant un bon coup ?
Pour la taille des manivelles en 36"S, je suis persuadé qu’il faut creuser le raccourcissement. Ce qu’il faut comparer ce n’est pas Martin en 150 et les autres en 137 (surtout que sur ce marathon les meilleurs sont quasiment 6 min de plus que d’habitude)(a-t-on le même tableau pour l’unicon de Montréal ?) mais Martin en 150 et Martin en 137 sur un même parcours plat. As-tu comparé Maxence en 150 et Maxence en 125 sur un parcours tout plat ?
L’argument de Martin pour les 150 est qu’il a plus de confort, de maîtrise et de relance mais je suis persuadé que sur un marathon plat à force il laisse de l’énergie.
Non, c’est à cause de mon montage : le frein se situe au bout de mon prolongateur ; je dois donc être couché pour l’atteindre. C’est pas évident quand je suis en descente et que je veux bien ralentir.
Je freine en général en permanence, je trouve ça beaucoup moins dangereux et bien plus confortable que de freiner un coup sec.
Pour moi il faut toujours avoir un doigt sur le frein, surtout à grande vitesse et encore plus en descente.
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Je suis tout à fait d’accord là-dessus. C’est ce que je m’efforce de faire sur du plat et ce que j’aimerais aussi pouvoir faire en descente. C’est pour ça que mon montage actuel ne me donne pas pleine satisfaction. Mais j’ai un petit levier de frein secondaire qui arrive demain, ça me changera la vie !
Je me suis un peu penché sur l’entrainement en course à pied et en cyclisme.
Classiquement l’entrainement sportif est décrit avec plusieurs composantes à travailler : force, endurance, puissance. Mais cela suppose d’avoir des connaissances préliminaires sur le fonctionnement du corps.
Pendant un effort, on sollicite 2 appareils :
- l’appareil musculo-squelettique (muscles, articulations…)
- l’appareil cardio-vasculaire (cœur et vaisseaux)
Sur le monocycle, on n’a pas le même recul, pas de science du monocycle comme on a en course à pied (où on touche les limites physiologiques).
En cyclisme, on sait qu’en augmentant la cadence de pédalage (pour une même vitesse), on va faire augmenter la fréquence cardiaque. Donc a contrario, en réduisant le mouvement des jambes, on va faire abaisser la fréquence cardiaque, mais on va solliciter davantage l’appareil musculo-squelettique (l’effort va travailler plus la force).
Sauf que pour progresser dans un sport, avoir seulement de la force ne suffit pas. Il faut être capable de travailler à des intensités proche de sa fréquence cardiaque maximal.
En raccourcissant tes manivelles alors que tu ne sais pas quel impact cela a sur ta fréquence cardiaque, selon moi tu vas finir par perdre de l’explosivité (sauf si tu me fais mentir et que tu arrives à mouliner à 40km/h sur le plat pendant 1h). Et à mon avis, en augmentant le risque de blessure.
L’image que je voulais prendre c’est une réaction chimique, avec la notion de facteur limitant.
Dans l’idéal, si tu trouves le bon point d’équilibre entre la sollicitation des jambes et du cœur, tu vas pouvoir faire parler les chevaux :
5 jambes + 5 cœurs = 5 chevaux
Si tu augmentes la contrainte sur tes jambes et que cela ne te permet plus de te pousser à fond, certes ton cœur ne va pas trop souffrir, mais tes jambes vont te limiter.
4 jambes + 6 cœurs = 4 chevaux + 2 cœurs
Pour ne pas compliquer la « démonstration », je n’ai pas considéré le fait qu’en raccourcissant les manivelles, on sollicite moins de fibres musculaires. Il parait logique que le fait de recruter plus de fibres musculaires permet plus facilement d’avoir de la force.
Quand, j’ai testé le passage de 145mm (jante alu) à 137mm (jante carbone) en 36S (je me suis entrainé à raison d’un entrainement tous les 2 jours pendant 1 mois sur des parcours que je connaissais). J’ai senti que je manquais de force et que j’avais plus de mal à me mettre dans le rouge, à faire des entrainements efficaces.
Pour réagir au message de @sam2. Martin a un niveau de monocycle et un cardio bien au dessus du lot (avec tout le sport qu’il fait depuis longtemps). Il manque peut être un peu de force (?), mais il est capable de montrer toute sa puissance avec son cardio et la cadence qu’il peut imprimer (en cyclisme, la puissance c’est la cadence * la force).
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Merci pour ces explications ! C’est grosso modo ce que j’avais compris d’instinct. Il me faut donc faire de vrais tests, ce que je ne suis pas en mesure de faire en ce moment (couvre-feu + week-ends remplis ou très mauvais temps quand week-ends dispos…). Bref, en attendant de pouvoir m’entraîner correctement, je vais continuer à rouler un peu en 127 pour voir ce que mon instinct me dicte 
Ça me fait penser à Gaby quand je lui ai acheté son mono, j’ai été surpris de voir qu’il avait des manivelles double insert KH moment 110/125mm (je crois que c’est ça).
Continue tes tests mais fais gaffe et quand tu fais des tests à la con, mets des cales SH56 siteplait ! 
Oui, ça m’a un peu servi de leçon tout à l’heure. Mais c’est bien, c’est comme ça que les choses rentrent avec moi.
D’ailleurs, je remarque que j’ai beaucoup de moins de jeu latéral avec les SH51 par rapport aux SH56. C’est plutôt agréable.
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Bon et bien première balade tout terrain dans les chemins de mon village. Distance parcourue sur le mono environ 800 mètres je dirais. Première partie de chemin terreux humide avec des creux et des cailloux un peu traître plus de la pente… en descente ça a été à peu près en montée plu compliqué. Sinon j’ai fait deux belles côtes dans les deux sens, chemin plus lisse => parfait.
C’était vraiment particulier de traverser des flaques et passer dans le la boue, de l’herbe (pas beaucoup) des cailloux… cela changeait énormément de mes habitudes du béton habituel… Léger stress avec ma selle trop basse, mes pédales lisse et l’humidité / terre sous mes chaussures 
Seule déception la chute en faisant un peu de marche arrière dans ma cour après être rentré… j’ai malheureusement posé le pied devant la pédale et le mono m’a entrainé au sol … sur mon épaule. Je la sens un peu mais je pense qu’avec un peu de repos cela devrait être bénin, j’espère
Le 20 pouces c’est pas hyper rapide mais pour les premières balades c’est quand même sympathique.
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Cool tout ça sauf la fin…L’arnica est l’ami du monocycliste
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De mon côté j’étais parti pour m’entraîner et puis finalement j’ai un peu bricolé sur mon 24.
Et une chose en entraînant une autre, me voilà à « transformer » le vélo de mon fils en draisienne pour qu’il s’exerce à trouver l’équilibre.
Ça m’a au moins permis de comprendre le fonctionnement de mon arrache manivelle sans risquer d’abîmer un monocycle. 
Du coup c’est un entraînement quand même mais au bricolage de cycle.
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Même ballade qu’hier. Cette fois j’ai commencé a travailler le fait de tenir la selle d’une main. Pas de grosses difficultés avec la main droite. Tentative avec la main gauche…perte d’équilibre instantanée 
. Bon j’ai récidivé en y allant plus doucement…ça va venir pour la main gauche mais ça confirme que je suis droitier et pas malheureusement pas du tout ambidextre 
IDEM 
lourd mais très fiable!
je vais dans la boue avec le duro
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