Oui, le frein c’est utile en 36".
Par ailleurs, ton histoire m’a donné envie de rajouter une nouvelle réaction sur Discourse : " 
". Vous allez pouvoir vous en donner à cœur joie sur mes messages !
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Oh, cool cette nouvelle réaction. Content d’avoir été ta muse pour celui-ci.
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PontPonch 2025!
Partis à 18 environ du Pont du Garigliano à 20h, arrivés à huit au Pont National à trois heures du matin.
Les 34 ponts (35 si on compte le Pont Morland), une pause ponch/jus d’orange sur chaque, sans exception.
Beaucoup de piétons (normal on est à Paris), surtout autour de la Tour Eiffel.
Les quatre meilleures remarques que j’ai entendu:
Je tentais de monter une marche une peu plus haute qu’habituellement: « Descends de ton truc et porte le, ça ira plus vite! »
« Il a perdu son guidon! » Raté.
« Ah, lui il triche ». Je crois que les trois monos qui me précédaient n’avaient pas de guidon.
Et enfin la meilleure, donnée par un groupe de jeunes devant la gare d’Austerlitz en voyant Simon en tête passer à toute allure sur son 36:
« Wesh! c’est Pogačar de wish! »
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Et le palier des 1000 km de mono casi tout pile parcourus depuis le début de l’année atteint avec cet évènement
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Et ben ça, “c’est du propre” ! 
Le 29S en pédales plates, ça absorbe moins bien les obstacles que le 36S en pédales auto. Ce matin, en partant prendre un train, j’ai failli me casser la figure en roulant sur une bosse. Je me suis senti propulsé vers l’avant. Heureusement, j’ai pu rétablir l’équilibre. Petite frayeur tout de même 
Qui sont les fous qui roulent avec de telles machines ? Pourquoi se compliquer autant la vie ? 
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J’me sens un peu visé là
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Moi aussi en fait, mais plus pour très longtemps, car je planche sérieusement sur l’achat d’une paire de chaussures et de pédales auto. SPD
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Ce soir, je suis allé m’entraîner un peu. Depuis la semaine dernière, j’ai recommencé à faire du fractionné pour espérer ne pas trop me faire lâcher par Aurélien lors de la CFM. Plusieurs remarques :
- Première fois que je respecte vraiment mes zones cardiaques prédéfinies pour les sections à fond. Étrangement, ces sections m’ont paru plus courtes que d’habitude, alors qu’elles duraient 5 minutes… Comme d’habitude !
- Première fois que je trouve les sections de repos trop longues. Alors qu’elles duraient 2 minutes 30… Comme d’habitude ! À croire que ne pas se mettre dans le mal en section à fond permet de récupérer plus vite par la suite.
- En zone 4, je suis parvenu à être régulièrement au-dessus de 30 km/h
Tout ça pour dire qu’il va falloir surveiller ton rétro, @Aurélien ! Je risque fort d’être juste dernière toi… Et de me casser la figure en essayant de trop pousser. Tu pourras être gentil et ne pas m’écraser quand tu repasseras au second tour ? Merci 
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Si ça peut te rassurer, cette année je ne suis pas spécialement entraîné pour un 10km. Je vise le record des 100 miles dans moins de 2 semaines, et c’était plutôt ça mon objectif.
Ça fait un moment que je n’ai pas fais du 30 de moyenne sur plus de 500 m.
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Ça ne me rassure pas du tout. Ça veut dire que si tu me bats, je serai encore plus ridicule 
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Et bonjour.
Après avoir fais 50, 55 et 60 sur mes dernières grosses sorties je me suis dis, pour être progressif, je vais trouver un parcours à peu près plat. Petit détail, je fais souvent mon parcours au fur et à mesure que je roule, à l’instinct quoi, et après je regarde ce que ça donne en vrai. Bon j’ai fini avec 67km pour 1140m de D+. J’aime le plat limousin. 
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GROS rouleur, impressionnant, bravo !
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Hey, c’est encore moi ! En ce moment, j’essaie de m’entraîner régulièrement - environ 2 fois par semaine. Sur les 4 dernières séances, j’ai suivi le même programme sur le même parcours. C’est pratique pour voir de potentiels progrès. Et je les vois : à la fin de mes périodes de fractionné, je vais à chaque fois quelques dizaines de mètres plus loin que la fois d’avant. Ça signifie que pour enchaîner sur mon 10 km, là où je manquais de distance sur la fin (j’arrivais dans une zone très étroite et très compliquée à négocier, notamment en cas de présence d’un•e autre usager•ère), je finis désormais bien avant cette zone et je peux pousser jusqu’au bout 
Sur mon parcours, je suis toujours plus lent qu’un Aurélien en pleine forme, mais on va dire que c’est à cause des quelques obstacles que je dois négocier et des périodes de fractionné qui me fatiguent 
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Moi aussi je m’entraine pour la CFM 
Rien d’extraordinaire : je n’ai pas vu d’animaux sauvages, j’ai vu des chats mais ils sont restés sagement sur le côté de la route. Les sensations sont bonnes et la forme est excellente 
Depuis un moment (l’année dernière je crois), je fais la plupart des mes entrainements le matin avant d’aller travailler. Au départ, je ne faisais pas d’entrainement intense le matin (psychologiquement je trouvais ça compliqué… juste après avoir avalé le petit déjeuner, je trouvais que ce n’était pas le moment idéal).
Jusqu’alors, mes entrainements intenses étaient principalement des répétitions de 5 à 10 minutes à bloc (encadrés par un échauffement et un retour au calme). L’année dernière, j’ai voulu tester un autre type d’entrainement intense : un entrainement avec une intensité progressivement croissante. J’ai pu l’intégrer dans mes entrainements matinaux. En pratique, je tourne sur une boucle de 3,5 km et je me base sur ma fréquence cardiaque pour monter de 5 bpm à chaque tour (140 => 175 bpm sur 8 tours). Comparativement à une séance plus classique de fractionné, je trouve que l’intensité arrive moins brutalement (cette impression d’être à bloc alors que je suis parti tranquille). C’est un type d’effort qui fait travailler toutes les allures. C’est devenu mon entrainement préféré 
Voilà l’entrainement de ce matin :
https://www.strava.com/activities/16157016944
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Bon. Ce matin, en plus d’être tombé, j’ai crevé. Aucun rapport entre les deux, si ce n’est sans doute un karma un peu pourri.
Vendredi, alors que l’on roulait tranquillement avec un copain, je vantais les mérites de ma chambre à air en TPU de 36" : aucune crevaison en deux ans et demi, elle roule trop bien, aucun problème à signaler. Aujourd’hui, aux alentours du 15ème km de ma sortie matinale, j’ai entendu un grand bruit de verre au passage de ma roue. Pas le petit bruit de verre brisé tout mignon ; celui dans lequel les vélos de route passent en disant « Aïe - pfffffff ». Non, plutôt celui dans lequel ils disent : « Outch - CRAC - PFFFFF ». Je ne me suis pas arrêté pour vérifier, mais je soupçonne qu’il s’agissait d’une bouteille en verre encore en partie vivante. Faisant l’autruche, j’ai continué à rouler pendant 50 km. De toute manière, je n’avais rien pour réparer, donc mieux valait ne pas s’en soucier.
Une fois à la maison, j’ai eu le courage de tâter mon pneu… Et je l’ai trouvé sacrément mou par rapport aux 3+ bars qu’il contient d’habitude. Afin d’en avoir le cœur net, je l’ai laissé reposer pendant encore une heure ou deux. Mais là, plus de doute, une bonne crevaison ! Je vous passe la galère pour retirer le pneu de la jante carbone, le changement de la chambre, la remise du pneu ENCORE PLUS GALÈRE. En plongeant la chambre percée dans l’eau, je me rends compte que le trou est vraiment minuscule. À peine visible à l’œil nu, et seules quelques bulles en sorte. Trop peu pour qu’on entende l’air sortir, mais assez pour dégonfler complètement la chambre en l’espace de quelques heures.
La question qui se pose désormais est la suivante : vais-je continuer de vanter les mérites de ces chambres à air de 36" en TPU ? La réponse est bien évidemment un grand OUI ! Avec une chambre en butyl, je suis sûr qu’elle aurait été déchirée en deux immédiatement, et que j’aurai dû rentrer à pied. Ici, j’ai pu finir ma sortie tranquillement et m’en soucier seulement après.
Cela étant dit, c’est peut-être à cause de cette perte de pression que j’avais l’impression de ne plus avancer sur la fin… La différence de rendement entre un NigthRider Lite à 3,2 bars et le même à 2 bars est assez impressionnante !
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Tellement inconfortable ce pneu à plus de 2 bars…
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Mais tu roules dans quoi pour le trouver inconfortable ? Je veux bien que ce ne soit pas un pneu « nouvelle génération » que l’on peut trouver dans les tailles inférieures, mais il reste OK à 3+ bars 
D’ailleurs, j’ai personnellement le ressenti inverse : au-dessous de 3 bars, il est incontrôlable : impossible de prendre de beaux virages car il s’écrase, et il accroche beaucoup. Alors qu’à plus de 3 bars, ces deux phénomènes s’atténuent fortement.
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J’ai un problème de référentiel, pardi (toujours le même, d’ailleurs)! Je roule à 3-4 bars sur un vélo de route en 28-30mm depuis que le tubeless existe, et à environ 1 bar en VTT… le tout avec des pneus souples. Le NR lite est peut-etre moins pire que le normal (en tout cas les flancs sont plus fins), mais même avec une chambre TPU je trouve ça raide.
Quand je parle de confort, je ne parle que d’amorti objectif, pas de comportements autres, car oui il ne tourne pas. C’est d’ailleurs ce que j’aime dans les pneus carrés, leur stabilité, car sur route je n’ai pas besoin de tourner, globalement…
(cela dit, sur mes dernières sorties j’étais monté à 2.5 bars, ce qui a été une longue lutte d’acceptation avec moi-meme pour faire une chose pareille, on parle d’un pneu de 56mm mesurés)
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