Rouler droit ? On m’appelait le serpent ivre tant je faisais des zig-zag 
.
Plus sérieusement : entre le relief, le vent, le cerf-volant attaché au sac, la prise au vent et le poids du sac… Non je n’ai pas roulé droit.
Sel/sable ne font pas peur à un Qu-Ax de cette trempe ! Je n’aurai pas osé prendre un autre monocycle.
Tu vends du rêve avec ta voile et ta roue libre 
, partage tes prouesses une fois le parapluie reçu 
. La roue libre me paraît tellement inaccessible…
Aujourd’hui, c’était sortie test avant une tentative potentielle de record des 100 km.
Au programme : jouer au hamster et tourner sur la piste d’athlétisme pendant une heure.
Résultat : 28,8 km en 1h00m10s, et je finis « frais » (ça tire un peu dans les biceps et l’ischio droit tire un peu, mais rien de méchant). Plus qu’à ajouter de la flotte, un peu d’alimentation et c’est parti !
Aujourd’hui, j’ai profité du beau temps pour aller faire un petit entraînement au seuil : 15 minutes d’échauffement, 5 minutes au seuil, 2:30 de repos, et on répète 5 fois. Ça faisait un moment que je n’avais plus fait l’exercice, donc je ne savais pas trop comment ça allait se passer. Spoiler : ça s’est bien passé, et ça a été plutôt agréable.
Cette sortie a également été l’occasion de découvrir la portion de la Via Rhôna qui vient d’être refaite. Elle a été élargie et goudronnée sur la partie qui permet de rejoindre le parc de Miribel-Jonage, permettant ainsi de rouler assez vite sans se préoccuper des personnes qui arrivent en face ou des nombreuses racines qui rendaient cette section dangereuse. Bref, un plaisir !
Cela dit, la partie retour, après avoir traversé le canal de Jonage tout à l’est n’est pas une partie de plaisir. C’est surtout du stabilisé, avec de nombreux nids-de-poule ainsi qu’une portion où on a l’impression d’être sur des vagues. Je suppose que le sable a été creusé par les vélos dont les suspensions entrent en résonance toujours aux mêmes endroits, comme dans les bike parks. C’est pas super agréable à mono… Voyons tout de même le bon côté des choses : ça entraîne à rouler sur des terrains difficiles, ce qui est toujours intéressant.
Pour finir, j’ai remarqué que j’avais beaucoup de mal à prendre les virages correctement, sans trop ralentir. Ça semble être le cas depuis que j’ai changé de selle mi-2023, lorsque j’ai cassé ma Fusion One. Ni la Fusion Street, ni l’ISM PN 1.1, ni la nouvelle Mad4One ne semblent me redonner le confort que j’avais à ce niveau avec ma Fusion One. Je vais donc sans doute en remettre une, et voir si j’arrive de nouveau à tourner correctement. Je ne dirais pas que c’est à cause de ça qu’Aurélien m’a battu à la CFM, mais je suppose que ça a sans doute joué un peu 
Dans tous les cas, il faut que je travaille sur cette compétence. Elle est vraiment très importante pour ne pas perdre trop de temps, ni trop se fatiguer dans les parcours tournants.
J’étais samedi matin à l’entraînement du Nord Cotentin MounTain Bike sur leur piste de descente et je me suis bien amusé !
Mon entraînement du jour a été d’apprendre à faire du monocycle électrique… 
Dites, les ami·e·s, comment on fait pour bannir l’administrateur principal d’un forum ? C’est pour une connaissance.
f-wobble:
KS16X, très bon choix👍
Tu vas bien t’amuser avec 
J’espère que ça va m’amuser ET que la reprise d’une activité va aussi me motiver à ressortir le mono plus souvent qu’une fois toutes les deux semaines 
C’est vrai quoi, je ne voudrais pas finir hors sujet sur ce forum !
Je dois avouer que j’ai déjà été tenté…
Ce matin le 
était programmé pour 05h40.
15 minutes avant j’ouvre les 
, je ne suis pas motivé à les fermer, même un quart d’heure, de risque de ne pas me réveiller. Qu’à cela ne tienne, ça me laisse plus de temps pour me préparer .
Un peu plus d’une heure de 
me sépare de Choisi-au-Bac, point de départ d’une rando de 43 km.
Les inscriptions débutaient à 7h00 et je ne voulais pas rentrer pour 15h00, 7h25 je m’élance pour 4 heures de pédalage.
Avant toute chose, je pense ne pas avoir pris le bon matériel (accuser le matos est une bonne excuse pour ne pas assumer que je n’ai pas les cuisses qui suivent 
) : 29"x3.00 avec manivelles en 136, ça grimpait trop pour assumer !
Les côtelettes ont pu être montées, mais aucunes des côtes n’ont été franchies. Le plaisir était là, c’est l’essentiel !
Le début du parcours était composé de chemins et pistes cyclables avec des étendues d’eau. Calme, beau, reposant. Les 
ronflaient encore, c’était tellement agréable…
Très vite on rentre dans la 
et la première difficulté se présente au sixième kilomètre. Je ne monte pas, je me rassure : « pas encore chaud » 
. A ce moment, j’ignorais que même après la rando je ne serais « pas encore chaud » pour grimper.
Dixième kilomètres, une descente, des pierres, des racines, je me loupe, tentative de pieds au sol, la selle remonte et cogné… Aille !
Un ravitaillement sympa au vingtième.
5km de 
re : dès le trentième j’ai marché : terre dure, des bosses sur des bosses, passage très étroit. Aucun plaisir à rouler. Marcher était la solution, même les vététistes se plaignaient.
La fin était sympa, brioche et boissons à l’arrivée.
45 km au compteur, fallait pas se perdre pour faire 43 .
J’aime les randos organisées !
Jolie balade
Tu étais le seul monocycliste ?
2km de rab tu t’en sors bien (on en connais qui partent sur 46 et qui finissent à 52… 
)
Je n’ai pas vu d’autre monocycliste.
Faut dire aussi que je n’ai pas prévenu
46-52… Les derniers km doivent être déprimant.
ça joue, peu de chance de trouver un monocycliste par hasard
je savais que je m’étais perdu alors ça allait, je savais que j’allais faire plus que 46
Et puis heureusement j’avais encore du jus
jour 3, équipe muni haut niveau puis retour maison avec détour
J’ai testé ensuite la roue libre de Louis (donc une Roue Louibre?), c’est… spécial. J’avais jamais fait des chutes pareilles en arrière, mais j’ai un peu compris comment ça fonctionne.
Tu nous as fait de très belles gamelles, c’était impressionnant à voir. Heureusement que la terre a su t’amortir (presque) correctement
Dimanche dernier j’ai sortie mon 27,5" pour aller au sommet du cerro castillo (1100 m) à 1 heure de chez moi par une très belle route. Le temps était plutôt très bon pour cet autonme, pas de vent et un ciel relativement dégagé qui nous a permit de voir le super massif du paine au début de notre ascension.
Pour la montée, j’ai attaché mon monocycle dans le dos, avec l’idée de surtout faire la descente, monter ça fait trop souffrir. Il n’y a pas de chemin balisé, il faut donc faire au mieux pour passer les zones boisées avant d’arriver aux 800m d’altitude. Du coup je brousse un peu entre les arbres et les buissons, pas facile avec mon mono sur le dos… ça prend de la place et je dois lutter un peu. Une fois passés les bois c’est plus facile de progresser, petite pause et en route vers les sommets. Sur le cerro castillo il y a 3 sommets, qui sont plus ou moins à la même hauteur, l’objectif est d’en faire 2, j’ai pas eu le courage de faire les 3 cet fois ci.
La montée vers le premier sommet n’est pas si simple… c’est le genre de moraine où tu t’enfonce à chaque pas, donc j’envisage de faire ma descente par un autre endroit. Une fois en haut je sort enfin le monocycle et je m’équipe de mes protections, direction le deuxième sommet.
Les sensassions sont plutôt bonnes, généralement je fait du muni uniquement dans les descentes, mais il y a une belle transition entre les 2 sommets, du coup je me motive pour voir jusqu’où je peux tenir sur le mono avant de devoir descendre pour arriver en haut. Et je suis assez surpris de voir que j’arrive a passer pas mal de secteurs, la confience monte! Je passe la dernière montée vers le deuxième sommet avec le monocycle à la main.
En haut, je me pose la question: par où descendre pour en profiter au maximum? Il y a trois descentes potentielles, mais il n’est pas évident de savoir quelle sera la plus roullable… et je crois qu’au final je n’ai pas fait le bon choix. Je me suis engagé sur un terrain beaucoup trop instable pour pouvoir rester en selle pendant la majeure partie de la descente. Le pneu s’enfonçait trop et il devenait impossible pour moi de manœuvrer, même le tout droit était pas simple. Et pour remonter sur le mono après une chutte c’était une vrai lutte.
Je me suis quand-même bien amusé pendant cette sortie, mais j’étais un peu déçu de ne pas avoir passé plus de temps en selle pendant la descente.
Je vais essayé de me motiver pour refaire une sortie muni avant l’hiver, sans doute sur une montagne que je ne connais pas, le cerro solitario, et qui sera un peu plus facile à descendre j’espère.
