Raconte ton dernier entraînement !

Comme Maxence, je pense que tu mets trop d’amplitude à ton mouvement

Merci, je vais essayer en tournant moins.
Le problème, c’est que je ne réussis pas à le faire du tout en me lâchant. Je ne me sens pas en équilibre.

Pareil, un peu trop d’amplitude, mais sinon, le mouvement y est, il faut persévérer et lâcher le mur :wink:

Le mouvement est pendulaire. Le fait d’en raccourcir l’amplitude, de le relancer plus rapidement, va t’aider à passer le cap… mais n’oublie pas de peser sur la selle. Soulager ton poids de la selle et le mettre sur les pédales, tu le feras plus tard… pour le moment, ça ne règlera pas le problème. C’est la relance de ton pédalage qui va te redresser. :wink:

Aujourd’hui avait lieu la Convergence 2024 autour de Paris

Avec mon fils on a pris le départ en 29" depuis Versailles avec le dress code « orange » et en route vers Paris, ambiance toujours aussi sympa et familiale. Puis retour maison à mono

Au bilan 38km sans entrainement ! D’après mon archivage photo il semblerait que ce soit ma 8ème participation à mono et la dernière remontait à 2019 !

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Les techniques du surplace et de la marche arrière sont très proches.
Pour moi le surplace est venu en m’entraînant en marche arrière, tu pourrais varier en essayant la marche arrière.

C’est bien de mettre de l’amplitude dans le mouvement mais c’est quand on maîtrise déjà qu’on peut varier l’amplitude.
Au début, il ne faut pas s’en préoccuper et essayer d’accompagner le mouvement.

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Hier soir, on a profité du beau temps (= pas de pluie pour une fois) pour aller faire un tour dans les Monts d’Or avec ma copine. L’idée étant à la fois de prendre l’air et, pour moi, de m’entraîner une dernière fois pour ce qui m’attend ce week-end.
Nous avons donc roulé 35 km et grimpé 590 m de D+. 1/4 de la distance et 1/9ème du dénivelé que l’on devra couvrir samedi. Et j’étais déjà bien fatigué :hot_face:

Dans les points positifs, j’ai pu observer que j’étais capable de grimper des pentes à 22% en y allant en force, sans trop zigzaguer. En effet, un segment que l’on prend régulièrement pour monter au Mont Thou m’a toujours semblé très pentu. Hier, j’ai mesuré la pente… Et il se trouve qu’elle monte à certains endroits à plus de 22% ! Les 20% du Grand Colombier seront donc faciles :laughing:

Maintenant, repos jusqu’à samedi !

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Vous connaissez l’expression « sortie de récupération » ? Ça ne semble pas être le cas de ma copine et de mon frère. Alors que j’avais encore des courbatures du Grand Colombier, je les ai vu s’envoler devant moi tandis que j’étais déjà à plus de 32 km/h lors du retour de notre petite sortie vespérale. Après 30 bornes, j’avais plus les jambes pour les suivre :laughing:
On voit d’ailleurs à mes PR sur Strava qu’ils ne connaissent pas le terme « récupération » : sur 37 segments, j’ai fait 18 « performances » sur des parties où je suis déjà passé à plusieurs reprises. Ils avancent bien les bougres :hot_face:

Maintenant, je sais ce qu’il me reste à faire pour les suivre : monter mes nouvelles manivelles en 138 pour gagner un peu de vitesse ! :grin:

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Hi !

Je reviens après une semaine de balade aux longs chemins au départ de Toulouse jusqu’à Bordeaux en 5 jours avec Gaëtan d’Angers. Ça a été une belle expérience nous permettant de tester de nouvelles limites, notamment concernant le chargement, un sac de 19,8 kg pour moi sur le dos et un chargement similaire pour Gaëtan reparti sur son dos mais aussi sur son mono avec des portes bagages artisanaux.

Nous avons utilisé les campings, pour moi en hamac et sous tente pour Gaëtan, sauf sur la dernière nuit qui se voulait menaçante du point de vu météo, où j’ai été invité à dormir sous la toile ! Quelle chance car il y a eu probablement quelques averses cette nuit là !

Nous nous projetions chaque jour pour faire entre 60 et 65km, c’était prévu comme cela dès le départ et nous nous y sommes tenus. Le deuxième jour fut pour moi le plus difficile avec le sac qui était un fardeau à porter, puis étonnamment le reste du séjour plus du tout ! Le 3 eme jour c’était un problème de frottement vis à vis de la selle qui était désagréable et rendait difficile la journée(sûrement un mauvais choix de tenue qui compte mais pas que), et les deux derniers jours, plus rien ! Trop cool ! L’avant dernier jour nous devions quitter le halage pour rejoindre 19km plus tard une autre voie verte, avec pas mal de dénivelés sur routes plutôt calmes, étonnement Gaëtan et moi avion une bonne forme et nous avons trouvé cela assez aisé malgré nos chargements, nous avons aussi éprouvé du contentement de casser la routine et la continuité du halage. L’approche de Bordeaux nous motivait sûrement énormément aussi.

Nous avons été heureux de laisser certains soir les sacs aux campings pour s’offrir quelques km à « vide » permettant de rouler plus sportif et plus vite pour changer un peu…

Nous avons quelques fois mangé aux restos et boulangeries mais peu, Gaëtan était bien organisé avec une gamelle et un réchaud pour cuisiner à l’état sauvage ou non assez facilement, nous n’avons manqué de rien et avons toujours eu de l’eau dans nos camelbacks.

Nos arrêts nocturnes ont été : Toulouse quartier nord à la descente du train-Moissac-saint Laurent/port Sainte Marie-La Réole- et pour finir Créon.

Nous terminons la semaine avec près de 350km en 5 jours et de bons souvenirs plein la tête.
Je joins quelques photos avec un tracé général du parcours, les points représentent les arrêts pour dormir.

Pour l’avant dernière journée, veille de départ par le train de Bordeaux Saint Jean tôt le matin, nous dormons chez un proche de Gaëtan, et nous retrouvons ce même jour @nico33 de Bordeaux, avec qui nous avons eu une visite guidée de Bordeaux mémorable ! Merci à toi Nico ! Et merci à @Gaetan_d_Angers pour la semaine passée !

Voilà, ici se termine cette balade.

À toute ! Vive le mono !!




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À défaut d’avoir voyagé avec eux (une prochaine fois…), ça m’a fait super plaisir d’accompagner @adrien2rennes et @Gaetan_d_Angers à travers les rues de Bordeaux, c’était vraiment chouette ! :star_struck:

BRAVO à vous deux ! :+1: On remet ça quand vous voulez… Avis aux amateurs ! … :wink:

En guise de conclusion, voilà un joli souvenir du matin de votre départ… vous me manquez déjà ! :disappointed_relieved:

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Hello, merci pour le récit !

Pas étonné que le sac soit un fardeau, à mon avis en itinérance, tu ne dois pas avoir plus de maaaaaaaaaaaax 15kg, en dessous, c’est mieux, je dirais 12kg idéalement. Je ne sais pas ce que tu as emporté, mais faut que tu allèges ça ! :slight_smile:

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Hier, j’ai enfin à trois semaines de l’unicon il était temps remonté ma roue de 29/75, et c’est… perturbant.
Le contrôle est très relatif, le démarrage peu naturel et les vitesses limitées.
Par contre c’est impressionnant comme c’est fluide.

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Coïncidence, j’ai repris le 29 x 75 le soir la fête de la musique, beaucoup de monde dans les rues, pas envie de leur faire peur en 36".

Le contrôle est plus que relatif, c’est clair, mais effectivement, extrêmement fluide, je suis bien d’accord ! :stuck_out_tongue_winking_eye:

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De mon côté, ma préparation pour UNICON arrive bientôt sur sa fin :upside_down_face:

Pour l’instant, aucune chute de 36S et les sensations sont de mieux en mieux.

J’aime bien m’entrainer les soirs de match de l’équipe de France, il n’y a pas grand monde sur les routes (pourvu qu’on aille en finale :crossed_fingers: :laughing:).

Lundi soir, il y avait tellement peu de monde que je me suis retrouvé nez à nez avec un lièvre sur la route. Il était à gauche de la petite route de campagne près d’une habitation, à droite il y avait un champ.
Évidemment, dans cette section, la route est légèrement descendante et j’avais un vent de dos… au moment où je l’ai vu, j’arrivais à plus de 35km/h. J’ai levé le pied, je me suis redressé et j’ai serré la droite…
Le lièvre venait de passer 2 secondes immobile en me fixant, et au dernier moment son instinct de survie lui a dit de retourner dans le champ. Il a bondi devant ma roue à hauteur de mes épaules. Ma main droite restée sur la poignée de mon guidon a touché sa patte arrière droite, telle une caresse. :smiling_face_with_three_hearts:

Une bonne frayeur mais pas de chute ! J’espère que ça va me porter chance pour l’UNICON :joy:

Un quart d’heure plus tard, j’ai croisé le chemin du chat que j’ai percuté au mois d’octobre (il a survécu !). Je le croise plusieurs fois par semaine en ce moment… Il me nargue en courant à côté du monocycle… :roll_eyes:

Quand les voitures sont au garage, les animaux sont de sortie ! :bear: :grin:

Sinon, c’est la 3ème semaine où j’utilise mon 29" à roue libre pour mes trajets en ville. C’est pas toujours facile de coaster le matin, mais ça devrait finir par devenir naturel :slightly_smiling_face:

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J’ai aperçu très sortie d’entraînement, tu as un sacré rythme !
Pour ma part j’ai remonté la route en fixe avec les manivelles de 75 il y a deux semaines, et je sens que je ne suis pas prêt du tout, je peine à mettre de la cadence, et encore plus quand j’ai du vent de face.
Au vu de mes dernières sorties (mono-taff) je serai nettement moins rapide qu’à la CFM, probablement proche des 23-23:30 au 10k, et 2h10-15 pour le loop the lake (et encore j’ai pas fais de sortie de plus de 30 minutes en fixe).

Bref, espérons que la patte de lièvre te porte bonheur, et que les français ramènent des médailles.

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Oui je suis super content de ma préparation pour le moment.

J’organise mes entrainements sur un rythme de 3 jours qui comprend une sortie avec une intensité élevée fractionnée (seuil), une séance de renforcement matinal, un footing matinal tranquille, de la roue libre et quelques balades :stuck_out_tongue:

J’ai trouvé ma séance d’intensité préférée : environ 20 minutes d’échauffement puis 5 fois 5km à fond (allure 10k) avec une petite récup et enfin 5 minutes de retour au calme. Ça fait souvent une sortie de 48 km en 1h35min. C’est à quelques minutes près le temps que je vise pour les 2 boucles autour du lac.

Voilà la sortie de lundi :

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Le mouvement des jambes est spécifique. Rouler avec des manivelles très courtes, c’est très particulier et ça se perd même si tu roules plus fort avec un schlumpf. Le schlumpf n’agit pas comme un réducteur de manivelles :stuck_out_tongue:

En 2022, avant l’UNICON je roulais avec des manivelles qui avaient à peu près la même longueur sur mes monocycles (145 et 150mm).

Cette année, j’ai pas mal roulé en 125mm sur mon 29" à roue libre et aussi sur mon 36" sans schlumpf, ils sont tous les 2 équipés de manivelles double insert 125/145. Mais je suis resté sur 145mm sur mon 36S et ça se passe bien.
Enfin c’est pas comme si j’allais faire une course avec des manivelles de 75mm :crazy_face:

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Oui, je trouve aussi que le passage de 75 à 125S ce fait mieux que l’inverse.
Autant j’ai la forme physique, autant je j’ai pas trop la vélocité, et clairement ça risque de me poser problème.

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J’ai pas trop posté ces derniers temps, mais ça ne m’a pas empêché de rouler ! Surtout les week-ends.


Il y a deux semaines, je suis parti pour rejoindre Annecy depuis Lyon en suivant la Via Rhona. Au programme, 210 km et une peu de D+ (~1500 ou 2000m, je ne sais plus trop). Bon, ça ne s’est pas passé comme prévu. Déjà, comme on peut l’anticiper en réfléchissant un peu, remonter le cours d’eau d’un fleuve… Ça monte. C’est pas une grosse pente, mais ça reste un faux plat montant continu. Et long. Rajoutez à ça un vent de face assez fort pour qu’on le ressente et ça donne un beau petit défi.

Au 30ème kilomètre, j’ai cassé un rayon. Qu’à cela ne tienne, j’ai continué à avancer en me disant que ça allait bien tenir.
Au 50ème kilomètre, j’ai commencé à être très fatigué. Je me suis dit que j’avançais encore un peu puis que je m’arrêtais pour manger… Et j’ai en fait décidé de ne pas m’arrêter mais de plutôt tracer pour rejoindre la gare la plus proche (~20 km).
Au passage, il y avait un petit col. Vraiment pas très long, mais les 7,5% ont fini de m’achever. J’ai pu arriver à la gare 3 minutes avant que le train ne passe, parfait !

Au final, j’aurai fait seulement 75 km sur les 210 prévus. Faudra réessayer un autre jour - mais probablement dans l’autre sens, pour simplifier le défi.


Aujourd’hui, avec mon frère, on s’était dit qu’on ferait justement ce trajet Annecy - Lyon. Manque de pot, les trains ne nous permettaient pas de rentrer à temps pour les élections. Quel dommage :grin:

Nous avons donc changé nos plans et avons décidé d’aller rouler dans le massif du Pilat, à une vingtaine de minutes en train de Lyon. Je ne connaissais pas du tout - et lui à peine plus -, mais la proposition avait l’air cool.
On est donc parti avec un objectif en tête : grimper le col de l’Œillon. Les premières bornes kilométriques indiquent 11 km de montée et un peu plus de 800m de D+. Avec quasiment 35 km pour accéder au pied de cette montée ainsi que le retour vers une autre gare, ça faisait déjà une petite sortie sympathique.
On est donc parti dans cette optique… Et dès la sortie de la gare, ça grimpe ! Environ 5 de moyenne à vue de nez, pendant quelques kilomètres. Jusqu’au pied du col, la suite est un enchaînement de courtes montées et descentes. Le genre de trucs bien cassant dans lequel il est impossible de prendre son rythme et de s’y tenir. Ça donne une sorte de fractionné imposé où on subit plus qu’on ne profite.
Enfin, on est arrivé au pied du col. Là, ça montait pas trop mal. Jusqu’à 3 ou 4 km du sommet, où j’ai commencé à m’effondrer. Plus aucune énergie, comme deux semaines auparavant. En plus de ça, on avait quitté le soleil pour rentrer dans les nuages, ce qui a fait chuter la température bien en-dessous de ce qui est confortable. J’aurais dû prendre des manchons. La fin de la montée a donc été dure.
Heureusement, une fois en haut, ça descendait ! :smiley:
On a essayé de rouler pas trop lentement pour avoir notre train, à une vingtaine de kilomètres de là. Seul problème : Google Maps a essayé à plusieurs moments de nous faire passer dans des chemins VTT. On a donc fait quelques demi-tours pour revenir sur une route à peu près praticable. À un moment, alors qu’on s’apprêtait à nouveau à faire demi-tour, on a aperçu une route départementale en contrebas. On supposait qu’il y avait une centaine de mètres de chemin caillouteux jusqu’à accéder à cette départementale. Je me suis donc élancé dans cette descente sur mon mono, mon frère me suivant à pied (apparemment, le vélo de route c’est vraiment pas fou pour descendre dans la caillasse). Et effectivement, 100m plus bas, on était sur la départementale ! Youpi ! Et, sur ce coup, on peut difficilement en vouloir à Google Maps : même la commune considère ce chemin comme une rue :upside_down_face:


En tout cas, c’était bien fun à descendre en 36 ! À faire plus souvent, avec une roue libre :smirk:

La fin de cette escapade était sur la départementale, avec quelques voitures qui roulaient trop vite à mon goût, et une arrivée dans Saint-Chamond peu de temps avant le train. Et la fin de la fin… 3 km de faux-plat montant. Alors qu’on était tous les deux cramés :sob:
Un dernier effort pour arriver à la gare à temps, et on a même eu 2 minutes de répit avant l’arrivée du train. Contents de pouvoir rentrer manger une pizza !


La conclusion de tout ça, c’est qu’il faut que j’arrête de ne boire que de l’eau claire. Il faut que je me remette à fabriquer des boissons isotoniques et à mieux m’alimenter. Ce n’est à mon sens pas normal que je m’effondre comme ça au milieu d’un effort « moyen » avec mon entraînement et mon expérience. Je testerai ça sur ma prochaine sortie longue ! :smiley:

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