Et pourtant y’a pas 50 possibilités… (si tu as bien posé le scotch sur une jante propre et dégraissée) car les pneus Schwalbe sont en effet faciles à monter.
J’ai nettoyé la jante à l’acétone avant de poser le scotch tubeless.
Ce qui me trouble le plus c’est de ne pas voir de fuite dans l’eau… peut être que la valve fuit dans une certaine position… enfin bref c’est tordu…
Je mets beaucoup d’énergie pour résoudre ce problème, mais si c’est pas résolu ce weekend, je nettoie tout et je mets une bonne vieille chambre à air en butyl.
Ah si, il y a autre chose qui est différent de mes autres montages tubeless, les 3 autres montages, j’ai toujours roulé en chambre à air au moins quelques jours avant de passer en tubeless. Au moins j’étais assuré que le scotch soit bien collé. Et c’était plus facile pour faire le montage tubeless. Avec un pneu neuf, c’est pas toujours simple de bien mettre les 2 tringles de chaque côté de la valve.
T’as peut être un petit trou qui se bouche avec le préventif mais qui ne tient pas. Ça m’est arrivé, un trou d’épine qui se rebouche tout seul, donc je laisse comme ça, juste regonflé pour remettre la pression. Deux trois sorties dans problème puis le bouchon qui saute, le trou se rebouche… Encore deux trois sorties tranquille… J’ai fini mettre une mèche.
L’acétone est à éviter sur le carbone, ça attaque la résine, préfère l’essence F
@toutestbon. I had a very similar experience with the Surly ET setting it up tubeless.
Changed the tape, valve etc no air coming though the valve or the spoke holes. I changed sealant at the same to Peatys and blame the sealant. I then used the Peatys sealant on a schwalbe tyre sealed first time no issues so it can’t be the sealant.
I then used soap water and an IPA to clean the inside of the Surly ET and it sealed with no issues.
Have you cleaned the inside of the tyre with hot soapy water and an IPA they might be releasing agents still present and the sealant can’t stick to the tyre.
Sorry if you have already tired this but I over looked it.
What’s an IPA? Is that some kind of beer?
It is also a beer and you are along the right lines with alcohol .
IPA – Isopropyl Alcohol is a highly effective, general use cleaning solvent that is used to clean a variety of substrates and remove a variety of soils.
Merci pour votre aide !
@Ant1 Le pneu est tout neuf, il n’y a pas un seul trou. J’ai eu ce même problème avec l’autre pneu, mais vu le nombre de coupures, je me suis dit que je prenais des risques de voyager avec. D’ailleurs, quand j’ai eu les mèches sur moi le trou ne s’est plus manifesté… j’avais aussi rajouté la fin de la bouteille de préventif.
Pour l’acétone, c’est bon à savoir. Bon je pense que ma jante n’a pas trop souffert, j’en ai mis un peu sur un chiffon et j’ai frotté.
Hier soir, j’ai mis 3,5 bars, je l’ai laissé bien à la verticale avec la valve à 6h… pas de perte de pression durant la nuit.
Je suis aller à mono au magasin pour chercher la valve, 20 minutes plus tard toujours pas de perte de pression. J’ai fini les réglages du frein, j’ai fait le tour du pâté de maison pour faire mes réglages… toujours pas de perte de pression.
J’avais prévu de tout démonter, nettoyer le pneu et changer la valve, mais j’hésite maintenant
C’est cool si ça fuit plus, mais peut être plus rassurant de refaire le montage. Ton scotch fait il bien toute la largeur de la jante ?
Quand tu perce pour passer la valve, tu fais juste un petit trou bien au milieu et tu force pour passer la valve, en suite tu sers bien mais pas trop non plus, a la main. Tu claque le pneu et là ça doit déjà tenir la pression sans besoin de préventif. Ensuite préventif par la valve et c’est bon…
Je suis d’accord avec tout ce qui a été dit, sauf l’essence F qui peut laisser un résidus gras. L’IPA c’est le top, mais plus dur à trouver que du nettoyant frein. Sur les jantes DT alu, le ponçage (léger, hein!) est obligatoire sinon le scotch ne tient pas bien (j’utilise celui de chez JPracing, qui colle moins que le Notubes, mais bien plus économique).
@Ant1 Justement le scotch ne faisait pas toute la largeur de la jante, en décembre j’avais fait 2 tours l’un sur l’autre, mais c’était étanche… En plus il était abimé par endroit, c’est pour ça que je l’ai changé. Cette fois, j’ai fait 2 tours, il prend toute la largeur.
Je viens de contrôler la pression entre 2 siestes, toujours plus de 3 bars, ça ne bouge pas. Je suis rincé de ma semaine
Ca n’a pas bougé jusqu’en fin d’aprem où je suis allé faire une petite course… en revenant, j’étais à 2 bars (contre 3 bars 20 minutes plus tôt).
Visiblement, je perds en pression quand je roule et pas autrement.
Du coup, j’ai démonté le pneu, j’ai TOUT nettoyé à l’eau savonneuse et au savon, j’ai mis une nouvelle valve. J’ai même pas eu besoin du compresseur pour faire claquer le pneu. J’ai ajouté le préventif par la valve, j’ai mis 3,5 bars, j’ai secoué la roue, j’ai fait le tour du pâté de maison à fond… On verra demain !
J’ai mis de côté les chambres à air, je suis prêt à dégainer.
Je ne vais pas créer un nouveau sujet de discussion pour vous présenter un bilan de ma traversée des Pyrénées. C’est 2 projets étaient liés dès le départ.
Je vous partage la publication facebook que je viens de faire (qui est 2 fois trop longue pour instagram) :
Ca y est, c’est l’heure du bilan !
Ma traversée des Pyrénées s’est achevée mercredi 14 juin à Cerbère.
C’était une aventure intense sur 12 jours, 920 km et 23.000 m de dénivelé positif cumulé.
D’une certaine façon tout s’est passé comme prévu… ou presque ! C’est ce que je vais vous raconter.
Les 3 premiers jours étaient nuageux, les orages nous menaçaient mais nous arrivions plus ou moins à filer entre les gouttes.
Le 3ème jour, Sophie a cassé sa chaîne de vélo, par chance j’avais gardé le dérive-chaine de mon multi-outils, on a rapidement pu réparer la chaîne.
Le 4ème jour a été un peu gâché par le temps… nous devions déjeuner tous ensemble au restaurant du col d’Aubisque, mais l’orage et la pluie ont fait fuir mes compagnons du jour.
Le 5ème jour, c’était l’ascension du Tourmalet… après avoir passé les 2/3 de la montée sans poser le pied à terre, je me suis laissé tenter par finir l’ascension sans la moindre pause. Grand bien m’en a pris, comme la veille je suis arrivé au col avant la pluie.
Et comme la veille, Felix a fini le col sous la pluie. Comme contrepartie, il a fait la montée en compagnie de Miguel Indurain, qui faisait un reportage pour la Vuelta (dont l’étape 13, le 8 septembre 2023, finira au col du Tourmalet).
Le lendemain matin, Felix m’a montré sa jambe, il avait une tendinite au tendon d’Achille.
Ce jour là, il a décidé de suivre Sophie sur l’itinéraire classique par le col d’Aspin, tandis que je suis resté sur l’itinéraire prévu par l’Hourquette d’Ancizan et le col d’Azet.
Nous nous sommes retrouvés au lac de Génos-Loudenvielle, je lui ai pris un rendez-vous chez un ostéopathe le lendemain matin 9h à Bagnères de Luchon, où nous avions prévu de dormir.
Les 2 jours suivants, nous avons pris des chemins différents : je suis resté sur l’itinéraire prévu, tandis que Felix et Sophie ont pris quelques raccourcis.
Le 7ème jour a été le plus dur, j’avais prévu de monter le col d’Artigascou sans savoir ce qui m’attendait. Et pour couronner le tout, je me suis trompé d’itinéraire dans la montée… je me suis fait une frayeur avec 2 patous avant d’arriver dans une impasse et devoir faire demi-tour…
Une fois sur le bon itinéraire, je n’ai pas été déçu… au fur et à mesure de la montée, la route se délitait, jusqu’à disparaitre complétement sous les cailloux, les trous et l’eau ruisselante.
A la fin de la journée, c’était le premier soir où je me sentais vraiment fatigué (une journée avec 92 km et 2500 m de d+).
Le lendemain, j’avais bien récupéré et j’ai pu attaqué la journée qui était censée être la plus difficile (avec 3 cols et 2400 m de d+).
Enfin, nous avons fait les 4 derniers jours ensemble, Felix avait eu le temps de récupérer de sa blessure et il avait de l’énergie à revendre !
A l’inverse, à partir du 10ème jour, je commençais à sentir les jambes lourdes.
Côté météo, c’était de pire en pire, les éclaircies du matin étaient plus marquées, mais le ciel était systématiquement couvert avant midi, et le reste de la journée consistait en une succession d’averses.
Le 11ème jour, au col de Jau, nous avons même dû nous abriter pour laisser passer une longue averse de grêle.
Le 12ème et dernier jour, un vent de Nord, la Tramontane, est venu chasser les nuages. Alors que nous touchions à notre but, que nos yeux et nos pensées étaient tournées vers la mer, nous étions brassés par des rafales de vent jusqu’à 90 km/h. A un moment, j’ai même dû lâcher mon monocycle pour éviter de m’envoler avec lui.
Au final, nous avons surmonté tous ces obstacles, nous nous sommes adaptés et nous sommes arrivés au bout de l’aventure tous ensemble, avec Felix, Sophie et Loïc.
Le travail n’est pas terminé, avec Loïc, nous préparons un film qui retrace cette aventure.
En plus de la performance, les photos sont magnifiques
Bravo
Wow !
Un grand bravo pour la performance !
Ça donne envie de voyager !
C’est énorme ce que tu as fais là !
Un grand bravo, ça donne presque envie (mais trop de dénivelé à mon goût…)
Waouh, énorme, une incroyable aventure et dans des conditions météo particulièrement difficiles de surcroit, chapeau bas, un grand BRAVO !
Supers photos, j’aime beaucoup celle-ci !
Felix a une sacrée prise au vent !
WAHOUUUU je suis admiratif, BRAVO et merci pour les superbes photos.
Je viens déterrer un sujet
Je suis en train de réfléchir à une nouvelle sacoche de selle. Actuellement, j’utilise une sacoche Blackburn Outpost Elite Cargo qui se sangle sur un porte-cargo. C’est bien, ça bouge pas, mais c’est long à mettre en place et à enlever. On ne peut pas non plus prendre facilement des trucs dedans tant qu’elle est sanglée. Du coup, si on veut s’en servir pour aller au boulot, c’est vite long : on sangle le matin en partant, on retire les sangles en arrivant et rebelotte le soir. Au final, avec 10 minutes de trajet, on passe plus de 5 minutes à gérer cette sacoche.
Du coup, je cherche une sacoche qui me permette de prendre plus facilement des affaires dedans sans avoir à retirer les sangles. En passant dans un magasin de bike packing, on m’a parlé des sacoches de selle Apidura. Je me suis donc dit que, avant d’acheter, je pouvais demander un retour au pro de ces sacoches, @toutestbon
La version 17L n’est-elle pas un peu grosse ? Est-ce qu’elle amplifie beaucoup les oscillations naturelles du mono ? Est-ce qu’on peut facilement piocher des trucs dedans sans avoir à la retirer ? Typiquement, pour les trajets quotidiens, mettre toutes les affaires dans un tote-bag, ranger ce tote-bag dans la sacoche et c’est parti. Ça te paraît jouable ?
Autre point important : est-ce qu’elle est solide ? J’ai peur de la déchirer en tombant à une vitesse un peu élevée
Merci d’avance pour toutes les réponses !
J’ai pas l’expérience des Apidura, mais tu peux aussi regarder du côté des sacoches avec un harnais + sac souple. Décathlon en fait maintenant par exemple.
Sinon, autre option, Ortlieb fait une version de sa sacoche de selle avec fixation rapide mais il faut une selle avec des rails…
Maintenant, pour le taff, j’imagine que d’autres solutions sont plus adaptées. C’est pour mettre sur quel cadre ?