Trouve une zone bien dégagée ou des moments où il y a moins de monde pour ne pas « foncer sur les gens » !
Et continue ; le plus difficile est derrière toi, tes progrès vont être maintenant de plus en plus valorisants.
Je confirme la marche arrière c’est le plus dur (à faible niveau)
Bon, de retour pour un point progrès.
Techniquement c’est de mieux en mieux. Les grosses difficultés en ce moment sont de bien poser le pieds sur la pédale (surtout le deuxième) et j’ai assez mal aux jambes, je pense que je suis trop crispée. Se qui commence à me déstabiliser et à attaquer ma motivation c’est un autre type de problème : les limites physiques. Pour résumer j’ai un asthme à l’effort un peu violent et par exemple quelque mètres de course me font cracher mes poumons. Et là ça commence à être ma respiration qui me fait mettre pieds à terre. Ca m’ennuie beaucoup car je ne peut pas travailler seul là dessus et je faisais d’autre sport pour maximiser mes capacités respiratoire mais tout est fermé avec la Covid
Amusez vous bien
J’ai la chance de ne pas être asthmatique, mais je sais que le plus dur en mono est le début. Une fois que tu es stable et habituée, le cœur et les poumons travaillent beaucoup moins qu’au début. À mon avis, tu dois persévérer (sans te mettre en danger toutefois : faire de petites séances régulières plutôt que de longues séances difficiles pour ton corps) et tu finiras par arriver à faire du mono sans même y penser
Aîe pénible les problèmes d’asthme, moi non plus je ne suis pas touché. J’espère qu’en prime tu n’es pas allergique aux pollens/graminés etc… sinon ça va pas être cool au printemps
Merci pour vos réponses, je ne compte pas laisser mon asthme gagner en m’empêchant de rouler donc ça me donne une motivation supplémentaire mais je crains surtout le moment où je progresserais moins techniquement donc j’aurais un peu l’impression de stagner.
Je crois que je vais commencer de nouveaux apprentissages (sauter, pédalage à l’envers, surplace) pour m’offrir des marges de progressions moins physiques et plus techniques
Guillaume ton poste me permet de relativiser un peu, au moins je n’ai pas d’allergie au pollen, je vais pouvoir rouler toute l’année
Mal aux jambes = pas assise donc pas relâchée…
Quelques pistes :
- monte la selle par pas de 1 ou 2cm jusqu’à ce que tu sois obligée de t’asseoir, il y aura bien un moment où tu n’auras plus le choix
- repose-toi le plus possible sur la selle, écrase-là. Un cuissard de vélo peut être un bon ami…
- roule non pas en appuyant sur la pédale qui descend mais en soulageant celle qui remonte comme si tu voulais soulever le pied de la pédale
- utilise ta souplesse de cheville pour allonger le pied et conserver le contact avec les pédales quand elles passent en bas
- n’oublie pas de respirer, par exemple une inspiration ou une expiration chaque fois qu’un pied passe en bas sur un rythme 2/3 (2 inspirations, 3 expirations) ou 3/4.
- « bouffe » de la distance sans t’arrêter quand les jambes durcissent mais au contraire en insistant et en relâchant
A adapter en fonction de la fréquence de pédalage quand même.
Parcequ’en épreuve de slow forward ou à pleine vitesse…
Bien sûr, mais je ne crois pas qu’elle en soit à rouler lentement ou vite…
C’est pas faux. Je disais surtout ça de façon ironique rassure toi (en fait j’ai hésité à poster).
c’est curieux lors de ma dernière sortie en mono, les quelques fois où je tombais de l’engin je trouvais mes jambes lourdes à la marche mais une fois de retour dessus ça roule sans trop de difficultés ! Comme quoi le mouvement du mono doit être bien naturel quand même et que c’est un bon moyen de locomotion
J’avais bien compris que c’était ironique, pas de mal
En fait c’est une déformation de mon passé de coureur à pied et de prof de yoga, d’abord on respire (par le ventre bien sûr !), ensuite on laisse le mouvement se faire et être organisé autour de la respiration. En plus ça procure une dérivation mentale qui aide à oublier l’effort, la difficulté, l’ennui, … et à continuer.
Tu peu aussi demander à du personnel professionnel de t’aider pendant l’effort en te disant « poussez, madame ». Mais je me demande si c’est approprié…
Blague à part, l’avantage des débutants, c’est que l’effort est certes bcp plus violent, mais ne dure pas… Donc je ne suis pas sûr pour un asmathique, mais pour moi, je peux répartir une séance sur plusieurs parties de la journée avec en gros 3 roulages à chaque sortie. (après 3,j’ai les cuisses de foncées).
Je note quand même que ce que je dis n’est possible quand on bosse chez soi et qu’on peut rouler devant chez soi…
Il est normal que tes jambes aient du mal à te porter après un moment à pédaler si tu es bien assis : tu es porté par le mono et non par tes jambes, le relâchement et le soulagement du pied qui remonte t’aident à pédaler avec un minimum d’effort.
Il m’est arrivé régulièrement d’avoir du mal à remonter sur mon 36 après un bon moment à rouler, je n’arrivais plus à pousser suffisamment vers le haut. Quelques pas pour se remettre sur les pieds et ça repart
Je confirme.
Je me rappelle de ma plus longue sortie (50 bornes en 29/127, qui a duré 3h30, avec du dénivelé, du vent, de la pluie, de la boue et un passage de galet), tout ça sans eau ni nourriture (je sais c’est stupide).
Je suis tombé à 500 mètres de chez moi, impossible de remonter. Une fois chez moi, je me suis écroulé sur le canapé, et j’ai rarement autant apprécié mes pates carbo
ahah la première fois que j’ai courru 18 km sans vraiment d’entrainement sur un coup de tête (avec un passage dans la forêt dans de chemins pleins de neige) j’ai eu des crampes de folie à 100 mètres de chez moi j’ai eu du mal à rentrer (faut être sacrément bête quand même (bon pour la distance le FPS a peut être surestimé un peu mais ça restait trop pour moi de courrir 1h50 sans l’entrainement nécessaire)
pates carbo = pattes carbonisées ?
Carbonara, ce qui se traduit chez moi par un paquet de lardons et deux grandes cuillères de crème dans mes pâtes.
Bon, pas cher, nutritif, facile et rapide à faire.
Je suis vieux, dépassé et tout ce qu’on veut, je comprends encore pâtes carbo(nara) !
Ok, je sors.
Je m’en doute😁