Je n’en ai aucune idée justement.
Je sais que nous sommes au moins trois (@tibo29 @toutestbon @Aurélien)
Ça vaut le coup de demander ici:
Faudrait déjà définir à partir de quand on est monocycliste à roue libre. On peut aussi être monocycliste à roue libre sans posséder de mono à roue libre.
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Pour moi c’est quand on sait rouler avec une roue libre
Pendant les vacances, j’ai croisé le père noël, il faisait du monocycle à roue libre à Saint-Malo :
En fait, je trouve que me déguiser permet de mieux profiter de ma sortie et je pense que l’expérience est aussi plus sympa pour les passants (les remarques ne sont pas du tout les mêmes). Sur la vidéo on ne voit pas beaucoup de monde (en fait, il y a eu un loupé sur la prise d’image la veille, je suis ressorti le lendemain matin). La veille, il y avait beaucoup de monde, j’ai pu fendre la foule sur le sillon, rouler au milieu de la route c’était sympa 
Il faut que je pense en quoi je vais me déguiser la prochaine fois 
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Va falloir que tu apprennes à jouer de la cornemuse aussi… 
D’ailleurs, j’avais oublié ce thread, je vais en profiter pour poster quelques impressions sur mes sorties en roue libre. Hier, avec des amis Lyonnais et ma copine, on a fait un tour près du lac d’Aiguebelette. Eux avec des monos classiques, moi avec ma 27"5 à roue libre. On s’est pris une belle averse de neige donc on a roulé en montagne dans de la neige. C’était très fun !
Mais je me rends compte que sur terrain accidenté, la roue libre rend les choses beaucoup plus compliquées ! Autant en descente à peu près lisse ou avec quelques cailloux bien marqués, c’est vraiment très fun, autant en descente accidentée avec des cailloux et des racines dans tous les sens, la gestion de la trajectoire devient très compliquée. Sans parler des pieds qui glissent des pédales à cause de la neige… Je savais que j’aurais dû mettre mes pédales auto pour cette sortie. 
J’aurais bien aimé avoir un autre mono pour tester les mêmes passages et valider mon impression.
C’est loin de me dégoûter de la roue libre, mais je pense que je vais revoir un peu mon utilisation de la bête dans un premier temps. Je vais sans doute privilégier les sentiers plus ou moins lisses afin de pouvoir m’entraîner en fixe sur les chemins accidentés (il faut bien que je continue à m’améliorer, on a un UNICON dans moins de deux ans ! ).
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Ça existe les roues ultimes à roue libre et quelqu’un ici a déjà pratiqué x) ! Ça doit être incroyablement compliqué
Roue libre ou roue impossible ?
Parceque c’est pas pareil du tout
Il y a bien la BC wheel, mais c’est pas à proprement parler une roue ultime puisqu’on ne peut pas pédaler 
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C’est pour ça que je posais la question.
Et je ne vois pas comment on pourrait faire de la roue ultime en roue libre, enfin ça doit être physiquement possible, mais terriblement casse gueule.
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Il ne devait pas avoir de monocycle à roue libre. Avec un monocycle à roue libre, il n’y a plus d’excuse pour ne pas rouler avec des débutants
Après, il ne faut pas tirer de conclusion hâtives, il y a des disciplines qui se prêtent mieux que d’autres pour « rouler » à plusieurs. 
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Oui, tout à fait ! Si c’était Martin en plein entraînement pour un marathon, ça s’explique facilement !
D’ailleurs, pour la roue libre, c’est effectivement un plaisir de pouvoir rouler avec ma copine tout en s’amusant sur les mêmes obstacles… Et de la voir passer à des endroits où je tombe 
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Je confirme, quand je fais de la route, ça peut facilement être chiant de rouler avec quelqu’un de niveau très différent. En flat, freestyle, trial ou même muni c’est beaucoup moins gênant.
Bravo, moi je ne m’aventure pas encore sur les obstacles
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Tu ne fais pas du tout de muni ? Je trouve que c’est là où la roue libre est le plus intéressant !
(Et on s’écarte du sujet… Je vais peut-être bouger les derniers messages si je trouve un bon nom de sujet.)
Il y a un sujet monocycle à roue libre.
Sinon tu peux nommer muni en roue libre.
Et non, je ne fais pas de muni en roue libre, j’ai déjà tenté un petit peu de descente (quelques mètres d’herbe), mais c’est tout. Je ne me sens pas trop à m’aventurer dans du vrai muni avec.
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Aujourd’hui, j’ai ressorti la roue libre, pour du bicross, au programme : entraînement de passage de reliefs, passage de pédalage à freinage avec changement de profil, et j’ai fini avec un peu de dénivelé, dont 250 m de descente uniquement au frein.
Et au passage j’ai rattrapé mon retard sur mon objectif de kilomètres, j’en suis à 309 km ce mois ci.
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J’ai envie de relancer un peu le sujet
J’ai retrouvé les entrainements en gymnase après la Toussaint (mono). J’ai d’abord essayé de faire des sauts en coast (comme Mimo) avec plus ou moins de réussites. Ça m’a fait travailler une autre façon de tenir le coast, en tirant sur la selle en étant gainé au max. J’ai senti que c’était un peu traumatisant pour le moyeu nimbus et je suis revenu sur ma technique de coast plus relax avec les bras en l’air, les fesses sur la selle.
Depuis quelques mois, je travaille le pédalage en arrière durant un coast. Ce qui nécessite de travailler le coast avec toutes les positions de pied sur les pédales.
Avant d’être à l’aise dans n’importe quelle position, on peut déjà identifier 4 positions (classées ici de celle que je maitrise le mieux à celle que je maitrise le moins) :
- horizontale pied gauche devant (une position horizontale permet de mieux répartir les appuis les 2 pieds)
- verticale pied droit en bas (la première position j’ai spontanément utilisée d’abord en breakcoast puis en coast)
- horizontale pied droit devant (celle que j’essaye de bosser, j’arrive déjà à faire quelques dizaines de mètres de coast par moment et avec une position approximativement horizontale, mais je ne me sens pas encore à l’aise )
- verticale pied gauche en bas (je manque de repère dans cette position…)
Pour travailler les positions verticales, par exemple j’essaie de faire un petit exo en pédalant par à-coups par demi-tour de pédales en tenant la position quelques secondes.
Pour les positions horizontales, je fais également des demi-tour de pédales mais en arrière en faisant varier la vitesse d’exécution (c’est plus facile quand c’est rapide).
Ensuite, je fais des sessions de pédalage lent en arrière avec le moins d’à-coups possible.
En général, en fin de séance, je tente de faire du pédalage rapide, soit en enchainant des demi-tours ou des tours complets en arrière, soit en continuant de tourner les jambes en arrière jusqu’à la chute. Dans les 2 cas, je prends une impulsion et j’essaye de faire le plus de tours possible. Parfois, je m’approche des 3 tours, et je commence à être consistent sur 1 tour.
Et quand il y a un de mes exos qui ne veut pas du tout, je passe au suivant ou je reviens au précédent (faut être flexible ).
Il y a moyen de s’occuper pendant des dizaines d’heures là-dessus. Je pratique la roue libre 2 fois par semaine pendant environ 30 minutes, en fin de séance. Avant je m’entraine au dragseat en 24" (devant et derrière) et à la roue ultime 24" et 28".
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On t’attend toujours en DH en roue libre 
Joli entraînement en tout cas. Hâte de voir les résultats !
Le soucis c’est que je ne m’entraine pas en DH même avec un mono normal. Près de chez moi, il n’y a que des talus pour pratiquer.
J’aime bien ça, mais je pratique tellement peu… Je ne vais même pas faire la DH à l’UNICON… Je serais là pour voir le spectacle 
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Va falloir faire un stage intensif à Mouss’tache Muni !