mais Monsieur vous avez tout à fait raison, si, par exemple quelqu’un avec un Caddie circulant sur le trottoir vous rentre dedans il est responsable … à moins que vous vouliez qu’un Caddie circule sur la route?
L’exemple du Caddie ne vous convient pas? Bon alors une poussette? une chaise roulante? Nous devons tous veiller à ne pas porter tord aux autres usagers… je vous ai porté tord? ah je vois: je vous ai fait peur… veuillez m’en excuser.
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Pour ma part, j’ai eu une super interaction avec un cycliste ce matin.
J’allais au bureau sur mon 29S, et j’arrive au niveau de quelqu’un de plus lent, je ralentis donc pour doubler au moment où j’ai une meilleure visibilité. J’entends à ce moment là un bruit de roue libre. Au cédez le passage, je vois effectivement qu’un cycliste me suivait. Il m’a demandé si il pouvait prendre mon aspiration et m’a ainsi suivi pendant 4 km je pense, avant de me souhaiter une bonne journée.
Bref, j’ai croisé un non-parisien un jour de beau temps.
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Sortie RTB du mardi soir avec Alix et Louis en janvier. Après avoir démarré à Châtelet, on arrive devant les pyramides du Louvre pour prendre une petite pause. S’en suit l’arrivée de 200 joggeurs de nuit qui finissent par se positionner en un énorme cercle. Après une rapide initiation au monocycle pour deux d’entre eux, on se retrouve tous les trois à faire le tour intérieur du cercle en mono, en faisant un check de la main à ces mêmes 200 joggeurs.
On a pas de preuve, faut nous croire. Mémorable 
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Je traverse un parc à Beaune, je passe devant quelques jeunes sur un banc. Hey !!! Msieur !!! Vous pouvez taper une roue arrière ??? Barre génerale. Un classique mais ça fait tjrs plaisir ;)))
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Un monsieur d’un certain âge me vois passer à monocycle et du tac tac, très fier, me balance : « Dans mon entreprise, j’étais cadre ! Elle est bonne non ? » … Alors celle-là, on ne me l’avait jamais faite !
Un cycliste m’interpelle : " Yo, le motard à vélo ! " Celle-là non plus, on ne me l’avait jamais faite ! Je suppose que c’est l’effet casque intégrale, ou bien le printemps, ou les deux combinés 
, je ne sais pas, mais en ce moment, c’est un florilège ! 
Hier soir encore, un cycliste dans une autre direction, mais appuyé sur le même feu rouge et dont j’admire le magnifique vélo, très amical : « Il vous manque pas quelque chose là ? », très amicalement à mon tour : « Oh non ! Si tu savais la quantité de gens qui nous dit ça… », soudain le feu passe au vert, et notre ami n’ayant sans doute pas le temps, de conclure joyeusement : « Mes hommages en tout cas ! » et moi, non moi joyeusement, de lui adresser les miens en retour. Excellent ! On dirait que ça fait du bien à tout le monde le passage à l’heure d’été !
C’est quelque chose que j’avais repéré il y a quelques années : dès le retour aux beaux jours, j’avais beaucoup plus de remarques positives que durant la période grise 
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pas pour moi: le printemps me fait souffrir physiquement. Je suis quelqu’un qui apprécie l’automne et l’hiver (je dis toujours que mes ancêtres devaient chasser le mammouth 
)
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Aïe ! Mais si ça rend les autres joyeux, tu en retires certainement un bénéfice, ne serait-ce qu’indirectement, c’est déjà ça. 
Une nouvelle remarque inédite : «on en voit pas souvent des comme-ça» 
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Ça vous arrive souvent de vous faire courser par des chiens ? 
Ces dernières semaines, ça m’est arrivé plusieurs fois, dans les Pyrénées, à Rennes… La plupart du temps c’est seulement sur quelques dizaines mètres et ils font plus de bruit qu’ils ne courent vraiment. Mais cette semaine, j’ai eu une expérience spéciale en rentrant chez moi. Un bully était en train de jouer dans l’herbe avec sa maitresse quand il m’a vu. Il a couru spontanément vers moi, mais presque arrivé à mon niveau, il était bloqué par une rambarde. Je fais un signe amical et étonné (de l’attention portée) en direction du chien et de sa maitresse et je continue mon chemin. Et là stupeur, 200m plus loin, je me rends compte que le chien me court toujours après (il a fait le tour de la rambarde pour me rejoindre et me suivre). Je fais quelques zigzag pour essayer de le semer, il anticipe un virage pour me rejoindre, bref je retourne de l’autre côté et je finis par le semer… A noter qu’il ne s’est jamais montré menaçant, il n’a pas aboyé, mais c’est surprenant 
C’était mardi et ce matin je viens de le recroiser, la maitresse s’est excusée, on a fait la paix. Il a quand même un rendez-vous chez le comportementaliste car il supporte pas bien les trottinettes (mais il n’a jamais au de problème avec les vélos).
Et vous vous aimez les chiens ?
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Moi, j’aime les chiens. Quand je rencontre l’un d’eux, j’applique la technique recommandée pour les cyclistes : je ralentis à son approche. Si le chien se montre menaçant, je descends et je place la roue entre lui et moi pour l’empêcher de m’atteindre directement. Jusqu’ici, aucun problème à signaler 
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Il m’est arrivé quelque chose de similaire il y a quelques jours seulement : le chien n’était pas tenu en laisse et il s’est mis à courir après moi ; ça a duré assez longtemps et il m’a rattrapé. En réalité, comme pour toi, il n’était pas agressif du tout. Une fois qu’il m’a rattrapé, il s’est mis à ma hauteur sur le côté, il courait en parallèle et tournait la tête de temps en temps, pour me regarder (la langue pendante). On dirait qu’il voulait faire un bout de chemin avec moi. J’ai constaté qu’il y a de plus en plus de gens qui courent ou font du vélo avec leurs chiens et e suppose que c’est le cas des deux chiens dont nous avons croisé la route.
PS : J’aime bien les chiens également. Généralement, lorsque ils posent un problème de sécurité sur la piste cyclable, ce n’est pas eux qui sont en cause mais plutôt leur « maître » et dans ce cas, j’ai donc plutôt tendance à faire confiance aux réflexes du chien qu’à ceux de son « maître » ! 
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Je ralentis aussi beaucoup quand je les vois. D’autant plus que sur le circuit où je m’entraine, il y a souvent des gens qui promènent leur (gros) chien sans laisse.
Mais il y a des situations où c’est difficile de respecter les principes :
- tu ne vois pas le chien, tu passes à 30km/h et il part en sprint à ta poursuite (trop tard pour freiner, c’est la course !
) - le chien qui te coure droit dessus et qui est au pied de ta roue en train d’aboyer avant que tu aies pu poser le pied à terre (vécu cet hiver). La maitresse qui nous regardait… je lui ai demandé si elle pouvait faire quelque chose, car j’avais peur de toucher le chien avec le mono si je descendais du mono (et qu’il ne supporte pas l’agression).
- dans la montagne face à un ou plusieurs Patou, j’ai pas envie de descendre du mono, j’ai juste envie de partir loin de son territoire ou de leur troupeau…
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Aux États-Unis, ça m’est arrivé deux fois. La première, par un golden qui s’est rapidement arrêté, mais m’a bien fais flipper. La deuxième, c’était deux petits chiens (format cocker) qui ont anticipé mon arrivée et se sont mis sur ma route. J’ai réussi à les contourner en mordant sur la bordure d’un champ, mais j’ai eu très peur qu’ils me fassent tomber, ils étaient vraiment agressifs et si ils m’avaient forcés à descendre (voire m’avaient fais tomber), je pense qu’ils m’auraient attaqués (et je n’avais pas envie d’aller faire un tour à l’hôpital pour désinfecter des morsures ou de devoir me battre avec des chiens).
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Généralement, les chiens n’aiment pas les vélos, mais lorsqu’on est en monocycle, ça les intrigue vraiment (comme pour les humains), ça semble dépasser certains, qui restent coi, avec une oreille en l’air et l’autre en bas, et ça agace carrément d’autres, qui montre une réaction agressive, étonnamment et comme avec les humains ! La question est, lequel doit-on envoyer chez le comportementaliste ?
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Non mais là tu cherches ! Quelle idée d’aller faire des câlins à des patous ? 
en général les chiens m’aiment bien (ça doit être l’odeur ) mais j’ai très souvent des problèmes avec les chiens qui, surpris, viennent se mettre en travers de mon chemin (du coup je descends). Exception notable: les promène-toutous professionnels qui, en général, tiennent remarquablement leurs clébards.
je ressort une histoire que j’ai déjà racontée ici: il y avait dans les bois de Clamart un chien bandit… il se couchait en travers du chemin quand tu arrivais et ne te laissait pas passer tant que tu ne lui avait pas gratté le ventre! 
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