J’ai envie de l’acheter… il me semble qu’il n’est plus possible d’en trouver un neuf ?
Ok… ça a l’air possible. Si je comprends bien il y a une version 16" et une 20". Pas vraiment une bonne affaire sur leboncoin… 60€ le 16" (qui est vendu neuf à 49$).
Je me demande si les « manivelles » se fixent comme une pédale… ça pourrait être marrant de tester ça sur ma roue ultime de 28" (il faut d’ailleurs que je trouve un pneu plus gros, le 700x28mm ne me plait pas du tout) ou sur une future roue ultime de 36"
ouais ouais 49 box, mon Oeil ! j’ai été au bout du truc c 100$ de port !
à creuser, mais tan qu’à faire, le 20, non ?
Ça doit pouvoir prendre beaucoup de vitesse et si les freins s’imposent, pas évident d’en répartir l’effort sur les deux roues…
Vidéo complète :
De la chaîne youtube d’un type qui fait des trucs chelous.
Les grass skis / treaded skis / skis à chenille, pour faire du ski sur l’herbe.
Inventés par Josef Kaiser en allemagne en 1963 en tant qu’entraînement hors-saison, c’est devenu un sport à part entière agréé par la fédération internationale de ski.
Apparemment ça permet aussi de tondre la pelouse :
Et il y a une version qui permet de léviter :
Vidéo promotionnelle de la marque Grasski:
Source des liens précédents : https://www.grasski.net/
Vieille vidéo d’origine inconnue :
Une discipline qui risque d’avoir de l’avenir malheureusement.
Pas besoin de farter
Mais si on tombe
J’ai appris l’existence de ce mot dans une conférence d’étienne klein, lorsqu’il explique comment le boson de higgs donne leur masse aux autres particules. Bon, j’irai pas plus loin, parce que c’est d’un compliqué… Mais il faisait une analogie avec des « skis bien fartés » et d’autres mois bien fartés.
Vous suivez le feuilleton de l’interdiction des farts fluorés ? Voir extrait du Dauphiné :
À quelles nations va profiter l’interdiction des farts fluorés de type C8 ?
Pour se conformer aux normes de l’Union européenne, la Fédération internationale de ski (FIS) et l’International biathlon Union (IBU) ont acté l’interdiction de la fabrication, la commercialisation et l’usage de farts contenant des acides fluorés sauf à des doses infinitésimales. La FFS rappelle à ses licenciés cette interdiction. Reste à faire appliquer cette réglementation qui pourrait brouiller les cartes sur l’échiquier de la glisse.
Les différentes fédérations nationales ont longtemps espéré une nouvelle dérogation d’un an notamment dans cette saison olympique….Mais le couperet est tombé.
Pour cette saison 2021-2022 et ce à tous les échelons des compétitions, la Fédération internationale de ski (FIS) et l’International biathlon Union (IBU) ont acté l’interdiction de la fabrication, la commercialisation et l’usage de farts contenant des acides perfluorooctanoïques PFOA/C8 sauf à des doses infinitésimales (une concentration inférieure ou égale à 25 parts par milliard - 25 ppb). Cette réglementation s’appliquera à toutes courses de ski et de biathlon, Jeux Olympiques compris.
Les deux institutions de la neige se conforment ainsi à la règlementation européenne interdisant la fabrication, la commercialisation et l’usage de tout produit contenant la molécule. Non seulement la vente mais également l’usage de farts contenant des acides perfluorooctanoïques PFOA/C8 sont interdits, et ce, même s’ils étaient en vente libre et autorisée au moment de leur achat.
En revanche, ces mêmes équipes nationales pourront encore utliser durant une année des farts fluorés C6. L’interdiction totale du fartage au fluor, qui devait entrer en vigueur la saison dernière, étant repoussée cette fois au début de la saison 2022-2023.
Tous les anciens stocks de farts fluorés devront être détruits ou utilisés au niveau amateur lors de sorties hors compétition. Conséquence, chaque équipe devra presque repartir de zéro pour trouver de bons compromis pour la glisse. A quelles nations va profiter cette interdiction des farts fluorés de type C 8? Réponse dans les prochaines semaines avec l’ouverture des différents circuits de Coupe du monde, notamment dans les disciplines nordiques.
Seules les expériences menées l’an passé avec des farts de type C6, jugés également rapides, serviront pour le futur, de même que les nouveaux fartages, non fluorés, qui possèderaient des performances identiques.
Les produits achetés auprès des fabricants depuis le 4 juillet 2020 doivent respecter cette règlementation
Pour être en conformité, la Fédération française de ski (FFS) fait interdiction, à compter de la saison 2021/2022 et sur l’ensemble des compétitions inscrites au calendrier ou autorisées par la fédération (sans aucune exception) d’utiliser des farts qui ne seraient pas conformes à cette règlementation.
Pour éviter tout problème, la Direction technique nationale a fait rapatrier pour les stocker tous ces farts utilisés par les différents groupes fédéraux et désormais illicites.
Les produits achetés auprès des fabricants depuis le 4 juillet 2020 doivent respecter cette règlementation et ne contenir aucune molécule de PFOA/C8 (ou à une concentration inférieure à 25 parts par milliard – 25 ppb).
Seuls ces produits peuvent à présent faire l’objet d’une utilisation. Pour repérer ces produits, autorisés à la vente et à l’utilisation, sachez qu’ils sont habituellement identifiés et garantis par les fabricants par une mention particulière apposée sur le packaging des produits.
Décréter cette interdiction est une chose, la faire appliquer peut s’avérer plus complexe
Pour rappel, il a été prouvé scientifiquement que certains composants du fameux fart fluoré ont des effets nocifs sur l’environnement et la santé, d’où la mise en place de ces nouveaux règlements.
« La mise en place de ce nouveau règlement impliquera des coûts financiers importants pour toutes les nations mais c’est une bonne évolution pour tous les techniciens qui utilisent ces farts même s’ils bénéficient de protections » confie Christian FRISON-ROCHE, président du pool des marques de la FFS.
Décréter cette interdiction est une chose, la faire appliquer peut s’avérer plus complexe et beaucoup d’interrogations subsistent concernant les futurs contrôles. Comment seront réalisés les contrôles ? Et par quel organisme ? Un casse-tête comparable aux débuts des contrôles anti-dopages…
Les fédérations ont travaillé pour améliorer leurs capteurs, des “pistolets lecteurs à infrarouge”, et procéder à des tests supplémentaires en extérieur pour éviter tout souci ultérieur.
Et quid des sanctions en cas de contrôles positifs ? Seront-elle sportives (disqualification ou pénalités en secondes,) et/ou pénales pour non respect de la réglementation européenne ?
Alors que la saison commence, il règne encore un certain flou…Et quand c’est flou…
Des vieux « cycle-skates »:
Miroir: https://archive.org/details/the-birth-of-rollerblading-cycle-skating-1923-sporting-history
Version moderne ?
2 de mes passions réunies par contre je doute que cela soit très utilisable
On trouve de tout sur Leboncoin, nouvelle découverte :
https://www.leboncoin.fr/ad/sport_plein_air/2979462825
Lorsque je regarde la description, je me demande si ce n’est pas une annonce Legorafi.
« Un nouveau mode de déplacement », « un nouveau sport tout terrain », et pas seulement !
Peut-être utile pour apprendre le monocycle ? Je trouve cela onéreux, le double système de frein sur une seule roue m’a fait sourire .
J’ai pas compris l’intérêt mais ça me paraît inutile donc totalement indispensable.
À des fins d’archives, voici le texte du constructeur, repris dans l’annonce :
SkateDrive®, c’est quoi ?
C’est d’abord :
un nouveau mode de déplacement
un nouveau sport de glisse urbaine
un nouveau loisir
un nouveau sport tout terrain
un nouvel utilitaire de portageMais c’est aussi :
- un nouvel outil pédagogique pour l’apprentissage de certaines disciplines d’équilibre (roller fitness, roller tout terrain, monocycle)
- un nouvel accessoire de portage, de confort et d’appui pour la randonnée pédestre
- un nouveau moyen pour combiner la randonnée pédestre en montée au STT (Skatedrive Tout Terrain) en descente
- un nouvel outil professionnel de transport, de livraison et de distribution, écologique et rentable
- un nouvel outil professionnel pour le marketing de rue, permettant la distribution de tracts et d’échantillons
- un nouveau produit diversifiant la gamme des loueurs de cycles
- une nouvelle activité accessible pour les clubs de vacances
- un nouvel engin d’acrobaties, avec ou sans rollers
SkateDrive®, comment c’est fait ?
Dans sa version musculaire, deux poignées sur un guidon commandant une roue au moyen d’un bras télescopique réglable à la taille du skatedriver, et d’une fourche dotée d’un double système de freinage puissant, le tout en aluminium traité.
SkateDrive®, comment ça s’utilise ?
Chaussé de rollers, on tient le Skatedrive devant soi en tenant le guidon à hauteur des hanches, et on se propulse et se dirige à la fois avec les bras et les jambes.
Le Skatedrive peut aussi être utilisé avec un monocycle ou encore à pied comme accessoire de portage en randonnée par exemple
l’intérêt du Skatedrive, en rollers est :
- de pouvoir faire une longue randonnée en autonomie, en mettant des sacoches/du matériel de camping sur le skatedrive
- chargé ou non, de pouvoir faire des grosses descentes sans exploser ses roues / sans avoir la maîtrise complète des freinages
Je viens de lire l’article Caféroller.com > Le Skate-Drive - compte-rendu de test > (2005), mais j’avais déjà lu un retour d’itinérance en roller avec cette engin
Sinon, pour étoffer le sujet, j’avais pensé aux échasses pneumatiques :
Je ne sais pas si ça rentre dans la catégorie « véhicule à propulsion humaine », c’est décrit sur le site comme un « mode de déplacement souple et aérien ».
Mais où vont les pieds ?
Dans des rollers. Le SkateDrive est juste une sorte de roue avant.