J’avoue que je ne sais plus. J’ai juste ce souvenir d’avoir dû descendre du mono à un moment pour passer ![]()
C’est pour sa 28S, pas sa 36, si ?
J’avoue que je ne sais plus. J’ai juste ce souvenir d’avoir dû descendre du mono à un moment pour passer ![]()
C’est pour sa 28S, pas sa 36, si ?
en relisant c’est vrai que c’est plus probable que ça soit pour du 29 et pas du 36 ![]()
Je roule en 32", c’est pas que j’ai pas envie de rouler en 36" mais comme je ne roule pas beaucoup, j’ai encore parfois du mal à remonter sur le 32 quand je suis fatigué et/ou dans les montées par exemple.
J’imagine pas en 36… ![]()
En tout cas, j’attends avec impatience le Vee Tire même à 150 balles.
J’espère qu’il sera mieux que le pneu d’origine que je n’aime pas du tout
Les 32" vendus par Unicycle.co.uk sont équipés en chambre Foss. Par contre, impossible de te dire si elle est vendue séparément.
Ca fait longtemps que j’ai pas sorti le mien, mais de mémoire ça se monte facilement comme un 29"(donc top en ville) mais ça a l’inertie du 36". Un bon compromis.
Le record de l’heure féminin avait pas été fait sur un 32S d’ailleurs ?
C’est du TPE, et pas du TPU ![]()
(Me demandez pas la différence)
https://www.unicycle.co.uk/product/inner-tubes-20-to-36-nimbus-foss/
Vendues à l’unité pour les 32", mais elles sont plus lourdes que des chambres Butyl de 29"…
Peut être que je devrais te faire une présentation de mon écurie
![]()
J’ai des chambres à air TPU de 28/29" pour mon Uni-packer 28/29 (je ne sais plus si je dois dire que c’est du 28" ou du 29"… il est équipé d’un pneu de 2"/50mm
). J’ai roulé avec des chambres à air en butyl, en tubeless, et je suis passé au TPU. J’ai eu une mauvaise expérience avec une chambre à air PIRELLI et je suis passé à une càa RIDE NOW, avec laquelle je n’ai pas eu de crevaison.
Par ailleurs, j’ai des chambres à air TPU 36" TRENTASEI pour mes 2 36". J’ai eu 2 crevaisons (sur plusieurs années d’utilisation), j’ai pu réparer sans problème avec la colle et les patchs fournis.
Pour revenir sur le sujet, j’ai roulé en 32" avant de passer au 36". A l’époque, il n’y a pas de matos « light » ni en 32" ni en 36". C’était une étape intermédiaire intéressante. Tant qu’il n’y a pas un pneu de 32" gravel/route léger, je n’y trouve pas d’intérêt.
Tout est plus clair maintenant, merci ![]()
Descendre des escaliers en marche arrière, ça serait pas plutôt David Vincent ?
Heureusement, apparemment, il sait super bien tomber ! ![]()
Pratiquement, il y a une différence d’env. 6,5 cm entre les diamètres 26" et 29", idem entre 29" et 32", env. 10 cm entre 32" et 36", et donc logiquement env. 16,5 cm entre 29" et 36".
En ce qui me concerne, pour la distance sur route, 36" l’emporte haut la main ; pour le suburbain, les chemins et le TT, je suis généralement plus à l’aise en 29x3 (les chutes sont moins fréquentes et moins brutales) ; dès lors qu’il y a des obstacles, je m’amuse beaucoup à slalomer et je n’ai donc pas particulièrement l’impression de me traîner ; je suis sans doute aussi rapide qu’en 36 (c’est juste une question d’adaptation au terrain, de maniabilité, de confort et de sécurité).
Je suis curieux de savoir ce qu’apportera le 32" avec un bon pneu, un compromis intéressant sans nul doute,
qui satisfaira certains d’entre nous, mais sans pour autant une différence notable selon moi. Je rejoins Sam en revanche, à 100%, le 32s sera plus facile à embarquer que le 36s (pour moi, dans 5 ans seulement
) !
Les anglais, toujours là pour nous tromper…
Les tailles en pouces, c’est approximatif. Il vaut mieux se référer au Bead Seat Diameter (BSD) exprimé en mm. Il correspond à la circonférence du talon du pneu (la partie intérieure du pneu en contact avec le fond de la jante). Pour rappel, voici les mesures de BSD pour les tailles usuelles :
Si on compare entre les différentes tailles, on a donc :
Vous voyez un peu le bazar que c’est ? On n’a pas 3" entre le 26 et le 29, mais seulement 2,5. Idem pour l’écart entre le 29 et le 32.
Pourquoi ces différences entre les tailles exprimées en pouces et celles exprimées en mm ? Je suppose que c’est dû à la fonction envisagée des différentes tailles. À la base, on avait du 26", prévu pour des pneus de section fine à moyenne. On a ensuite introduit le 28" (également nommé 700C), pour des pneus de section similaire. Les pneus plus gros, destinés au VTT, ont été désignés par le terme 29", car ils ont un diamètre extérieur effectif plus grand que celui des pneus de route de même diamètre intérieur. Puis est venu le 27"5, qui est prévu pour accueillir seulement des pneus de VTT, de section plus importante que les pneus de 26" traditionnels. Pour avoir cette différence de diamètre extérieur de 1,5" entre les pneus de 26" et ceux de 27,5, il a probablement fallu sous-dimensionner le BSD de la taille 27,5.
Bref, dans tout ça, c’est le bordel. Et je ne vous ai même pas parlé des autres tailles, qui portent parfois le même nom en pouces mais qui ont un BSD légèrement différent. ![]()
Oh, et pour la blague, je l’évoquais rapidement hier, il existe aussi du 750D (30,5", BSD de 660 mm) développé par 2 ou 3 marques, dont WTB. Je doute que le standard décolle un jour, mais maintenant vous savez.
| 26" (559 mm) | 27,7" (584 mm) | 28"/29" (622 mm) | 32" (686 mm) | 36" (787 ou 789 mm) | |
|---|---|---|---|---|---|
| 26" (559 mm) | / | 25 mm (1") | 63 mm (2,5") | 127 mm (5") | 228 mm (9") |
| 27,7" (584 mm) | / | 38 mm (1,5") | 102 mm (4") | 203 mm (8") | |
| 28"/29" (622 mm) | / | 64 mm (2,5") | 165 mm (6,5) | ||
| 32" (686 mm) | / | 101 mm (4") | |||
| 36" (787 ou 789 mm) | / |
Ok, merci @Maxence, en résumé donc, il y a une différence d’env. 6,5 cm entre 26" et 29", idem entre 29" et 32", env. 10 cm entre 32" et 36", et env. 16,5 cm entre 29" et 36".
Et ça, c’est sans prendre en compte le diamètre externe du pneu, qui dépend notamment de la section du pneu, de la pression de gonflage et de la masse du/de la monocycliste et de ses affaires ![]()
Mais bon, j’ai fait dévier le sujet. Pour revenir sur le problème de Khris, je ne sais pas si simplement comparer la taille des roues est suffisant pour savoir si la complexité est linéaire. J’aurais tendance à dire qu’elle est plutôt quadratique voire exponentielle, mais qu’elle dépend aussi de la taille du/de la monocycliste et de la longueur des manivelles. 10 cm d’écart peuvent ne pas sembler énormes pour certaines personnes parce qu’elles seront de toute manière assez grandes pour monter sur une 36" (c’est mon cas), alors que d’autres devront forcer pour monter sur une « petite » 32"…
Je te rejoins et je comprends ce que tu veux dire, mais je ne mesure qu’ 1,70m, n’éprouve pas tellement plus de difficulté à monter sur un 36 que sur un 29 et de ce point de vue, ne vois donc pas l’utilité du 32. (Avec une jante carbone, un bon pneu et un schlumpf, à voir…
)
Vous oubliez les 27.5+ et 29+ qui avec leurs gros pneus tapent dans la catégorie supérieure …
Peut-être que 1m70 n’est pas le point de bascule pour la 36". Je ne saurais dire. Ça dépend aussi probablement de la longueur des jambes, et de celle des manivelles…
Bref, un beau bazar pour définir une norme.
Je ne sais pas ce que tu entends par point de bascule, mais tout est court chez moi, la taille, les jambes, les manivelles (et tout le reste sans doute, mais c’est subjectif
). Un joyeux bazar, oui et je ne pense pas qu’on puisse modéliser, normaliser ou standardiser grand chose en la matière, juste continuer de s’inspirer mutuellement… ![]()
PS : je m’écarte un peu du sujet, mais je vous livre une anecdote sympa et intéressante me semble-t-il au sujet de la difficulté ressentie à l’usage du 36 : depuis le début de l’année, je me rends à l’entraînement de monobasket en empruntant les transports en commun, avec mon 24 donc ; en ville je me suis habitué à rouler en 24 et du coup, avec ma fille, nous avons repris les 24 pour les trajets interurbains ; la semaine dernière, je suis convoqué à 7h30 pour surveiller les épreuves de bac, c’est à une dizaine de km, ça fait longtemps que je n’ai pas utilisé mon 36 et je ne peux pas me permettre d’arriver en retard ; en prime, lorsque je roule en grande roue, je n’aime pas me presser, je préfère aller à mon rythme ; je glisse donc le 36 dans le coffre de ma femme et elle me dépose avec, de sorte que je puisse faire le retour à monocycle ; une fois la surveillance terminée, j’enfourche mon 36 pour amorcer le retour et là, big badaboum, la catastrophe, j’ai dû laisser passer trop de temps, on dirait que j’ai tout perdu, je n’arrive plus du tout à maintenir l’équilibre, je m’écroule lamentablement au bout de seulement quelques mètres, une première fois puis une deuxième, et je perds instantanément toute confiance en moi, je ressens à nouveau l’appréhension, comme au premier jour, le fait est là, accablant, je ne sais plus faire de 36 !? Mais il me faut pourtant bien faire le retour, une dizaine de kilomètres, alors je remonte en selle et je persiste, me disant que la réadaptation ne va pas prendre plus de quelques minutes, et je m’en sors bonant malant, la route puis un premier croisement, puis le trottoir puis la traversée d’une route puis le trottoir à nouveau pour pouvoir rejoindre une piste cyclable, et là à nouveau à chaque virage je perds l’équilibre, puis je m’écroule mollement au troisième virage, à nouveau, merde alors ! Et c’est là (j’avoue ma négligence, mon pneu de 36 tient super bien la pression et je n’avais pas pris la peine de la contrôler) que je constate que mon pneu est quasiment à plat, j’arrive à le presser à la main, je suis sûr qu’il n’avait pas même 0,5 bars. Je renonce donc à poursuivre mes efforts et je rejoins la piste cyclable en poussant mon monocycle devant moi, sur quelques dizaines de mètres seulement. À présent que je comprends la cause de mon déséquilibre, je suis bien déterminé à trouver une pompe à vélo (j’en ai pas avec moi non plus
) ; une fois sur la piste, j’arrête un premier cycliste, mais il n’a pas de pompe, puis un deuxième et je regonfle mon pneu. Après un premier essai, je vois qu’il manque encore un peu (c’était une pompe minuscule sans manomètre). Le cycliste me propose gentiment de remettre un coup de gonflage, ce que j’ai fait, continuant de gonfler mon pneu jusqu’aux alentours de 2,5 ou 3 bars.
Je suis remonté en selle, et c’est reparti comme en 40, j’ai avalé mes 10 km en douceur, avec le même plaisir qu’au premier jour !
Comme quoi, l’équilibre ça tient à peu de choses !
![]()
J’utilisais « point de bascule » pour désigner la taille à partir de laquelle il devenait compliqué de monter en selle ; ce point à partir duquel la complexité estimée ne se comporte plus de manière linéaire mais de manière exponentielle par rapport à la taille de la personne tentant de monter.
Encore une fois, je ne suis pas sûr que l’on puisse modéliser tout ça, il y a trop de critères croisés ; ma fille a commencé sur son 36 à l’âge de 12 ans alors qu’elle ne mesurait pas plus d’un mètre 50 et elle est montée du premier coup sans la moindre difficulté.
Je crois que dans ce cas précis, l’approche scientifique n’est pas la bonne, même si objectivement, en dessous de 1 60 m pour un adulte massif, le problème peut commencer à se poser, il y a également la volonté et aussi le moyen de se hisser en tirant sur les bras, bref autant de subterfuges et de moyens d’y parvenir si on le désire vraiment… ![]()
Tu parles de la différences de taille de roue, mais en général, on ne s’assoit pas directement sur la roue.
Pour une même longueur de manivelles, la différence de hauteur de selle est égale au rayon de la roue (et pas à son diamètre).
Si en plus, on augmente la taille des manivelles avec la taille de la roue, alors la différence de hauteur de selle est encore réduite.
Sinon en parlant de hauteur de selle, vous avez vu ça sur facebook (c’est une roue de 36) :
Je me demande ce qu’en pense @Mael_Robert
Mon fils ne mesure qu’1,68m et il roule en 36 depuis 13 ans et depuis l’âge de 13 ans …
Oui, c’est pour ça que j’évoque aussi la taille des manivelles dans mes messages successifs. Faut pas faire du cherry picking, c’est mal ![]()
En y réfléchissant à nouveau, je me demande si ce n’est pas la distance entre le sol et le point le plus bas atteignable par les manivelles qui joue sur la difficulté à monter sur un mono (si tant est que la selle est réglée à la bonne hauteur). Il me semble que ce qui est bloquant, c’est le fait de pouvoir pousser ou non sur cette pédale pour s’envoler jusque sur la selle. Plus la pédale est haute par rapport au genou, plus c’est difficile (c’est quelque chose que l’on retrouve beaucoup en escalade notamment). Cette distance provient principalement du diamètre de la roue et de la longueur des manivelles (approximativement r - l, où r est le rayon de la roue et l la longueur des manivelles, en ne prenant pas en compte la hauteur du pneu ni celle des pédales).