Venez vous entraîner chez moi, on attend Tammy, avec des rafales à 100km/h pour les 2/3 prochains jours…
Des rafales à 100 km/h, j’en ai eu le dernier jour de ma traversée des Pyrénées, c’est dangereux, stressant et je m’en serais bien passé.
Par contre, savoir rouler avec un peu de vent, je trouve ça bien. Ca se travaille d’être stable dans le vent. Disons qu’en Bretagne, en temps normal, ça souffle toujours un peu. Et le temps change vite, c’est rare une journée complète où le vent souffle à plus de 40 km/h de moyenne (sauf tempête).
Tu connais l’histoire de la poule ? …
(Elle est con la poule ; enfin si on veut la personnaliser ou lui prêter des intentions)…
T’es là, tu roules « tranquille » et puis au dernier moment, sans prévenir, elle traverse, se jette littéralement dans tes roues, et ça va tellement vite que tu n’as aucune autre solution que de lui rouler dessus ou de faire courir un danger aux autres (ou à toi-même) en essayant de l’éviter !!!
Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce qu’elle attend le dernier moment pour traverser comme ça devant tes roues ?..
Les poules sont-elles suicidaires ?..
PS : en fait, on peut étendre la question à tous, car c’est une devinette et elle n’a qu’une seule bonne réponse ; je vous la réserve ; elle va vous surprendre et ptet vous faire réfléchir …
Elle traverse pour aller de l’autre côté, quelle question
Cela dit, la version moderne de cette fable propose qu’elle cherche du travail.
Pas mal du tout Maxence ! mais tu ne réponds pas à la question, la question n’est pas de savoir pourquoi elle traverse mais pourquoi elle le fait au dernier moment et au péril de sa vie …
Non sans évoquer le syndrome E. M. de La Tourette (1ers symptômes survenus en juin 2017: « Dans une gare, vous croisez des gens qui réussissent et d’autres qui ne sont rien. » ; 2ème symptôme : "Pour trouver du travail, il n’y a qu’à traverser la rue ! "
Dans le Var, il y a souvent du vent, fort en plus et j’évite aussi de rouler quand il y en a trop.
C’est pas très agréable
Au sujet des chutes, ca fait un moment que je ne suis pas tombé (je parle pas de la petite gamelle de rien du tout) simplement parce que j’en ai la trouille en ce moment pour être tout à fait honnête.
Certainement mon instinct de survie, j’arrive pas à débrancher mon cerveau
D’ailleurs, je pense que ça doit limiter mon apprentissage du mono parce qu’il m’arrive régulièrement de refuser un passage que je considère comme trop dur (alors que ça doit passer nondidiou !!! )
J’ai regardé récemment des vidéos de Ryan Kremsater (que je connaissais pas et qui datent d’au moins 10 ans) où il montre certaines de ses chutes et je me dis qu’il a un sacré mental ce garçon
Quand tu vois les sauts qu’il fait… Je sais pas si c’est un sacré mental qu’il a, ou s’il lui manque une case
Il a d’ailleurs eu droit à une commotion cérébrale il y a quelques années (voir la description de cette vidéo). Et il ne publie malheureusement plus trop de vidéos
J’osais pas le dire…
Ce soir, j’ai glissé sur du lichen humide dans un virage. J’ai atterri sur mes jambes
Mon pneu n’aurait pas été si usé, peut-être que j’aurais pas glissé !
D’autres personnes ayant expérimenté la glissade sur lichen ?
Pas spécifiquement sur du lichen, non ! D’ailleurs, il n’y en a pas ici à la CFM. Où es-tu, @Canapin ?
Vous êtes-vous déjà fait rouler dessus par une voiture ? Moi, oui. C’était aujourd’hui. Par ici :
En allant au boulot ce matin, je vois un utilitaire arrêté avec ses feux de détresse sur la bande cyclable (pour rappel : arrêt considéré comme étant très dangereux, interdit par l’article R417-11 du Code de la Route, passible d’une amende de 135€).
Je ralentis dans l’optique de le dépasser par la gauche, en m’insérant dans la circulation. Avant que je ne puisse effectuer ma manœuvre, l’utilitaire se déporte sur la gauche et rejoint sa voie de circulation. Je peux donc continuer tout droit sur ma bande cyclable. Sauf que… Il a violemment tourné sur sa droite en me coupant la route (où j’ai la priorité, selon l’article 415-3 de ce même Code de la Route).
Pour éviter de lui foncer droit dedans et n’ayant pas le temps de freiner et de poser les pieds par terre, je pile et je m’éjecte vers l’avant du mono. Je glisse un peu sur le bitume… Et mon pied droit finit sous sa roue arrière. C’est à ce moment-là qu’il a choisi de s’arrêter, sans doute en entendant un bruit bizarre ou en sentant que son véhicule a roulé sur quelque chose d’anormal. Sauf qu’il s’est arrêté alors que sa roue était toujours sur mon pied ! J’ai tapé sur sa voiture et j’ai réussi à décoincer mon pied… Une fois libre, je suis allé « discuter » avec lui. Bien sûr, il se croyait dans son bon droit : « je manœuvrais… ». Je lui ai expliqué le Code de la Route puis je suis parti.
J’ai l’impression que la majorité du poids de la voiture a été supporté par le bout ma chaussure, assez rigide pour éviter que mes orteils ne se fassent vraiment écraser. Je vais surveiller l’état de mon pied, mais j’ai l’impression qu’il y a eu plus de peur que de mal. Et bien sûr, comme souvent quand on a un accident comme ça, on oublie de prendre les coordonnées de l’autre personne au cas où
En somme : une belle chute due à quelqu’un qui, semble-t-il, ignore beaucoup de choses sur le Code la Route et le respect dû aux autres usagers. Ça fait quelques temps que je râle sans arrêt que les gens qui s’arrêtent ou stationnent sur les bandes et pistes cyclables sont dangereux, et j’en ai eu la preuve aujourd’hui, à mes dépends.
Ah, et j’ai cassé un rayon en rentrant ce soir. Mais ça, ça n’a rien à voir avec l’accident et la chute
Quand he t’ai vu poster dans vos chutes, j’ai senti la grosse gamelle, mais il semblerait que tu t’en sors bien sorti
J’ai cru que tu avais cassé un crayon de rage
Ça y est, j’ai compris l’intérêt des protèges genoux!
Aujourd’hui, c’était sortie longue, objectif Cherbourg - La Haye du puits - Carentan - St lô, pour un total de 120 km.
J’ai pris mon pied pendant à peu près tout (à un peu de vent de face et quelques nids de poule près), jusqu’à être arrivé à 75 km / presque Carentan.
Là, j’ai voulu contourner une barrière (vous savez, celles qui sont à chaque intersection sur les voies vertes, pour nous protéger (et qui ont causé la majorité de mes chutes depuis que j’ai un schlumpf).
Je n’ai pas réussi à désenclencher, ce qui n’était pas très grave en soit, et là… Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais je suis parti en avant, j’ai fais deux pas, et j’ai tapé la rotule sur un caillou. C’est peu agréable, mais par chance, j’ai pu repartir pour aller à Carentan, où j’attends mes parents pour rentrer (j’aurai probablement pu finir, mais pas envie de tenter le diable)
Je ne suis pas sûr d’avoir compris… tu n’avais pas de protège genou ou tu n’as pas fait de roulade ?
Les deux, si j’avais eu le protège genou le choc ne m’aurait pas blessé, et si j’avais roulé, je n’aurai pas tapé le caillou
C’est la dure vie des monocyclistes sans limite
Ça m’arrive de rouler sans protège genou (et plus souvent encore sans coudière).
Et 95% du temps, tout va bien !
Et puis arrive le jour où tu es en pleeeeeine forme avec pleeeeeein de confiance et où tu ne sais pas vraiment ce qu’il s’est passé
En ce moment, je roule pas mal avec mon 28S et son cadre vert et orange. Sur ce mono si je roule tranquille à basse intensité, dans 99,9% des cas, je n’ai besoin d’aucune protection (et je mets quand même le casque, les mitaines et les chaussures ). Mais j’évite de partir sans une paire légère de protège genou.
Et hier, j’ai décidé de faire de l’intensité avec ce mono et j’ai regretté en cours de route de ne pas être parti avec mes coudières. Sur certaines portions, j’étais à plus de 30km/h et je savais qu’en cas de chute, je risquais de me faire mal. Heureusement, j’ai gardé le contrôle tout du long malgré le vent à 30km/h (et les rafales à 50km/h).
Perso. chuis comme les Shadok…
… du coup, j’ai pris le parti de ne pas me protéger (ou peu). J’essaie de faire prévaloir la vigilance et la mesure au sentiment de sécurité. Pour exemple, les genouillères et les jambières, à cause de la chaleur qu’elle maintiennent, aggravent l’inflammation de mes genoux et m’empêchent de m’en servir, je ne peux donc pas en mettre !
Ça par contre, je n’en jurerais pas.
Malheureusement, ça ne fonctionne pas tout le temps. Par exemple, l’année dernière, je roulais lentement et très prudemment, occupé à éviter les collisions avec les piétons sur une place. Je n’ai pas vu la bosse dans le sol et celle-ci m’a éjecté. Résultat, les genoux et les mains en sang, et un bobo qui a mis près de 2 mois à guérir…
On n’est jamais à l’abri d’une mauvaise chute, aussi vigilants que l’on soit et c’est pour ça qu’il faut bien se protéger.
Dixit le gars qui ne porte généralement qu’un casque léger et des gants…