La CNM compte organiser une formation DIS monocycle pour l’année 2025-2026. Le DIS, diplôme d’initiateur sportif s’adresse tout particulièrement aux personnes souhaitant initier à la pratique d’une activité sportive spécifique. La formation consiste dans un premier temps en trois jours en présentiel constitués d’apports théoriques et de mises en situation pédagogique, et dans un deuxième temps en des temps de mise en activité dans son club, encadrés par un tuteur.
Plusieurs dates sont envisagées pour cette formation : soit sur 3 jours la semaine du 20 au 24 avril, soit l’un des week-ends suivants : 1,2,3 mai ou 8,9,10 mai.
Afin d’organiser cette formation, nous aimerions que les personnes intéressées pour la suivre répondent au sondage suivant : https://framadate.org/OgWnQmt1RJeF2xGl
**Les dates sur la vidéo ne sont plus valides.
Nous aimerions également savoir si des clubs sont disponibles pour accueillir chez eux cette formation. Si c’est possible pour votre club, merci de contacter la CNM.
J’avais lu (un peu trop vite) " une formation DYS monocycle en 2026 " … Ayant « enseigné » le monocycle (avec succès et contre toutes attentes) à des jeunes souffrant de dyspraxie, j’étais très emballé à l’idée et du coup, je me dys que ce ne serait peut-être pas bête une formation inclusive, une formation tous les 10/10 pour les 10 dys, avec tous les boys & ladys dys (et les non genrés), bref, tout le monde à l’honneur !
C’est toujours Nico qui supervise à Saint Brévin ?
J’ai pas bien compris le reste à charge (frais de stage) qui est donné dans la vidéo (2:30 min), quelqu’un connaît le prix?
En tout cas je suis carrément partant !
Le prix, le lieu et le formateur ne sont pas encore fixés. Nous attendons de connaître le nombre de personnes motivées pour fixer tout ça. De mémoire, cependant, ces formations coûtaient aux alentours de 120€/personne. J’espère que ça n’augmentera pas trop. Par ailleurs, plusieurs clubs prenaient en charge tout ou partie de ce coût, car l’investissement permet d’avoir des formateurs supplémentaires au sein du club.
Mais je vais en profiter pour rebondir un coup sur les dys.
Je suis moi-même diagnostiqué dyspraxique sévère (avec quelques autres dys en bonus ) (ce qui n’est sûrement pas étranger à ma tendance à bien connaître la sécu civile en compétition et même au quotidien — ceux qui savent, savent). J’ai certes mis 15 plombes à apprendre, mais maintenant, après plus de 14 ans à manger des kilomètres de route à mono pour mes déplacements quotidiens, je suis absolument persuadé que le monocycle m’a énormément aidé à compenser mon handicap, et que je n’en serais pas là où j’en suis sans ça.
Pour les dys, notamment les dyspraxiques (dont le handicap affecte principalement l’apprentissage et la maîtrise des praxies, la coordination, la proprioception, etc. – les aspects varient évidemment d’un individu à l’autre, mais vous voyez l’idée ), je pense que c’est vraiment un très bon sport pour travailler ces différents aspects .
Dans mon cas, ça m’a vraiment aidé — au même titre que le jonglage — à mieux maîtriser et compenser ces difficultés, et je suis sûr que ça a une grande influence sur moi au quotidien à l’heure actuelle.
(Vouala, vouala… Désolé pour la petite aparté peut-être un peu hors sujet, mais pour une fois que le sujet est abordé, je ne pouvais pas ne pas saisir la perche hehe )
BRAVO @Ela ! Je suis heureux de te lire (et ça ne fait que me conforter dans ma plus intime conviction), bravo encore et merci pour ton témoignage !
A l’occasion, j’apporterai le mien… mais tu as raison, on est hors sujet ; ça vaudrait le coup de créer un fil de discussion spécifique et d’y déplacer ces échanges précieux …
… Ayant « enseigné » le monocycle (avec succès et contre toutes attentes) à des jeunes souffrant de dyspraxie, j’étais très emballé à l’idée et du coup, je me dys que ce ne serait peut-être pas bête une formation inclusive, une formation tous les 10/10 pour les 10 dys, avec tous les boys & ladys dys (et les non genrés), bref, tout le monde à l’honneur ! 
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) (ce qui n’est sûrement pas étranger à ma tendance à bien connaître la sécu civile en compétition et même au quotidien — ceux qui savent, savent). J’ai certes mis 15 plombes à apprendre, mais maintenant, après plus de 14 ans à manger des kilomètres de route à mono pour mes déplacements quotidiens, je suis absolument persuadé que le monocycle m’a énormément aidé à compenser mon handicap, et que je n’en serais pas là où j’en suis sans ça.
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