Surprenant vu ton niveau et tes perf. L’absence de guidon, c’est moins confortable, mais ça n’empêche pas de rouler. Par contre, le frein pour t’aider lors d’une montée autonome sur un 36, j’avoue que je n’en vois pas la nécessité. Si tu peux nous expliquer ta technique, ça peut aider…
Bah tu freines, et ça fait lever le mono. Cela dispense d’appuyer franchement sur le premier pied posé, et facilite donc la montée.
Sans guidon, plus que quelques kms c’est un calvaire fessier pour moi.
Ah, oui, ça implique de bien maîtriser le frein, de le relâcher aussitôt la montée faite, et donc de maîtriser son geste, je suppose. Depuis que j’ai monté un guidon sur le 36, mon levier a changé de place, chuis pas encore habitué et du coup, c’est pas sûr que ce soit commode en ce qui me concerne. Je me demande également si ça n’est pas un peu casse gueule si on roule pas toujours avec la même charge sur le dos ? 
Pas de souci en tout cas en ce qui te concerne, puisqu’en général, tous les 36 sont équipés d’un frein.
Puisque tu en parles, même sans freiner, je n’appuie jamais sur le premier pied posé sur la pédale et je ne le recommande pas d’ailleurs ; juste de donner une impulsion (comme si on marchait sur un œuf et qu’on ne voulait pas le casser) ; c’est surtout l’autre jambe qui fournit la poussée et permet de sauter ; avec un sac de 12 kg sur le dos et des manivelles de 114 mm, le saut devient très pénible en 36 (idem en 29x89), alors on s’accroche à ce qu’on trouve sur son passage, un arbre, un poteau, une gouttière, le relief d’une façade ou un portail, et on se hisse. C’est sans doute moins élégant, mais aussi et certainement beaucoup moins périlleux que de se jeter en avant avec le frein serré ! 
Pas de bol de ce côté là ! Perso, je me sens plus libre sans guidon et j’aime bien l’idée que qui peut le moins peut le plus.
J’ai calculé qu’avec ses trajets scolaires chaque jour à monocycle, ma fille de 11 ans roule au moins 500 km/an et qu’en tout, elle a déjà parcouru au moins 2 000 km depuis ses débuts, pas mal, ici sous la neige. BRAVO ma Lulu ! 
Encouragez-la ici et je ne manquerai pas de lui en faire part, ça lui fera certainement très plaisir 
…
8 « J'aime »
Ce soir, c’était pétanque et funambulisme improvisé : 80 m en équilibre sur un rail de chemin de fer ; après l’avoir fait à pied (en avant et en arrière), on n’a pas résisté à essayer à monocycle, une grande première, puis une 2ème, une 3ème, avec beaucoup de facilité et de plaisir, décidément, ma fille n’en finit pas de me surprendre ! 
Avec son 26 × 114 et mon 29 × 89 de ballade, on n’était pas spécialement équipés pour la circonstance 
et j’ai d’abord préféré m’abstenir ; j’ai commencé par relever le défi sur les poutres en chêne qui entourent les terrains de pétanque (env. 20 cm de large) Après mangé, on y est retourné, elle en 20 × 114 et moi en 24 x 125, et finalement, je me suis laissé tenter : monter sur le rail n’est pas facile, mais par la suite, c’est étrange, on se sent comme aspiré, guidé, et ça paraît en fait plus facile que ce à quoi on s’attendait, c’est assez déconcertant, une affaire de concentration peut-être, je ne sais pas. On se dit que les choses doivent se compliquer avec l’altitude, à cause du risque et de l’appréhension ; on commence à penser à rouler sur la rambarde d’un city stade, à environ un mètre de haut, mais la montée et la descente posent problème…
Nous voilà de retour avec des ptites vidéos :
Et pour finir la soirée, un tour de pumptrack !
La main, sur les rails, ça rassure (on avait pas de protection et je pense qu’il y a moyen de se faire bien mal) ; sur le pumptrack, elle n’en avait pas besoin, mais ça faisait très longtemps qu’elle n’avait pas essayé et ça l’a rassurée que je reste à côté ; elle a fait tout le tour sans poser le pied ni ralentir (il est super long, la vidéo était trop lourde et j’ai dû la couper), très surprise par ses propres progrès, ça fait plaisir.
3 « J'aime »
Selon un jeune croisé aujourd’hui, je fais du mono roue 
3 « J'aime »
Moi je fais du comment ça s’appelle ? 
2 « J'aime »
Ce weekend, j’ai continué de roder la bête.
Vendredi, j’ai 76 km entre Rennes et Saint-Malo. Avec du vent et des pertes de pression. La veille j’avais installé un pneu neuf en tubeless. J’ai quand même tenu facilement plus de 19km/h.
Et hier, j’ai fait le retour mais en partant de Saint-Suliac, ça faisait 64 km.
En partant on a rencontré des curieux qui ont entamé la conversation avant même de voir le monocycle (parce qu’ils voulaient se garer à notre place et qu’il me fallait un peu de temps pour me changer…). Leur fille faisait du mono depuis 5 ans avec les Flip Flap. Je lui ai une petite démo de surplace avec mon mono tout équipé.
J’étais parti pour faire le trajet d’une traite à l’aide d’un vent favorable, mais une grosse perte de pression m’a contraint à m’arrêter à 9 km du but.
Je suis content, les 64 km m’ont pris un peu moins de 3h10 avec environ 10 minutes de pause soit environ 21 km/h de moyenne.
Je sais aussi que mon pneu se comporte bien même à basse pression… Quand j’ai du descendre, je devais être à moins d’1,5 bars. En tout cas, à l’arrivée j’étais à 2 bars.
J’ai encore 2 semaines pour résoudre ce problème. Pour l’instant, je me contente de regonfler à 3,5 bars et rouler. Mais si ça continue dans les jours qui viennent, je changerais sûrement le tape tubeless et la valve… Je viens également de faire l’acquisition d’un manomètre électronique, il me sera utile !
4 « J'aime »
Pas beaucoup de roulage en ce moment, mais hier j’ai quand même sorti le 29" pour faire une douzaine de km, et par la même occasion tester le monocycle avec le G-one speed en 2.35 (j’ai plutôt l’habitude des pneus plus larges)
A la base je devais faire 10km jusque Trentemoult, finalement c’était 12 parce qu’à chaque fois que je traverse la Loire, je réussis à me tromper de pont.
Le G-one est plutôt sympa, même si bien gonflé, je trouve qu’il y a toujours un léger rebond. Par contre je n’ai pas mesuré la différence de circonférence par rapport à un 29x3, mais j’ai régulièrement l’impression de ne pas avancer… Pourtant d’après le compteur, je suis toujours autour de 15 km/h en moyenne. Peut être le moment de raccourcir les manivelles?
Dans tous les cas il faisait beau, pas trop de vent et ça faisait plaisir de rouler un peu (ce que je n’avais pas fait depuis au moins 1 mois)
D’ailleurs j’en profite pour faire ma pub et celle des copains, j’expose mon travail en ce moment à la Maison des Utopies Magnifiques, dans le quartier Trentemoult, donc pour les Nantais et les touriste,s n’hésitez pas à venir voir tout ça!
4 « J'aime »
Je suis très content de mon entraînement de freestyle aujourd’hui. Je commence à bien maîtriser les coastings un pied et deux pieds. En salle je trouve que c’est relativement facile comparé à du coasting en extérieur. J’ai regardé les résultats de la dernière unicon et c’est allucinant, les meilleurs font plus de 80m! Incroyable, je crois savoir que cette épreuve se fait sur une piste d’athlé, c’est bien ça? Le vent semble être pris en compte pour valider le résultat. Quelqu’un en sais peut-être plus sur cette course?
De mon côté je poursuis mon rêve d’aller le plus loin possible en coastant avec un fort vent dans le dos. Cette saison je n’ai pas trop profité des jours de vent pour pratiquer en extérieur, mes dernières tentatives n’étaient pas si mauvaises, mais je sens qu’il me manque encore pas mal de maîtrise pour faire face aux irrégularités du terrain, même quand elles sont minimes. En plus, avec le facteur vent, même quand on se place pour l’avoir dans le dos, il y a toujours un moment ou je suis emporté sur d’un côté ou l’autre. Ceci est amplifier par faite d’avoir à s’orienter par rapport à la piste en plus du vent.
J’ai donc centrer mes entraînements en salle sur le coast 1 pied et la vitesse. Maintenant je tiens bien le un pied, mais quand je mets de la vitesse je préfère être avec les deux pieds sur la fourche. C’est au moment où je perds de la vitesse que je resents le besoin de passer en coast un pied, pour plus de control, et même pour essayer de garder de la vitesse. La transition entre le coast deux pied et le un pied n’est pas évidente à gérer, mais j’ai de plus en plus de réussites.
Aujourd’hui j’ai passé un peu de temps a travailler le stand up wheel walk, en partant avec un appuis, c’est gratifiant de pouvoir faire quelques mètres. Et puis en essayant de monter en stand up depuis le wheel walk 1 pied. J’ai beaucoup chûté, mais j’en ai passé quelques uns. Pour la replaque, c’est plus difficil, je ne suis pas du tout à l’aise, c’est un peu éffrayant de se rasseoir quand on est en haut avec un pied sur le pneu.
4 « J'aime »
Le week-end du 13 mai, j’ai participé à la « rando des Châteaux » avec le cyclo club de Limours, dans le cadre du « mai à vélo », c’était ouvert à tous. C’était l’occasion de faire une sortie route de 40km (je n’avais pas fait aussi long depuis le marathon de Grenoble, je fais généralement 10-20km), découvrir des châteaux et des petites routes pourtant à 2 pas de chez moi, et faire un peu de prosélytisme ;o) Le rythme était tranquille et le parcours assez plat du coup je n’ai pas ralenti le groupe, je me suis juste fait rattrapé dans les descentes.
Les chiffres, somme toute modestes comparés aux activités postés pas certains : 42km, 300m de dénivelé, 5 châteaux/pauses, 16,2 de moyenne, et tout de même une nouvelle vmax record à 23,9 (en 29"/100mm)
Il y a quelques photos sur leur site.
Je n’ai jamais autant entendu qu’il me manquait une roue… sinon c’était très sympa, on a pas mal discuté : certains pensaient qu’un monocycle pouvait au mieux servir à aller chercher le pain au coin de la rue, et étaient assez dubitatifs au début de la ballade sur sa capacité à grimper/descendre les côtes.
Aussi une dame m’a dit connaitre un monocycliste qui faisait du tout-terrain du côté de Gif-sur-Yvette/Courcelle, un certain Thibault. Il m’a quasiment fallu la semaine pour me dire que je le connaissais peut-être : en 2007 environ, j’avais ressorti mon 20" Semcycle, et étais allé quelques fois au gymnase de Bures-sur-Yvette où un club de mono s’était monté -« les Rouletabilles » maintenant localisés à Paris-. Je n’ai plus mes mails de l’époque (je dois les avoir sur une vieille VM kde), mais un des responsables s’appelait Thibault, il pouvait faire du basket. Il y a peut-être quelqu’un ici pour confirmer que c’est bien le même. A l’occasion, il peut m’envoyer un MP.
7 « J'aime »
Samedi, ils sont nombreux à s’être interrogé la dessus aussi
1 « J'aime »
Allez hop, au tour de mes petites sorties d’être partagées ! Après un Mouss’tache Muni fort sympathique durant lequel j’ai réussi des trucs que je ne pensais même pas être capable d’essayer, j’ai décidé d’aller voir ma famille dimanche. 5h de route pour rentrer des Vosges en voiture, arrivée à Lyon à 16h20, juste le temps de me préparer pour repartir à 17h. Objectif : attraper le train de 17h30. Contrainte : rouler avec porte-bagage + sac à dos pour transporter le fromage et les fraises que je ramène de MM 
La gare étant à à peine plus de 3 km de chez moi, ça ne pose pas de problème. Après 45 minutes assis dans le train, j’arrive à la gare la plus proche de chez ma famille. À savoir, à 18 km de là ! C’est pas la première fois que je fais ce trajet, mais il y a toujours une partie un peu compliquée : 2 x 2 voies avec des accotements étroits. En somme, cette section, c’est un peu la hantise du cycliste. Elle doit faire un peu moins d’un km, mais ça suffit pour qu’elle soit très désagréable. Après ça, 2 petits kilomètres sur la départementale, à peine plus agréables. Les 12 km suivants sont sur piste cyclable en voie propre, donc plutôt cool. Seul point noir, elle croise régulièrement les petites routes et les voitures ont la priorité 
Au final, j’ai roulé à une vitesse similaire à celle que j’ai tenue durant le 10 km de l’Unicon. Quand je vous dis que je n’arrivais pas à rouler à l’époque…
Petit bonus, aucune fraise n’était écrasée. Et le munster était toujours en excellent état. Ce qui a donné lieu à un bon gros plat de « munsteriflette » (je connaissais pas, mais c’est super bon en fait ).
Aujourd’hui, retour dans l’autre sens. Même charge, à l’exception du fromage et des fraises. J’étais pas sûr d’avoir beaucoup de temps (il fallait que je passe à la boulangerie puis dans un autre magasin), donc j’ai roulé un peu vite. D’ailleurs, vous avez déjà essayé de manger une part de tarte aux pommes en roulant à 25 km/h en 36S ? Ça se fait plutôt bien 
Résultat : j’ai fait 10 km à 29,2 km/h, soit 20 minutes et 31 secondes. Mon record ! 
La prochaine fois, j’enlève le sac et le porte-bagages et je dépasse allègrement les 20 minutes/10 km. Bon, on peut objecter que le trajet est tout droit et qu’il ne faut donc quasiment jamais ralentir. C’est pas totalement faux, mises à part les petites routes ! Mais il y avait aussi un peu plus de dénivelé positif que négatif
D’ailleurs, à un moment, je me suis dit que je me traînais un peu. En regardant ma montre, j’ai vu que j’étais à 29,4 km/h…! La 36S, c’est fourbe. Ça roule tellement bien que t’as l’impression de ne pas avancer alors que t’es déjà en train de tracer 
Au final, plutôt content de ces sorties. Je ne pensais pas rouler aussi vite. Mais ça me motive à m’entraîner un peu !
7 « J'aime »
Non, mais j’ai mangé des barres de céréales et des noix de cajou à 20 à l’heure en 29 pas S
1 « J'aime »
Bonne réponse ! Et je pense que c’est plus dur à 20 km/h en 29 qu’à 25 km/h en 36S. J’ai l’impression que ce qui déséquilibre, c’est le fait de mouliner. À 25 km/h en 36S, on doit être aux alentours de 100 tr/min. À 20 km/h en 29", on doit être aux alentours de 140 tr/min. Donc le deuxième est plus dur que le premier. CQFD 
1 « J'aime »
Il faut quand même tenir les 25 km/h en 36S…
Faciiiile
Avec un peu d’entraînement, j’ai pas l’impression que ça soit trop dur. Le rythme de 100 rpm est assez tranquille à tenir.
Oui, mais il y a quand même une certaine puissance à transmettre, qui pousse le cardio et la respiration, ce qui n’aide pas à manger.
1 « J'aime »