Pédales avec picot? En plastique? Métalique?
Métal & picots. 
Fourvière en mono? 
Tu es parti de la rue de la bombarde ou de Saint-Paul? 
Avec quel matériel?
là, je dois dire que je ressens un certain respect… 
J’ai bien grimpé le mont cindre, mais c’est un peu moins violent 
Honnêtement, je ne sais plus quelle rue on avait emprunté à ce moment-là
Ce que je me rappelle, c’est que l’on avait commencé par la montée du Gourguillon (bon, celle-là, je ne suis pas encore arrivée à la faire… Grrrr)… J’étais en 36"/100mm.
Je 'ai grimpé Fourvière à plusieurs reprises avec le même matériel par différentes rues. Elles sont un peu pentues mais pas super longues, donc ça va. Mise à part cette satanée montée du Gourguillon que je compte bien réussir lors de mon retour à Lyon (je suis passé à du 36/89 donc ce sera sans doute un peu plus dur… Mais elle va finir par passer !).
Ouahou !.. Abrasan, tu as des manivelles de 89 mm sur un 36 pouces?! Je n’ai jamais essayé (je suis en 125) mais ça me parait sacrément court pour monter des côtes, bonjour les cuisses ! D’ailleurs une question : Quelle est la taille des manivelles généralement utilisées de celles-ceux qui courent le marathon en 36 pouces(sans schlumpf) ?
Je roule en pédales autotamiques, ce qui permet de soulager énormément les cuisses, que ce soit sur du plat, de la montée ou de la descente.
Peu de personnes font le marathon en 36" sans Schlumpf (parce que pas compétitif du tout). Sinon, on oscille entre du 89mm (pour le record du monde) et du 125mm, selon les goûts. Plus long, c’est trop fatigant et plus court, c’est trop peu maniable.
La météo ces derniers temps n’a pas été des plus clémentes, et je dois avouer que j’ai préféré la marche sous parapluie au monocycle option piscine pour mes trajets en direction du boulot ces derniers temps. Cela ne m’a pas empêché de sortir quand même la bête par trois fois la semaine dernière, et de constater l’avancée de mes progrès.
En gros, j’en suis à peu près à une fois sur deux pour le freemount, ce qui est encourageant. Je gère beaucoup mieux le replacement des pieds sur les pédales, et ce des deux côtés. Par ailleurs, je me suis rendu compte que pour le même trajet (maison-boulot et retour), je me sens aujourd’hui beaucoup plus à l’aise: les parties irrégulières du trajet qui me faisaient transpirer l’été dernier en les passant ne me posent plus de problème. Il y a toujours des zones où je suis prudent (je n’aime pas trop les enchaînements de trottoirs), mais la difficulté principale que je rencontre aujourd’hui est la montée – une fois sur la bête, tout roule ou presque (encore une fois, je roule pépère sans chercher à faire du street ou quoi que ce soit).
Je pense qu’une fois les beaux jours revenus, je vais sérieusement 'm’atteler à essayer quelques petits tricks, histoire de me pousser un peu à travailler et à gagner en assurance.
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Morale d’une expérience récente (pas plus tard qu’hier soir):
monocycle + retour de soirée arrosée + nuit + trottoir mouillé = prise de risque
Pas de bobo à l’arrivée, mais clairement pas une stabilité à toute épreuve. J’ai vraiment senti l’effet de l’alcool dans certaines pertes d’équilibre. Bref, j’y repenserais à deux fois si jamais l’occasion se présente à nouveau.
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Oui, il est généralement déconseillé de boire avant de faire du mono. Je me rappelle d’une séquence traumatisante lors de ma première convention : un monocycliste ivre s’est lancé à pleine vitesse en 36" et a voulu s’accrocher à un panier de basket. Il s’est accnoché, mais le mono s’est barré avec sa vitesse. Lui, il n’a pas réussi à tenir et est retombé sur le dos. Il ne bougeait plus et, étant au premier plan, je me suis dit que c’était le premier mort que je voyais. Heureusement pour lui, il n’est finalement pas décédé sur le coup. Il a simplement passé quelques jours à l’hôpital…
Dans tout ça, il faut retenir un truc : l’alcool nuit gravement au monocycle, surtout quand on a déjà des comportements dangereux à la base !
Perso j’ai testé dans des conditions merdiques, je devais prendre mon matelas dans ma voiture, et j’ai vu mon mono, j’ai donc essayé et oublié de le ranger. Une heure après je faisais du mono sur un balcon.
Tu n’es pas encore prêt pour une soirée Pont Pont Ponch alors ? Celle qui consiste à faire chaque pont de Paris et boire un shot de rhum à chaque ? Il y a 37 ponts au total…
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Ah non, le Pont Pont Ponch n’est décidément pas un truc pour moi. Même en faisant abstraction du fait que j’ai l’alcool triste, mon expérience d’hier m’a vacciné contre ce genre de truc pour l’instant. Peut-être plus tard, quand je maîtriserai mieux.
Et 6 mois dans un corset. Enfin l’hurluberlu en question n’en était pas à son coup d’essai, avec, ou sans alcool ! 
En l’occurence ce serait un gros raccourci d’attribuer cet accident à l’alcool uniquement 
!
Pour citer un grand philosophe des temps modernes, « c’est un détail de l’histoire » (dont je n’avais jamais entendu parler par ailleurs 
).
C’est sûr. D’où ma conclusion : alcool + comportements dangereux à la base = BOUM. Et nous, on n’aime pas les gros BOUM. Seulement les petits.
j’ai aussi vu des choses étranges: il parait que les chutes de quelqu’un alcoolisé sont moins dangereuses car les muscles sont relaxés. J’ai été témoin de quelques cabrioles dans mes aventures de musicien de fanfare et j’ai toujours été scotché par le peu de dégats laissés par des chutes spectaculaires. Les fanfarons picolent sévère, j’en ai vu un se jeter dans la foule depuis l’estrade… sauf que la foule s’est écartée → PLAF! pas le moindre bobo! un autre est tombé tout le long d’un escalier en colimaçon à la sortie du bar → même pas mal! etc. etc. Il y a un dieu pour les ivrognes (mais s.v.p. ne faites pas ça 
)
Gingo pourrait te répondre que les statistiques sur 2 cas n’en sont pas (et il a raison)
Le forum est calme, et pour ma part le mois de janvier est toujours très, très occupé. Sans compter que la météo n’a pas été très clémente ces derniers temps, et qu’avec mon niveau de fatigue, j’avoue que je suis moins tenté de prendre le monocycle sachant que je vais devoir affronter la pluie/le vent/la nuit. Bref, j’ai un peu levé le pied en attendant des jours meilleurs.
J’ai quand même fait quelques sorties le week-end, histoire de ne pas rouiller, avec notamment un petit tour sur la coulée verte en famille, ce qui nous a valu pas mal de remarques (en fait, surtout pour mon fils – à croire qu’un petit garçon qui fait du monocycle, c’est incroyable, mais son père qui suit derrière en monocycle aussi, c’est d’un banal absolu).
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bonjour: quelle « coulée verte »? celle qui part de la gare de Lyon ou celle qui part au Sud vers Massy? (dans ce dernier cas je peux venir vous accompagner).
Celle qui part de la gare de Lyon (du côté de Nation).
Grosse séance aujourd’hui, à passer une bonne heure à travailler la montée sur manivelle (crank mount en anglais, j’imagine). Et j’y suis arrivé! Bon, seulement trois ou quatre fois sur l’ensemble de la séance, mais quand même.
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