faut le mettre dessus au lieu de dessous ou comme Martin qui met les bar-ends de manière dissymétrique il me semble … ou ne pas tomber
Romain m’avait aussi conseillé de mettre le levier au-dessus, mais je en trouve pas ça pratique. Ça va à l’encontre du mouvement naturel qui demande de tirer pour éviter de basculer en avant (le plus gros problème e 36" à haute vitesse). J’aimerais bien ne jamais tomber, mais comme en ont témoigné Martin et Simon à la CFM 2018, c’est impossible.
Bref, on s’éloigne un peu du sujet
Ca y est, j’ai récupéré un vieux OnlyOne pas loin de chez moi. Est-ce que vous avez des petits exercices à faire ?
Monter sur le mono, foncer, ramasser le mono et recommencer à raison de 20 à 30 minutes par jour
Ca a le mérite d’être clair et précis, merci
Pas mal de pistes ici :
https://forum.monocycle.info/search?q=conseils%20d%C3%A9butant
En général en mono on ose pas se lancer en avant, et c’est pourtant la clef du succès. On a tendance à plutôt tomber en arrière…
Niveau confiance ça m’a aidé de prendre conscience qu’en terme de hauteur on est quasiment au niveau du sol, à peine plus haut qu’à pieds.
Aide-toi d’un mur ou d’un poteau quelconque au début pour te lancer, et arrête de t’en servir dès que possible : les aides les plus pratiques sont aussi les plus difficiles à abandonner
Tu peux lire le Girafon fédéré numéro 14 page 28
Tiens-nous au courant de tes progrès, ne te décourage pas ; les débuts sont les plus difficiles mais tu vas vite progresser.
en général je donne le conseil préliminaire suivant:
- la première chose à faire est d’avoir la « sensation » en restant assis
donc : mettre les manivelles à l’horizontale, s’accrocher à un mur ou une grille pour s’asseoir… garder les manivelles horizontales, regarder au loin et cherche la sensation d’être assis(e) confortablement… c’est une sensation très « zen »… balancer très légèrement les manivelles d’avant en arrière tout en restant le plus assis(e) possible…
au début écarter les bras pour garder son équilibre - après seulement se lancer mais veiller à ne pas appuyer comme un bourrin sur les pédales (ça vous sortirai du siège) et mouliner très régulièrement (dès que les manivelles s’arrètent de tourner (surtout si elles restent en position verticale) → on tombe… mais c’est pas grave : laisser le mono tomber (il est fait pour ça!)
au début on « bat des ailes » avec les bras mais c’est pas grave
bon courage
Merci pour tout vos conseil, j’ai commencé et même si ce n’est qu’un début j’ai trouvé la sensation super agréable
Voilà des nouvelles : je commence à me sentir de mieux en mieux sur le monocycle et ça me fait très plaisir. Je fais quelques mètres sur ma terrasse un peu laborieusement mais j’adore ça. J’essaye aussi d’apprendre à monter sans prises sur le monocycle. J’ai vu comme conseil qu’il fallait s’essayer avec les deux pieds, mais je suis déjà plus à l’aise d’un côté que d’un autre.
J’espère que vous réussissez à pratiquer vos différentes passions.
A bientôt
Bien tout ça !
Démarrer des 2 pieds c’est intéressant mais cela doit faire 10 ans que je n’ai plus essayé et je m’en passe très bien. Au départ ça peut te permettre de trouver ta meilleure façon de démarrer et après à toi de voir si tu persistes avec 2 pieds ou pas
Bonjour à tous, quelques petites nouvelles : j’essaye de m’entrainer régulièrement, et suis de plus en plus à l’aise pour démarrer sans point d’accroche. En revanche, j’ai un autre problème : je ne parvient pas à rouler sans accroche. Quand j’essaye mon cerveaux bloque complètement et me fait direct retourner sur le sol. Je pense que je vais acheter quelques protections (notamment pour poignets) pour voir si ça débloque quelque chose. Je suis preneuse de touts vos conseil sur le sujet.
Bon longs Week-end à vous
Salut !
Je ne suis pas sûr de bien comprendre ce que tu désignes comme point d’accroche…
Au début, il faut se focaliser sur le fait de rouler. En effet, il est nettement plus facile de rouler que de monter sur le monocycle sans appui. Je dirais même plus qu’apprendre à monter sur le monocycle sans appui risque de te décourager… Monter sur le monocycle est une étape suivante de l’apprentissage.
Tous les ans (ou presque…), au marathon (et semi-marathon) de Rennes, il y a des participants qui finissent l’épreuve alors qu’ils ont du mal à monter sur le monocycle.
Avec une vidéo on pourrait tout de suite identifier ce qui t’empêche de progresser
Essaye de trouver un endroit dégagé, où tu peux te tenir contre un mur/barrière… pour te lancer avant de te lâcher. Regarde bien devant toi et n’essaye pas de rattraper le monocycle quand tu chutes, et il n’y aura aucune de raison de te faire mal.
Personnellement, j’ai débuté le mono il y a 15 jours. Je me suis principalement entraîné dans mon garage (11 mètres) en m’aidant du mur et progressivement j’ai réduit les points d’appui pour maintenant faire les 11 mètres sans aide.
Il y a 8 jours, je pensais être prêt, je me suis lancé sur un parking en m’appuyant sur un poteau pour le départ ; Bilan, j’ai réussi à faire plusieurs fois 5 à 6 mètres mais j’ai également fait de nombreuses chutes plutôt violentes, avec au final une pédale cassée, un énorme bleu au mollet, une peur de remonter sur cet engin diabolique et une impression d’avoir régressé.
Depuis je pratique dans mon garage en musique et avec ma bouteille d’eau à proximité (2 heures hier). C’est parfait pour moi pour l’instant.
Sur ta terrasse, tu peux t’appuyer sur un mur ?
Alors oui, monter sans aide sur le mono, ce sera pour plus tard
Le plus important est de rouler d’abord avec ou sans appuis
perso, j’ai roulé au bout de deux mois sans aide sur 2 km, je suis monté sans aide sur le mono… un an plus tard
Les protections sont une très bonne idée, priorité aux genouillères (voir genouillères / jambières) aux gants et au casque, je ne recommande pas les protèges-poignets qui immobilisent une articulation importante en monocycle, les aficionados de tout terrain me comprendront
Cela dit, j’ai laissé mes deux poignets aux urgences en qautre ans de pratique
en deux fois, c’est plus propre
Je suis un aficionado du tout-terrain et je ne te comprends pas
Au contraire, ça me semble très important dans la mesure où les poignets sont sans doute les premières articulations qui peuvent se tordre. Les maintenir permet d’éviter un séjour aux urgences… Et je n’ai jamais eu de problème à les immobiliser, que ce soit en cross ou en muni
Dans tous les cas, pour commencer, ça peut être pas mal d’en mettre. Les poignets ne sont pas vraiment nécessaires à l’équilibre, donc autant les protéger !
Amina vois cette vidéo si ce n’est pas encore fait et cette deuxième.
Persévèrez Jolitorax et toi, ça va venir ; ne cherche pas à te lâcher si tu ne le sens pas encore.
Il faut expérimenter plusieurs fois la descente involontaire en se tenant à son support (par l’avant mono derrière et par l’arrière mono devant)(en pensant bien à poser le pied par terre et en laissant tomber le mono) bref apprendre à tomber avant de se lâcher, pour éviter les violentes chûtes mentionnées par Jolitorax.
mes propos restent toujours subjectifs et emprunts d’expérience personnelle et ne sont jamais des paroles sacrées loin s’en faut!
J’ai une aversion pour les protèges poignets en cas de chute sérieuse, ils exposent les doigts à de gros dégâts en raison du poignet bloqué, en tout cas ceux que j’ai utilisé
donc non.
Effectivement les premières chutes sollicitent beaucoup cette partie du corps, pas facile de tomber avec élégance ou mieux de retomber, tel minou , sur ses pattes, c’est ce qui m’est arrivé deux fois
à chacun de voir, mais mes doigts sont assez précieux
En revanche, je trouve que les coudières sont indispensables au début et longtemps après parce qu’on s’allonge souvent dans les premières cascades les coudes encaissent pas mal de chocs.
D’ailleurs c’est drôle, mon équipement est intact à gauche et totalement ruiné du côté droit, ce serait intéressant de faire une rubrique « votre style de chute »
Chutes qui redeviennent à la mode après toute cette période statique , je ne sais pas pour vous mais moi je tombe plus souvent qu’avant, mais ça fait du bien d’y retourner
Merci pour vos conseil et encouragement, je vais voir pour acheter des protections.
Je vous referez des points sur mes avancé / mes questions quand il y en aura
Une fois de plus merci
En fait il y a protège poignets et protège-poignets.
Certains sont des incitations à la rupture du radius (expérience vécue par mon épouse: la plaque sur le dessus de la protec casse l’os. Donc à proscrire!).
perso j’utilise de vieilles protecs de hockey sur patins à roulettes qui amortissent les chocs sur la paume et ensuite les gants Kh pour resserer (mais sans plus) autour des poignets. (moi aussi deux fractures des poignets sur des chutes en partant en arrière).