Bien c’est cool ça ! Étant débutant comme toi je confirme que ça tire dans les cuisses et les genoux…et commence la montée autonome, même si ça te parait loin ça t’en rapprochera quand même.
Je trouve fascinant dans la pratique du mono comment un truc qui parait lointain voir inaccessible devient réalisable avec patience et persévérance. Pas de pression pas de stress le temps au corps de mémoriser.
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Bon, je viens d’atteindre un premier palier primordial : j’arrive à rouler 40m. Ça n’a l’air de rien mais ça me permet d’aller jusque chez mon voisin (celui qui a une tireuse à bière). Bien ou mal pour ma pratique, je ne sais pas encore…
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Avec le temps, tu apprendras aussi à décapsuler des bières avec tes rayons en faisant tourner ta roue. C’est une aptitude primordiale en convention ! (D’ailleurs, nous t’attendons pour les UNICON en 2022. 
)
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Ça marche très bien avec certaines pédales métalliques
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J’ai tant à apprendre, ça laisse pantois. 
Juste pour savoir : c’est beaucoup plus facile pour moi d’avancer en légère pente descendante qu’à plat, et bien plus dur en montée, même légère. C’est toujours le cas, ou ça veut dire un truc sur ma position ? (par exemple, quelqu’un qui serait trop en arrière sera avantagé en descente et un gars trop en avant avantagéen montée…) ?
Il est possible aussi qu’au lieu d’un problème de position avant/arrière, il puisse s’agir d’un problème de façon de pédaler, de confiance…
Quand la route est en pente même légère, la gravité force l’avancée et donc un pédalage hésitant ou haché ne sera pas manifeste comme il peut l’être en contexte neutre (vrai plat) ou pire quand il est mis au défi (en montée).
C’est vrai que la position du corps en mono est similaire à la marche: penché en arrière en descente, en avant en montée. Mais comme pour la marche, se pencher excessivement ne va pas faciliter la marche sur le plat 
Les facteurs sont nombreux et avec le temps et la pratique, ça devrait être plus clair ce qui pèche et ce qui n’était que le temps d’adaptation.
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Oui c’est normal je pense. Moi aussi, débutant, j’avance plus facilement en pente douce, j’aurai tendance même à vouloir ralentir et ce ne sont plus les même muscles qui travaillent. En montée, c’est un peu comme en vélo, faut plus de puissance et c’est ( encore plus) difficile de rester bien assis.
La montée autonome m’a été plus facile au début en légère descente ( merci Sam du tuyau !)
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Le fait d’être plus à l’aise en descente n’est pas étonnant, mais c’est vrai sur des faibles pentes.
Quand ça descend beaucoup, le pédalage devient beaucoup moins naturel, alors qu’en montée il faut « juste » forcer. Par la suite, tu découvrira que, selon ce que tu travailles, tu préféreras la montée, le plat ou la descente (glide/1 pied en descente, wheel walk en montée, marche arrière sur du plat pour moi)
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Je note tout ça… Et j’y retourne. Merci pour les tuyaux. C’est chaud tout seul dans son coin…
tout à fait normal
j’ai appris le mono au fils de ma compagne en légère descente en marchant à coté de lui et c’était bien plus simple pour acquérir les réflexes d’appuyer légèrement sur les 2 pédales de façons presque identique
ensuite il est passé sur du plat à devoir gérer d’appuyer plus fort devant que derrière et il a très vite appris à rouler tout seul
bon apprentissage !
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ça c’est une question de style: pour la descente je pense que le contraire est aussi possible.
D’abord en montagnard je vais affirmer qu’il est souvent dommageable de se pencher en arrière en descente c’est vrai pour la marche et pour le ski (pour moi c’est très souvent tout le contraire: le buste en avant!).
Du coup j’ai un style perso en mono en descente: le buste très en avant et mes pieds empéchant les pédales de remonter (j’appelle ça la « position du chimpanzé »). Bien sûr ça peut dépendre de plusieurs circonstances et ce n’est pas systématique.
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Bon, du coup, je viens de créer un groupe sur FB sur le monocycle en gwada, histoire de voir si je peux propager la bonne parole…
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Bon, ben 90m sur les terrains de hand/basket du groupe scolaire voisin. C’est top un sol tout lisse pour vraiment sentir les ajustements que l’on peut faire (plus s’appuyer sur la selle, moins forcer sur les pédales, plus ou moins se pencher en avant…). Sur sol plus inégal, c’est moins sensible. La, on sent vraiment finement les effets.
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Bon, à ce jour, on en est à peu près la :
Je tourne bien malgré moi toujours un peu vers la droite et se remettre dans l’axe me coûte pas mal d’à coups, mais ça avance…
https://drive.google.com/file/d/1B8WpuvmuOfIaQl_Q257HIDtygMzXmeV0/view?usp=drivesdk
Si vous avez des remarques (constructives), je prends…
Tu peux essayer d’accélérer un peu
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Et sinon le secret c’est pratiquer
Mais c’est très bon ça !
Tu peux te donner des petits challenges de réussite : partir et revenir à ton point de départ (regarder vers l’intérieur du virage et tourner les épaules)(dans un sens et dans l’autre), faire une traversée de terrain et descendre gracieusement (choper la selle, descendre derrière le mono (plutôt que de te vautrer en avant)), mettre en place un slalom (avec des demi-balles de tennis ou autres objets très écartés au début), varier la vitesse (accélérer, ralentir, contrôler).
Tu dois maintenant bosser la montée autonome (si tu arrives à descendre gracieusement c’est le même mouvement à l’envers).
Tu peux commencer à bosser le surplace et à sauter sur place (en te tenant).
Un peu plus tard : rouler avec une main sur la selle (puis l’autre) ou les mains sur les hanches, les épaules, la tête.
Tu dois pouvoir aller facile chez ton voisin (celui de la tireuse) mais essaie d’en revenir 
Tu n’as pas encore trouvé d’acolytes pour jouer avec toi ?
C’est sympa de voir une belle progression comme ça, continue !
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Merci ! Je note tout ça et j’y retourne. Le premier objectif est en tout cas atteint : je peux faire du monocycle pendant que ma fille fait du vélo. Le second, c’est le même que le premier mais sur sentiers (ce qui suppose des bosses et la montée autonome…)
Mais sinon, comment ça, elle n’est pas gracieuse ma descente ?! 
Une (très) belle descente (selon moi) est celle où tu passes en un pied avant de t’arrêter en descendant par l’arrière (même si le un pied ne dire qu’un demi tour de pédale).
Elle permet de gagner du temps (tu peux continuer de marcher), et puis elle est très classe (tu peux faire glisser ton pied au dessus du sol, et à l’instant où il touche le sol, tu lâches l’autre pied et enchaîne en marchant).
Sur une grande roue, tu utilises le frein pour ralentir, et c’est au moins aussi classe.
Voilà, ça peut être ton objectif de maîtrise de la descente (pas besoin de maîtriser le 1 pied, tu fois juste réussir à retenir ton mono sur 1 ou 2 m).
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