Il y a des infos sur le site Gravelman ? On ne peut accéder à rien (même pas aux tarifs) tant qu’on n’a pas créé de compte.
EDIT : Je me suis connecté avec mon compte gmail, j’ai pu voir un peu le contenu. Par contre pour le 200km, une fois il est noté 1500m de D+ et plus loin, c’est 2500m de D+.
Généralement c’est autour de 2000 m de D+ sur le 200, mais on aura l’info exacte 10 jours avant.
Comme la trace n’est pas encore faite ils ne peuvent pas dire exactement.
Samedi à 8h, j’ai pris le départ du 200 km route de l’édition Breizh Mont Saint Michel St Malo. Au programme : 200 km (hors taxe) et 1600 m de D+.
Le parcours partait de St Malo, longeait la mer jusqu’au mont st Michel, puis partait dans les terres, vers le sud Manche, avant de rentrer à St Malo par la campagne.
J’étais accompagné de mon beau frère (lui en vélo).
On a donc démarré à 8h, avec la traversée de Saint Malo. C’est joli, mais la ville c’est définitivement pas agréable (surtout quand la bande cyclable fait moins d’un mètre et est en dévers).
Ensuite, on a longé la mer pendant une cinquantaine de kilomètres, jusqu’à arriver aux portes du mont st Michel. C’était magnifique, par contre il y avait pas mal de voitures. Niveau sensations, c’était top, on roulait fort sans sensation de fatigue (même si un petit vent de face de faisait sentir).
Après le mont, on est arrivé en Normandie. Et là, la route plate a laissé la place aux petites bosses, pas très raides, pas très longues, mais cassé pattes. À l’approche de saint hilaire (et des 100 km), les quadriceps étaient douloureux, impossible de vraiment appuyer dans les côtes.
On a fait une pause repas à st hilaire (le combo sandwich jambon-beurre-fromage, baguette apéro, éclair au café, poignée de noix de cajou ça pèse dans le bide).
Et après on est arrivé dans la partie vraiment vallonnée. Les jambes étaient toujours lourdes, mais ça roulait bien. À partir de là, les sensations étaient globalement fixes, ça faisait mal, mais c’était tolérable.
On a fini par rentrer au camping aux alentours de 18h20, à temps pour profiter de la piscine, si on n’avait pas oublié nos maillots.
Bref, c’était une super journée, qui a piqué, mais m’a mis en confiance pour ma tentative de record des 100 miles prévue dans deux semaines. Comment ça j’en ai pas parlé ?. Et j’ai enfin trouvé une alimentation qui semble convenir : hydratis dans le camelback, et hydrogels toutes les 45 minutes - 1 heure.
Trop fort !
Je ne sais pas à quel point vous avez trouvé des chemins, mais pour avoir accompagné des collègues qui faisaient leur premier 100 km (à vélo hein) sur un circuit similaire dans sa première partie, j’avais trouvé horrible le passage sur la D155 (St Benoît des Ondes - Cherrueix) avec beaucoup de dépassements très dangereux.
À quel point c’était du gravel ? Grosse caillasse qui arrache les flancs du pneu ou petits sentiers avec gravillons ? Il y avait des nids de poule dans les chemins ?
S’il faut savoir lire maintenant… Où va le monde ? Et pis c’est quoi cette histoire de Gravelman où tu fais de la route ? C’est n’importe quoi cette transidendité des compétitions.
Sam, tu sais que c’est pas parce qu’il est écrit « ptet ben qu’oui, p’tet ben qu’non » sur ta CNI que tu ne peux pas t’identifier brétillien après avoir vécu aussi longtemps à Rennes…
('fin moi j’dis ça parce que j’ai du sang normand mais j’ai choisi ma région hein)
En l’occurrence, il y avait un ravito à deux pas du mont st Michel à l’ouest du Couesnon, et on s’est éloigné dès qu’on a traversé. Donc on est arrivé en Normandie après être passé au plus près du Mont.