Il faut bien dire aux débutants qui se tiennent à un truc (barrières, murs, rambardes) de bien avancer les mains au fur et à mesure pour garder leur centre de gravité au-dessus de la roue.
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En informatique, branche intelligence artificielle.
Je n’aime pas trop quitter mon confortable anonymat, mais si tu cherches climate clustering lesser Antilles, tu devrais trouver de quoi satisfaire ta curiosité
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C’est normal je te comprends, merci pour les informations ! 
c’est toujours intéressant d’étendre son périmètre d’ouverture à de nouvelles choses.
Je ne voulais nullement me montrer indiscret 
Pas non plus le grand âge, hein 
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Il y a un avantage à partir dos au mur plutôt qu’utiliser un appui sur le côté comme un poteau ? Parce que dos au mur j’arrive pas. Enfin je tombe direct 9 fois sur 10 alors qu’en utilisant un poteau je fais une petite avancée.
Non, ça va, du haut d’un 20 pouces j’ai pas trop le vertige. Et puis j’avais déjà l’habitude de lâchement balancer mon vélo et sauter sur mes pieds en cas de chute donc ça a pas été trop dur à transposer au mono.
oui…
Et je crois que je pense plus à faire du monocycle qu’à en faire pour de vrai, ça aide pas à progresser…
En fait le tout début a été rapide : arriver à un tour de pédale sans appui c’était de l’ordre d’une demi-heure de pratique, je dirais. Et depuis, je stagne lamentablement. J’ai décidé de retourner un peu à ma fidèle rambarde pour me souvenir de la sensation de tour de pédale. Et une fois de temps en temps je fais quelques mètres et c’est hyper chouette. Par contre j’ai énormément de mal à rester assise sur la selle. En fait j’ai remarqué que plusieurs fois je tombais parce que j’étais debout sur les pédales avant de vraiment perdre l’équilibre. À partir d’aujourd’hui je tente de faire du « surplace assisté » en pensant à mettre le poids sur la selle. J’imagine que ça m’aide à sentir comme faire pour m’équilibrer.
C’est un savant mélange de fascination et de frustration, l’apprentissage de cet engin !
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Il faut insister jusqu’au moment ou on commence à se faire plaisir et ensuite, ça va mieux 
Comme dans beaucoup d’autres disciplines, l’apprentissage est très difficiles et par conséquent le plaisir est souvent absent au début 
C’est équivalent à l’apprentissage d’un instrument de musique ou du surf je trouve
Quand tu rouleras un peu sans tomber à chaque fois, même que quelques mètres, tu commenceras à te faire plaisir et ça va tout changer
d’ailleurs, tu le dis toi même:
Ca demande pas mal d’investissement et de motivation au début mais je pense que c’est ton cas alors il n’y a aucune raison pour que tu n’y arrives pas
En tout cas, ç’est ce que je pense mais ce n’est que mon opinion
Bon courage
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Est ce que tu sens ce qui fonctionne quand ça fonctionne ? J’entends par là est ce que tu as l’impression de développer des ressentis ou de stagner car quand tu arrives un peu tu ne sais pas comment tu fais.
Si tu as l’habitude de l’assistance de ta rambarde tu peux essayer de faire les premiers mètres avec, de manière fluide et poursuivre au delà de la barrière.
Et sinon, moi je n’étais pas à l’aise dos au mur. Alors à toi de voir si c’est dos au mur ou avec un poteau sur tu te sens le plus à l’aise. Chacun est différent 
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Personnellement quand j’ai commencé à me lancer pour rouler, je me tenais à un poteau dur un terrain de basket. Je trouve que le mur n’aide pas du tout. Tu as tendance à te pencher vers lui et du coup l’équilibre est quasiment impossible à trouver.
Autant la rembarde peut aider, mais je persiste à croire que pour progresser plus rapidement il faut se lâcher en apprenant tout de suite à retomber sur les pieds.
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Euh… alors les fois où « ça fonctionne » arrivent de façon un peu aléatoire et me prennent généralement par surprise. Même si ça a plus de chances d’arriver quand je me dis « bon, j’y vais à fond » que si je suis hésitante. Jusque là rien de très étonnant. Sinon il me semble qu’être mieux assise sur la selle aide peut-être. Ou alors pédaler plus ? Moui, j’ai pas encore trop bien mis le doigt sur la formule magique, c’est à l’étude.
Tant mieux Bud, ça me rassure parce que comme tu dis, avec le mur les bras dans le dos je suis déséquilibrée à tous les coups donc si je peux ne pas m’acharner avec cette technique ça m’arrange carrément !
Je note aussi la multitude de terrains de baskets dans vos terrains d’entraînement, j’ai jamais eu une étendue aussi immense à ma disposition ! Enfin si mais il y a toujours des obstacles dessus.
Haha, merci. Oui, comme ça a été assez souvent répété sur ce forum c’est avant tout une question d’obstination de persévérance, tant qu’on abandonne pas, on n’échoue pas. Et ce fil avec tous vos encouragements m’aide bien, mine de rien. Du coup, merci !
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D’accord avec @Bud !
Et ma proposition que tu roules en tenant la main de quelqu’un qui marche coté de toi ? Je crois que tu as besoin de passer par cette phase là afin d’être bien à l’aise avant d’oser te lâcher toute seule.
Je dis ça de ma petite expérience, avec ma fille notamment, avec une amie aussi, ça permet de rouler et rouler en prenant du plaisir au lieu de restée frustrée de ne pas y arriver et de ne pas progresser …
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je ne suis jamais parti avec un mûr dans le dos, même en roulant un peu, mais plutôt poteau sur le coté. Perso, au début j’ai fait pas mal avec le mûr sur le coté, mais effectivement je me penchais vers le mûr… jusqu’à ce ce que je trouve un endroit avec une rambarde de chaque coté ( comme les barrières qu’on utilise au club) et ça m’a beaucoup aidé. Il faut avoir une vitesse régulière et suffisante, l’assise est venue après ( longtemps après même si je le cherchais…). J’ai eu beaucoup de mal au départ à enchainer les tours et à passer le point mort ( manivelles à la verticale, un pied en haut un pied an bas). Je me concentrai sur un truc à la fois quand j’arpentais avec un mûr, (seulement les jambes et quelle est la sensation de pédalage (différente de celle du vélo), pourquoi les tours ne s’enchainent pas, qu’est ce qui se passe quand je me penche etc…Rouler entre les barrières puis continuer sans rien à coté marche bien au club mais ce n’est pas facile de trouver un couloir de barrières…Puis Il y a un moment où il faut braver sa peur ( seulement quand on le sent, pas trop tôt, j’ai beaucoup transpisrer revenu aux barrières etc…) et se lancer dans sans rien à coté…car j’avais tendance à me sentir rassurer avec une barrière ou un mûr à coté mais (je ne m’en suis rendu compte que le pas franchit) il y a un phénomène psychologique qui fait que le corps ne mets pas les même chose en route pour trouver son équilibre si il y a un truc à coté ou si il n’y à rien… enfin je l’ai vécu comme ça et on a un ressentit différent pour chacun d’entre nous. Je ne suis pas des meilleurs conseils, car débutant et en prenant pas très vite, c’est juste un partage de sensations que j’ai eu. Si tu as quelqu’un de temps en temps qui marcher à coté de toi et que tu roule la main posé sur l’épaule puis qui s’allège aide bien aussi car le corps enregistre la façon de s’équilibrer… Patience et courage tu va y arriver
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De ma petite expérience de « formateur », je peux dire les choses suivantes :
- Éviter de rouler avec un mur, il aide pour comprendre comment se comporte le mono mais c’est tout
- Tenir la main de quelqu’un aide. Ça a l’avantage par rapport à l’épaule qu’on est un peu plus loin (covid, et surtout manivelles dans les tibias), et qu’on s’appuie moins.
- Une fois que tu maîtrises en tenant la main, tu peux tenir juste deux doigts, puis 1, puis juste le petit doigt, puis lâcher (ça marche surtout pour ceux qui n’ont pas trop confiance)
- Chez les ados mecs, surtout skaters/ sportifs, il vaut mieux être plusieurs à bosser ensemble, il y aura un phénomène d’émulation et de correction des uns vers les autres.
- Ces derniers ont souvent tendance à ne pas demander, voire refuser qu’on les tienne.
- Pour savoir rouler en autonomie, il faut généralement une ou deux semaines avec une pratique régulière (quotidienne ou presque).
- Le secret, c’est de … S’ENTRAÎNER, encore, encore et encore.
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Alors j’ai tenté quelques mètres avec une piétonne mais c’est surtout elle qui a passé du temps sur le mono pendant que je l’assistais, pas trop dans l’autre sens puis aussi quelques mètres avec une rolleriste, ce qui a l’avantage de faire un appui instable mais j’ai eu l’impression que je m’appuyais encore plus sur elle qu’avec la rambarde ou rien. Et puis surtout y a pas foule de volontaires, c’est pas passionnant de faire des aller-retours en aidant quelqu’un. Faudrait que j’offre des rétributions en bières et gâteaux peut-être. (ces derniers jours j’étais aussi auto-confinée en attente de résultat d’un test pour cause de symptômes covid-compatibles donc pas possible de faire mieux que dans le salon.)
Haha, je me sens pas trop concernée par cette catégorie mais j’imagine que ça marcherait bien quand même.
Quotidien ce serait idéal mais en pratique y a un peu trop de jours où j’ai fini mes journées de boulot trop épuisée et/ou trop tard. Je descends jamais à moins de trois fois par semaines et j’essaie de faire un peu tous les jours.
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Un piéton ou un Roller n’est pas ce que j’appelle quelqu’un pour marcher à côté de toi. Il te faut quelqu’un de disponible et de patient, qui t’encourage et te motive
C’est comme tu veux mais je sens que tu as besoin de prendre confiance en toi pour arriver à pédaler toute seule et que c’est la solution pour toi, d’autres non car ils osent se lancer tous seuls, à chacun son rythme et sa méthode.
On peut en reparler dans un mois pour voir où tu en es
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ça ça serait un argument massue pour moi… mais hélas je suis trop loin!
(pour les autres meetings que tu connais… le gâteaux ça marche plutôt bien: j’ai eu la bonne idée de filer l’adresse du site web des recettes de pâtisseries de mon fils et ça a créé une émulation salutaire!)
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Bon ben si vous n’aimez pas les mûrs, prenez un petit jeunot pour vous appuyer, mais c’est de la discrimination anti vieux !
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Adopteunemilf .com 
Milf : Monocycle I’d Like to Fall from ?
(ça marche presque… Mais avec unicycle, c’est tout pourri)
Ou alors un UILR (Unicycle I’d Like to Ride), mais on s’éloigne…
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J’aime beaucoup le fruit de tes Mécanismes Intellectuels du Lobe Frontal et m’incline devant tant de créativité 
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