J’espère qu’elle ne s’est pas trouvé trop andicapé sur l’handbike… 
Pas hautant que moi sur le « vélo couché » (je ne sais pas si ça a un nom) :
C’est absolument impossible ce truc ! Il faut se lancer avec un pied et trouver son équilibre avant de poser le second pied sur le pédalier. Comme avec n’importe quel vélo (ou monocycle), mais le pédalier est beaucoup plus loin du sol ! J’ai renoncé… en fait, depuis que je fais semblant de savoir faire du mono, je ne sais pas si je saurais encore faire du vélo. Au moins, avec le handbike, pas de souci d’équilibre.
Zut… Y’a un défi là : mettre un monocycliste sur un vélo couché.
il y a un allemand qui s’est fait un monocycle ou on est couché dessus, il a mis un siège avec un pédalier devant. Je n’ai vu personne d’autre que l’inventeur arriver à tenir dessus, c’est chaud.
Avec mon ancien prof de mécanique nous avions fait plusieurs vélo couché. Le premier était très haut donc difficile à démarrer. Ensuite on a fait des versions avec la roue arrière presque dans le dos pour être plus proche du sol et ainsi diminuer le point de gravité.
S’est sympa, on a beaucoup de force dans les jambes car on peut appuyer avec le dos, je dirais même assez impressionnant au niveau de la force. Le désavantage s’est que ça tourne pas très sec.
Au niveau du rayon de braquage, ça dépend du vélo, un vélo couché long et très bas type low racer tourne moins qu’un vélo couché plus court.
Mais au niveau confort, il n’y a pas mieux que le vélo couché, on ne se fait pas mal au q avec la selle et on a pas le dos plié en deux. Et question équilibre, ce n’est pas plus difficille que d’apprendre à tenir sur un vélo droit et plus simple que tenir sur un monocycle.