Salut à tous !

Bonjour à tous,
Ca faisait bien longtemps que je trainais sur ce forum sans jamais m’être décidé à m’inscrire, et bien voila qui est fait !
Je fais du mono depuis 1 an (après 15 ans de vtt), avec un parcours ma foi fort banal en terme de matos: qu-ax cross puis devil…
Je roule surtout en tout-terrain, sur chemins de montagne techniques de préférence. Si quelqu’un passe en Bauges (un joli massif de montagnes savoyard), qu’il n’hésite pas à me faire signe !

moi après 10 ans de vtt et 15 de jonglerie ,je viens d’accérire aujourd’hui mon premier mono … ou la la c’est pas pareil !!!

hé ben bienvenue à vous 2!! :smiley:

curieusement quelqu’un sur un forum a comparé l’apprentissage du mono à celui de la cornemuse et celui du vélo à celui de la guitare.
on peut, sans trop se fatiguer, aligner quelques notes de guitare … mais pour la cornemuse il faut travailler!

[Détournement]

Pas d’accord, pour la cornemuse, on gonfle le sac, on appuie dessus en bouchant certains trous de la tige-pipot et ça fait des notes !

Je dirais plutot qu’en terme d’apprentissage le mono est au vélo ce que le violon est à la guitare.

[/Détournement]

Salut à vous

Manu

Merci pour l’accueil les gens !
En ce qui concerne les métaphores musicales, je pense que ce n’est pas si simple, ça dépend beaucoup du terrain sur lequel on pratique. Entre faire du mono sur des chemins à plat et rouler en montagne hardcore en vtt, y’a pas photo, le mono est beaucoup plus relax. Pour rester dans le délire, on pourrait comparer ça au style musical : entre rouler sur le plat et envoyer du gros dans des chemins engagés, c’est comme entre jouer « come as you are » de nirvana et « rythmes futurs » de django reinhardt !!! :smiley: :smiley:

pas du tout! ce qu’il y a de mieux c’est de faire du mono de montagne!!! rouler sur du plat c’est ZEN mais ça lasse au bout d’un moment, rouler sur du cahotueux c’est le bonheur de tous les instants.
vive le MeuTeuTeu !

Alors là tout à fait d’accord ! De toute façons, je n’ai pas le choix, je vis dans un coin paumé au fond des montagnes, et ici le plat ça n’existe pas ! C’est le bonheur niveau singletracks techniques (cf. vidéos des vasipaulettes, tournées sur les contrefort du massif).