moi c’est un simple plaisir de passer toujours plus de tricks, toujours plus dur et me sentir de plus en plus doué dans ma passion, ça en devient un cercle vicieux et comme ça jm’arrete jamais!
Au début pasque personne en fesait et je pensait que je progresserai vite
et maintenan ke je passe un peu de truc jme sui encore orienté vers des truc plus moins connu comme le pogostick ou les batons du diable et mm cracheur de feu !!
pi si je contine maintenan c’est pasque sa me plai et aussi pour me prover ke jpeu fr des truc de uof^^
Les 3 à la fois et d’autres encore comme le regret de ne pas avoir fabriqué un mono quand j’étais ado, c’était y a très longtemps mais un jour ça vous tombe dessus au hasard d’une rencontre avec un monocycliste au coin d’une rue et là vos rêves refont surface en un clin d’oeil et vous vous lancez vers de nouvelles aventures que je ne regrette vraiment pas
Je pense que ça me touche beaucoup cecerclevicieux , quand j’apprenais a rouler (en avant) , j’était devenu boulimique : 1 tour de roue ,2 tour , 5 , une rue , la traversée de mon village a mono…
et je ne compte pas m’arreter la !
L’histoire de sensation en fait beacoup ,ayant un monocycle plutot pas top et inconfortable , lorsque j’essaye celui d’un pote on sent la difference et les sensations que l’on la dessus ,ça pete et j’en re-demande ! (comme la plupart des monocyclistes je pense)
Moi j’aime le monocycle parce que tous les gens qui font des trucs un peu extravagant, genre art du cirque, sortent un peu de la masse, j’aime pas tous ces moutons qui se suivent, et qui, lorsque l’un d’entre eux saute de la falaise, suivent …
-Pour me la péter un peu,
-pour me bouger le c** et m’éclater,
-pour me déstresser,
-pour la sensations,
-parce que c’est fun,
-pour l’ambiance car les mono cyclistes sont cool,
-pour savoir faire un maximum de trick monter de plus en plus haut ! et en mettre plein les yeux au gens que je connais!!!
+1
Oui, Moi, je dans plusieurs occasions, bas à me relâcher avec le monocycle et je monte à ma maison sans aucun malheur, quand je monte je m’oublie de tout le reste