Ca vient plutôt de crisser ou de grincement, voir de raboter…
Ne pas se fier à l’unique définition d’un dico : wordreference.com/enfr/grind
De même glide se traduit aussi glissement et coasting veut tout simplement dire avancer en roue libre. C’est plutôt juste je trouve. Même si caosting rend mieux.
Sinon raboter c’est pas mal, c’est un peu ça en plus quand on commence les grinds et qu’on a pas encore enlevés les picots d’un coté de la pédale
(c’est bon on est tous d’accord pour garder le vocabulaire anglais ?)
Les traductions à la lettre de l’académie française c’est bif bof desfois…
non
encore une fois: baptiser quelque chose c’est se l’approprier et c’est créatif.
Emprunter c’est emprunter
proposition d’atelier à la prochaine C.F.M: brainstorming :roll: pour trouver des jolis noms aux figures!
sinon mettez votre cravate et allez vous faire embaucher comme consultant chez un des big five , vous pourrez faire du management et du marketing pour supporter :twisted: les clients!
franchement la francisation a outrance des terme anglais c’est pas terrible, par exemple un prof ma obliger a rendre un rapport de stage sans anglicisme du coup j’ai du écrire une vingtaine de fois télémonté j’ai peur que les examinateur explose de rire serieusement
sinon raboter c’est pas mal ! pour le glide un truc du genre vol libre ca peut le faire unispin : un monautour
Si c’est ça, je trouve ça con de francisé les termes techniques, ça porte à confusion après quand tu causes avec des étrangers… Ou alors c’est du foutage de gueule de ton prof
Edit: par terme technique, j’entend ce qui est en rapport avec les études ou le taff, francisé le reste, c’est rigolo et ça permet de mettre un peu de folklore
Bon, allez, je suis en verve aujourd’hui pour mettre mon grain de sel. Ne vous inquiétez pas si ça vous paraît un petit peu agressif, c’est juste que j’essaie de faire un argumentaire complet
je ne suis pas d’accord pour utiliser des mots anglais à tort et à travers. Je prends du plaisir à essayer de parler et d’écrire un français correct (et élégant si possible), j’aime aussi savoir l’étymologie des mots, et enfin je souhaite que la correspondance entre l’écrit et l’oral reste celle du français : en français, « i » ne se prononce jamais « aïe », et je ne vous raconterai pas l’histoire du ferry-boâte de Marseille. Donc ça ferait « glider » (comme « vider », ou alors il faut écrire « glailleder » - mais ça ne facilitera pas la communication avec les anglophones), « grinder » (comme grincer), cohaster… Berk, quelle horreur, rien que de l’imaginer j’ai mal aux oreilles
(sans parler de détails comme le complément du nom qui, en français, se met après le nom : par exemple « prise de carre » dans d’autres sports de glisse)
Dans cet esprit, je suis bien content qu’en français (à la différence de l’allemand par exemple) on dise « ordinateur » et « logiciel » et pas « computer » et « software ». Et je pense que Bernard M.O.U., dont c’est le métier d’enseigner cette discipline (y compris parfois en anglais), ne me contredira pas.
quand aux relations internationales (j’en parle d’autant plus facilement que je participe pour le boulot à des réunion internationales et diplomatiques) :
se faire comprendre d’un étranger, ça ne veut pas dire parler un sabir informe mélangeant des mots issus de langues diverses (pour ça, qui peut être un jeu rigolo - mais seulement un jeu rigolo -, je vous invite à taper « europanto » dans votre moteur de recherche favori) ; ça veut dire choisir une langue que les deux parties comprennent et la parler aussi correctement que possible : je pardonne beaucoup de fautes à mes interlocuteurs étrangers qui font l’effort de parler en français, mais s’ils ne trouvent pas un mot de vocabulaire, ils ne vont pas laisser un mot anglais ou autre dans la phrase sans que je les aide en leur donnant le mot français correct… Donc mieux vaut une vraie traduction digne de ce nom qu’un salmigondis de mots qui se terminera inéluctablement en galimatias.
quand ensuite on passe aux choses sérieuses et qu’il s’agit vraiment de négocier un texte, chaque mot compte et on n’est pas obligés de laisser systématiquement un avantage aux anglophones, du fait qu’ils maîtrisent mieux les nuances de la langue anglaise que nous
j’ajouterai enfin qu’on pourrait utilement raisonner à l’échelle de la francophonie, et de la promotion de la langue française dans les enceintes internationales : le jour où sera organisé un Unicon en France, j’espère bien que ça se passera en français (avec traduction anglaise bien sûr, on n’est pas des monstres), et pas uniquement en anglais…
il suffit d’ouvrir un dictionnaire des années 30 pour trouver une multitude de beaux mots français dont l’usage se perd, et à qui on pourrait donner une nouvelle vie en en faisant évoluer le sens. Par exemple, en feuilletant mon dictionnaire (qui date pourtant seulement de 1963), je tombe sur le verbe « coqueter », qui signifie « user de coquetterie, échanger des propos galants, faire la cour à quelqu’un ». Nul doute qu’on pourrait trouver une pratique monocycliste qui serait bien décrite par ce terme…
absolument pas (et je parle d’expérience dans un domaine très technique comme l’informatique!). Si tu parles anglais avec un étranger tu emploies le terme anglais pas le terme français! et ainsi de suite…
remarque intéressante: dans ma boite quels sont ceux qui utilisent le plus les termes français … les anglophones quand ils parlent français!
Liste non limitative des problèmes des anglicismes déplacés:
les barbarismes (« architecture deux tiers » n’importe quoi (de cheval)!)
les mots anglais utilisés à contresens (du coup quand tu les utilises avec un anglais il te regarde comme un martien)
les mots utilisés parcequ’on ne sait pas leur donner un sens! (courant)
Là où je me marre carrément c’est quand je voie ces termes anglais pour désigner des choses absolument pas techniques (dans les « relations humaines » par ex.) Là je vais vous faire une confidence : si c’est un terme anglais qui est utilisé pour l’étiquette c’est parceque la personne n’est pas capable de vous décrire le contenu (qui reste flou ou carrément inexistant!) vous pouvez y aller ça marche à tous les coups! J’ai des histoires à se tordre de rire à raconter à ce sujet mais pour des raisons évidentes je ne peux pas les mettre sur le forum (par contre si vous me payez un coup à boire )
P.S. : je rappelle que je suis pour les biftèques, les W.C. et les ouiquendes! donc encore une fois si le mot anglais de la figure est imagé (pour tout le monde) et irremplaçable bien sûr qu’il faut l’utiliser … mais ça ne doit pas nous inciter à la flemme ou au snobisme !
Ca se tenait jusque là mais maintenant plus trop…
Tu trouve que WC c’est irremplacable ? biftèques aussi ?
Pour ce qui est imagé ok, c’est pour ca que j’utilise « bec verseur » et non pas sa traduction anglaise que je ne connais pas. Mais l’utilisation de l’anglais pour les crankflips, unispins et autres est juste une question de facilité.
On tue la langue, ouais, mais on s’en fout on est jeunes
Non sérieusement c’est une question de facilité c’est vrai, mais faut avouer que télémonter un fichier sur un PTF (protocole de transfert de fichier) c’est pas très clair…
Non non c’est pas pour me foutre de la gueule de mon prof c’est pour un orale sur lequel je joue mon diplome devant des prof d’informatique de francais et de communication