De la longévité des monocyclistes...

Je t’envoie une bière artisanale si tu edite ton post opur m’ajouter à ta luiste de « vétérans du mono extrème », ça flatterait agréablement mon ego :lol: :wink:

En ce qui concerne le freestyle, il y a eu pas mal de reconversion:
notamment dans la longue distance, par exemple Irene, Ryan Woessner (qui n’a pas complètement disparu du freestyle)
En même temps, je me souviens de Julien Monney qui ne comprenais pas à lUnicon en Suisse pourquoi Ryan Woessner faisait encore la compèt de freestyle alors qu’il était multiple champion du monde!
Il y a aussi le problème de la casse: Dan Heaton ou Kris Holm qui du coup ont un peu orienté différemment leur pratique. Et puis aussi un corps qui n’est plus aussi efficace et plus de responsabilité (je parle pour Kris)

Et puis l’horizon du mono reste encore limité, les rencontres et les compèt sont peu nombreuses (en particulier au Canada)… je parle pour Ryan Atkins

Pour ma part, ce ne sont plus les même choses qui m’intéressent, parce que ma vie a changé, je n’habite plus au même endroit, je ne pratique plus avec les même personnes…: je ne fais plus de trial et de street. Je me souviens il y a 3 ans; j’avais du mal à comprendre l’intérêt de la longue distance alors que c’est ce que je pratique le plus aujourd’hui. Mon préféré reste le Muni mais sa pratique n’est pas aisée en fonction de la où on se trouve.

Y’a aussi les quelques uns qui lisent encore de temps en temps les posts de thieum et zzagg mais qui ne postent plus aussi souvent qu’avant… :wink:

Entre 5 et 20 ans, on change tout le temps d’activités sportives et faut vraiment que ça soit une passion pour continuer une activité pendant toute sa jeunesse. C’est peut etre la même chose pour le mono… Ca me fait penser au skate : combien d’ados qui ont fait du skate à 15 ans, en font toujours à 25?

Pis le mono, c’était tellement fou quand t’apprenais à faire des grab ou du wheelwalk avec tes potes dans la rue, les passants complètement médusés…C’est un peu ce qui se passe aujourd’hui avec les jeunes flatteux, mais à un niveau bien au dessus. Et quand tu viellis t’as plus la même fougue insouciante.

Je suis d’ac avoir toi Kevin et y’a une tendance à avoir des disciplines « jeunes » et des disciplines « vieilles » (y’a pas beaucoup de jeunes qui font du 36p et il n’y a pas beaucoup d’ancien qui font du street).

En parlant du street, du trial et du flat, je suis totalement d’accord avec vous :

et en parlant de manu (merci carthur :wink: ) , quelqu’un a de ses nouvelles?

Oh tient un revenant ! :smiley:
Quand j’ai vu ton nom dans la liste j’ai dû cliquer pour en avoir le coeur net, m’assurer que c’était pas un bug de phpbb :laughing: :laughing:
Manu il est en Russie, ou en Ukraine ché plus trop. Il y est retourné après avoir fait 6 mois ne Chine parceque sa meuf est russe. Donc là il fait l’ingénieur dans la mise en place d’une usine de traitement de trucs pas très écolo. Je me souviens plus des détails, il roule encore mais plus avec la même frénésie.

Moi je pense que tant qu’il reste des trentenaires capables de rouler plus vite que Lolol, que ce soit sur 10km ou sur un marathon, il reste un avenir pour le mono. :wink: :laughing:

:blush: :blush: :arrow_right:

merci mon lapin :wink:

carthur tu as pas interet a arretez…

sinon je fais une manif avec des potes^^

et quand est ce que tu noux fait une nouvelle video ?
serieux continue a rouler , tu as un trop bon style , et en street tu gere !

vas y balance nous une video de street qui envoie du lourd ( et c’est meme pas obligee )
c’est pas obligee qu il y est des trucs nouveau dedans

mais c’est clair que je vois pas bien comment un adulte qui bosse peut concurrencer un ados de 15ans sur son mono jour et nuit…
c’est possible mais chaud …

et un messages pour les vieux :
N ARRETEZ PAS !!!
c’est un jeunot de 15ans qui vous le dit :wink:
car sinon qui nous inciteraitr a faire du MTT de tant en temsp ?
qui est ce qui nous dissuaderais de faire des gap de 6m ?

franchement le mono a encore besoin de vieux

alors arretez de regarder les feux de l amour et allez rouler :unamused:

:laughing: :laughing:

a+
je vous laisse il y a dora a la tele

:arrow_right: :arrow_right:

Nan, nous on va pas arrêter, c’est toi qui va arrêter dans 3/4 ans :smiley: :laughing:

oui on voit souvent des « djeuns » qui roule comme des acharnés pendent 2 ou 3 ans et puis après ce lasse du mono, en même temps ça me vas bien de dire ça tien, je ne roule que depuis 2ans (ou un truc comme ça) et je n’est que 20ans (il faudrait que j’arrête de grandir, c’est l’hallu comme ça passe vite!) :laughing:

bon, je reviens dans le vif du sujet (que je trouve des + intéressent) en parlent de ma propre visions des choses donc je parlerais surtout au niveau du freestyle (hé oui, comme d’hab)

pendent plusieurs périodes, je stagnais pas mal et plus d’une fois j’ai été tenter d’arrêter le mono (pour me lancer dans autre chose, notamment le bmx flatland, ainsi que le mono à pegs, qui est très similaire au bmx, que je continue un peu pendent mes heures perdues) et je pense que ce qui ma « sauvé », c’est le fait de pratiquer le freestyle

je m’explique: il n’y a pas à dire, au début le freestyle c’est chiant à bosser et ça demande beaucoup de travail et de temps pour apprendre les bases (les autres disciplines aussi mais elles offre un plaisir plus « immédiat ») et c’est grâce à ça que je n’est jamais arrêter, à chaque fois je me disais
« je ne vais quand même pas arrêter maintenant ça devient intéressent alors que je me suis fais ch… pendent un an, j’aurais fait tous ça pour rien! nan ce serais trop con! »

et puis ajouter à cela que en freestyle il y a tellement d’horizon possible que l’on ne peut jamais en avoir vue le bout ou presque et puis aussi c’est une pratique que l’on peut continuer jusqu’à un age + avancé qu’en trial ou en street car moins intense physiquement

et enfin aussi par ce que après une semaine sans mono, quand je remonte dessus c’est le même plaisirs qu’au début (même le fait de simplement rouler)

et puis de toute façon maintenant c’est sur je n’arrêterai pas de si tôt, je n’est plus le choix car j’aimerais en vivre (si possible)

tres beau ton texte bruno je vais le mettre (en entier) en signature

:mrgreen: décidément!

je me suis déjà posé la même question…et j’ai trouvé la même réponse
Enfin pas pour ce qui est d’en vivre…

J’ai réalisé un truc hier soir. Samiaul m’a fait une blagounette en forme de sarcasme qui disait en gros : « tu vas aux conventions et pourtant t’es nul ».

En fait ça en dit assez long, surtout quand tu rapproches ça avec l’analyse d’Arthur.

Quand j’ai commencé le mono, mon but n’était pas de faire de la compèt de haut niveau, je voulais juste être bon. A l’époque ça se résumait à rouler comme je voulais où je voulais; m’arrêter net et sauter sans effort dans le cadre d’une balade ou de MTT (jamais plus de 50cm de haut donc). A partir du moment où j’ai atteint ce niveau, tout le reste était sympa mais pas primordial à mes yeux (sauter plus haut, glider, unispin, etc.).

Il me semble que la motivation pour faire du mono chez une partie de notre jeunesse dorée relève autant de l’ambition que du plaisir : le niveau global est encore accessible, et on se dit qu’il est atteignable, donc on fait tout pour être parmi les meilleurs.
Une fois arrivé au firmament -si on y arrive- on se lasse parceque l’ambition (la carotte dont parle Arthur) est moins forte. Cette perte de motivation liée à l’appel de la vie étudiante beaucoup plus enthousiasmante que celle de lycéen, finit par tuer l’intérêt de notre jeune champion pour ce sport. Sport autour duquel tournait sa vie quelques mois auparavant .

Très bonne analyse mon cher Thieum: les motivations de départ ne sont pas les mêmes certains le font pour la gloire, d’autres pour le plaisir.Je ne peux pas en vouloir aux « jeunes », j’ai longtemps pratiqué un sport (génial mais…) qui ne me donnait plus de plaisir depuis longtemps, uniquement motivé par le « prestige » régional et la course aux résultats. :cry:

La levée de coude ou le roulage à l’heure ? :laughing: :laughing: :laughing: :laughing:

Non, la course en sac (particulièrement le 100m toile de jute)… J’ai bien failli finir comme reproducteur dans un élevage de champions mais mes débuts en levé de coude (épaulé jeté) ont dissuadé les grands propriétaires d’écuries :cry: :cry:

Salut à tous :slight_smile:

J’ai un peu disparu du forum, c’est vrai. Et je pratique moins (beaucoup moins) le mono qu’à une certaine époque.
Après avoir passé peut-être 3 ans dans le cercle vertueux pratique -->progrès–>motivation–>pratique (les 3 dernières années de ma vie étudiante, j’ai commencé une activité professionnelle exigeante (gros horaires et déplacements). Et le mono ne peut plus être ma principale préoccupation comme pendant mes années d’études (profites-en Arthur :wink:

Ce qu’il me reste de ma pratique intensive, j’essaie de l’entretenir autant que possible lors d’une session mensuelle (dans les pays ou j’ai fait suivre mon mono).
Vu ou j’en suis, la limite avec « j’ai arreté » est fine mais je pense que je suis pas prêt de revendre mon mono. C’est la manière la plus fun que je connaisse de faire du sport donc quand j’ai envie de m’épuiser un peu, c’est toujours là que va ma préférence.

A+
Manu

quand j’ai vu manu , j y ais pas cru au debut ^^

et quand j’ai vu ton avatar j’ai pense ( il est encore en vie lui ?)

lol

c’est marrant zagg, j’avais jamais su pourquoi t’étais devenu inséminateur chez kanterbrau…

Cool d’avoir des news Manu! ça confirme ce qu’il se disait ici

Pour ma part je trouve normal que de nombreux « pros » riders arrètent ou envisage d’arrèter.
Premièrement, le monocycle, surtout trial, flat et street, peuvent devenir des sports très exigents, même si ca reste des sports « amateurs » on va dire. Ainsi une vie professionnelle ne me parait pas compatible avec toujours la volonté d’ètre au meilleur niveau que ce soit en street ou trial… Des disciplines telles que la longue distance où le basket demande moins de rigueur d’entrainement je trouve et peuvent ètre alors plus facilement pratiquées par les « plus vieux ».
Deuxièment, le trial ou le street sont des disciplines assez dangereuses et éprouvantes pour le corps! Les blessures peuvent ètre assez grave (Tom Pec recemment avec son pied cassé par exemple) et assez récurrentes! Lorsque l’on devient plus agé et que on commence a avoir des relations plus sérieuses avec notre entourage (professionnel, affectif…) je pense que on ne peux pas se permettre de se blesser plus ou moins gravement si « bètement ».
Troisièmement, plus on grandi plus on change dans sa tète. On deviens plus posé, plus responsable. Consciemment (où inconsciemment) on peux se détourner de ses pratiques à risques pour tendre vers des pratiques plus douces telles que la longue distance par exemple.
Voila en gros mon point de vue sur ce sujet

(point de vue d’ailleur que je ne respecte même pas car je suis actuellement en prépas maths et je pratique tous les jours le trial pour progresser encore plus (93 cm en side hop^^), même si je suis obligé de me coucher très tard pour compenser! Mais suite à un transfert bien raté je me suis fais une grosse entorse au pied… immobilisation, pas de sport ect… Et j’espère bien ètre de nouveau à mon meilleur niveau rapidement! Vive le trial et Réfléchis pas, Fais le!^^ Je vais prouver à tout le monde que classe prépas et trial ne sont pas incompatible!!!) ^^
Pierrze

je suis entierrement daccord avec tous se qui dis ici
j’ai beaucoup pratiquer pendant les vacances mais la le lycée et tous… j’ai deja beaucoup moins de temps pour rider et je l’ai remarquer quand j’ai eu dus male a monter 90 cm l’autre jour :confused: alor que pendant les vac sa passer tranquilement…
donc meme de cours arrets (environ 1 a 2 mois) quand on pratique le trial street ou flat peuvent procurere une baisse de niveau dons je conprend que les « plus agés » pratique moins ces diciplines extremes par manque de temps car plus de resposabiliter et d’autre chose a faire que d’aller essailler de se casser une jambe.
tous sa pour dire que tous se qui a etais dis me semble totalement vrai.
amiou