Merci tout le monde pour vos précieux conseils. Le 27.5 est reparti comme en 14 avec 5km de pur chemin merdique avec des cailloux, de la terre, du sable et même des vaches agressives…
Ma fille a adoré et moi aussi.
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Bon. Grosse déprime hier soir en constatant que le pneu était tout dégonflé…
Donc ce matin, un peu de wing pour éviter de sombrer dans la dépression du futur cinquantenaire dont le boudin n’a plus sa vigueur d’antan… Puis, tout requinqué, démontage du pneu (selon la technique brevetée @Sam, sans démonter la roue) et là, joie : ce n’était pas mon travail précédent qui était en cause, mais une nouvelle épine, chopée sans doute sur le retour des 5km. Énorme…
10mn plus tard, le pneu a l’air opérationnel. Je me demande quand même si je ne vais pas bannir ce chemin…
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Passe un coup d’aspirateur dessus 
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Y a bien un bricoleur sur ce site pour mettre au point une fourche avec un aspirateur qui nettoie juste devant la roue, non ?
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ça me fait penser à une discussion avec un ami cycliste qui roule en « gravel » et chambre à air sans jamais crever, alors que je crev(ais) souvent lorsque j’étais en chambre à air.
La réponse est simple. Là où je roule les sentiers sont bordés d’acacias, lui roule dans les Vosges où il n’y en a pas (ou beaucoup moins).
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avant d’aller rouler, tranquille le gars !
Ben en fait, on est confinés à 5km, avec utilisation des plans d’eau limités de 5h à 9h (dans la commune du spot). Le vent se levant vers 7h30, ça limite vachement quand même, mais du coup, il reste du temps pour faire des trucs… Oui, ma vie est trop dure…
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Bon, c’est un peu l’histoire sans fin mon truc (sauf qu’aucun cheval ne meurt).
J’en suis à 7 rustines posées en 3 jours. Dont 4 pour colmater un micro trou d’une autre rustine mal posée…
Si il y a un badge « réparateur de monocycles », disons que je ne l’aurais pas tout de suite. En revanche, je mise tout sur une pratique régulière pour m’améliorer dans ce domaine aussi (*)
Je vais quand même aller acheter une chambre ou deux d’avance dès que possible…
(*) : cette phrase pleine de sagesse et de philosophie ne reflète absolument pas mon état d’esprit ni le nombre de jurons impliqués lors de chaque réparation
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Dabix, assistant désolé au dégonflage de son pneu pour la 6eme fois en 3 jours (allégorie)
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Je confirme Monsieur_K, les acacias, c’est vraiment l’enfer : je passe quotidiennement sur un chemin qui en est bordé, il m’est arrivé de crever plusieurs dizaines de fois par semaine et il y a vraiment de quoi enrager ! J’ai finalement paré au problème en blindant mes pneus ; dans le commerce, il existe des bandes semi-rigides qui permettent de tapisser l’intérieur du pneu, mais de vieilles chambres à air dégonflées font aussi bien l’affaire, et les épines qui lardent le pneu ne sont alors plus assez longues pour atteindre et percer la chambre à air ; je n’ai plus jamais crevé à cause des épines d’acacia et ça fonctionne donc très bien ; à la fin de l’automne, il faut quand même inspecter le pneu et prendre le temps d’en retirer les épines une à une ; en retournant le pneu sur lui-même et en passant la main dessus, on sent bien les épines ; on les repère ainsi ; on peut aussi légèrement les repousser, de sorte qu’elles dépassent à l’extérieur du pneu et que l’on puisse ensuite plus facilement les retirer à la pince à épiler 
Une fin laborieuse plutôt qu’une histoire sans fin !
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