Pour ma part, c’est le contraire, je suis passé du vélo au mono. Je ne fais plus de vélo aujourd’hui.
pour le matos c’est, en fonction de l’itinéraire (et du temps), soit un mono route nimbus 26 pneu lisse et manivelles de 114mm ou nimbus oracle 24 en prenant un chemin de halage, zéro feu, zéro voiture pendant 18km! 
OK! Vous allez me dire que dans ce cas, c’est l’occasion qui fait le larron. Ben oui, pourquoi s’en priver?
1 « J'aime »
Ah bah ça, c’est du bonheur !
1 « J'aime »
et il y a encore au moins 15 km de plus à faire 
mais ce n’est pas ma direction. Bref, les bords de Saône c’est assez cool 
il y a bien quelques passages sensibles où ça circule 
, mais si peu 
3 « J'aime »
Je suis de plus en plus dans l’usage du vélo utilitaire (dernière acquisition/construction : un biporteur), et vélo pour voyage (très longue distances). Je me verrai pas du tout tenter la meme avec un mono. Le mono, c’est plus pour l’usage quotidien, quand on a le temps, qu’on a pas besoin de porter trop de choses, et qu’on est porté sur le plaisir, et pas le coté pratqiue (je sais qu’on peut porter des choses en mono, mais quand meme, avouez que c’est pas trop agreable : simplement rouler, mais pire quand on saute, etc…)
Du coup ma nouvelle motivation va être de m’améliorer pour être capable de suivre ma femme en vélo. 
3 « J'aime »
Et rapidement il te faudra un 36" !
1 « J'aime »
Bon, moi mon problème c’est plutôt de me motiver pour aller sur le forum…
Ma vie est devenue un peu dense, entre une start-up à diriger (à Paris) et ma famille qui a déménagé en UK - et donc l’aller-retour tous les week-ends pour profiter d’eux. Ca laisse très peu de temps pour les loisirs…
Comment j’arrive à continuer le mono ?
1° Le mono est mon bol d’air des jours de boulot, deux fois 20 minutes de détente bienvenue ;
2° J’ai une hernie qui provoque des crises de sciatiques et j’ai noté une nette amélioration depuis que j’ai une pratique régulière du mono ;
3° En bon ingénieur (??), j’aime les chiffres et je les utilise pour me motiver. Je peux vous dire, p.ex., que j’ai 60 km d’avance sur mon objectif annuel de 2080 km (40 / semaine) ; que j’en suis à 86 semaines d’affilée avec au moins 15 km de monocycle ; que je viens de battre mon record en faisant du monocycle 17 jours de suite. Ce qui vous laisse sûrement indifférent, mais constitue une motivation permanente (et vive Strava pour ne pas avoir à retenir tout ça par coeur !) ;
4° C’est aussi un bon moyen d’accompagner les jogging de ma femme, je ne cours plus, en particulier pour préserver mon dos ;
5° J’adore l’impression que tous les jours, matin et soir, je donne le sourire à pleins de passants (et je me fiche pas mal que quelques grincheux trouvent à redire à mon véhicule !).
5 « J'aime »
Sur Strava il n’y a pas le monocycle si?
Malgré les nombreuses demandes qui ont été faites, il n’y a effectivement pas le monocycle. Cependant, beaucoup de personnes suffixent leur pseudo par « Unicycle » ou « Monocycle » 
1 « J'aime »
En effet, pas de monocycle, malgré les enquêtes utilisateurs qui révélaient une demande bien plus forte que pour d’autres disciplines. Dans tous les cas les statistiques sont plus ou moins les mêmes et comme on peut avoir plusieurs vélos on peut aussi avoir plusieurs monocycles différents enregistrés.
Moyennant quoi, et comme le note Abrasan, de nombreux monocyclistes ont un compte dédié pour leur pratique monocycle (et vraisemblablement pour certains un compte bivalve également). Perso, je ne fais pas assez de bivalve pour justifier la création d’un compte, j’enregistre donc mes quelques balades à vélo comme des sorties en ski à roulette (mes stats restent donc propres !).
Plus qu’une motivation, aujourd’hui j’ai vaincu ma non motivation. Pourtant quand j’ai vu le temps pourri en me levant (pluie+vent), il y avait tout pour que je reste à la maison.
Et bien vu que l’autre jour j’ai dit que la pluie n’arrête pas les braves, je me suis appliqué cette phrase à moi-même.
Du coup je peux cocher la case : ballade sous la pluie avec des bonnes rafales de vent dans la tête.
Une fois le premier km parcouru en se retrouvant bien mouillé, on ne craint plus rien. 
Et puis vu qu’on est parti pour 6 mois de pluie dans l’est, si j’attends le beau temps je ne suis pas près de rouler.
6 « J'aime »
perso ma saison préférée est l’automne! (ah le bruit des bogues de chataigne qui éclatent sous la roue!)
C’est vrai qu’on hésite quand ça mouille mais certaines de mes plus belles balades dans un bois ont été pendant une tempête (d’accord: je ne sais pas si je referai ça … je me suis fait gronder!). J’ai aussi un souvenir de sortie en forêt la nuit sous la pluie (en Angleterre bien sûr!) magique!
3 « J'aime »
Autre truc qui m’aide à me motiver : j’y vais pendant une émission radio que j’aime bien et j’écoute le programme en roulant, faut aussi dire que la ritualisation fonctionne pas trop mal, c’est toujours la même heure, pour le moment toujours le même endroit
Autre truc qui me motive : ça me permet de décompresser , de se changer les idées après des grosses journées de cours/travail
Faire du mono taf c’est pas mal aussi, surtout quand tu as le mono adapté, à titre personnel, j’ai 6,4 km, donc 30 bonnes minutes en 29", et puis mon père fait du v__o taf, donc ça motive
C’est en faisant du monocycle qu’on a envie d’en faire !
C’est comme tout, si on planifie de faire du monocycle x fois par semaine (pour aller travailler, pour aller s’entrainer en club…), on n’a même plus besoin de se motiver, ça devient une routine.
Dès lors qu’on se laisse plus de liberté et qu’on commence à se répéter « j’y vais ou j’y vais pas? », ça devient difficile de garder la motivation.
Pour ma part, je trouve une multitude de raisons pour aller faire du monocycle :
- aller au travail
- progresser : plus je roule, plus je suis à l’aise et plus j’ai envie d’aller vite
- l’apprentissage d’une figure ouvre souvent la porte à une autre figure
- se préparer pour un évènement/compétition pour montrer ce qu’on sait faire (heureusement qu’il y a d’autres motivations en ce moment)
- le monocycle peut aussi être un moyen de discuter avec des inconnus
- il a tellement de disciplines il y a toujours de nouvelles choses extraordinaires à apprendre et à faire
Au début, ce qui me motivait c’était de pouvoir en faire mon moyen de déplacement principal. Ensuite, ma motivation est devenue d’aller plus vite, de doubler des cyclistes et d’imaginer leurs yeux écarquillés. Puis le haut niveau est une autre motivation : le dépassement de soi, le perfectionnement…
Et il maintenant avec tout le matériel que j’ai, je me sens obligé de rouler 
3 « J'aime »
- Étant débutant le plaisir de rouler et d’aller plus loin
- se donner un nouveau « truc » à apprendre (statitique/marche arrière/une pédale/sauter/descendre un escalier/monter en sautant/etc…
- changer une pièce du mono et l’essayer (selle - pédale - nouveau mono)
- faire une sortie avec ma compagne en surf skate et mon fiston en vélo ou longueboard
2 « J'aime »
une lapalissade qu’il est bon de rappeler 
l’attrait pour la discipline va de pair avec la fréquence de la pratique. plus le niveau avance et plus il est difficile de se faire à l’idée de perdre les acquis, de fait, il faut se remettre en selle.
J’ajouterai une chose au commentaire de toutestbon: les progrès amène aussi bien-être et confiance en soi et rien que pour cette raison, il faut se motiver. Certes d’autres disciplines peuvent apporter ces choses, mais c’est un forum de monocycle alors… 
Un problème tout de même: le temps.
Pas facile de faire ses 80km hebdomadaires, travailler des figures (ESSENTIEL!), varier les terrains, la route et la salle, pour ceux qui y ont accès. 
pas moi 
Mais c’est aussi pour cela qu’il faut rester alerte et -lâchons le mot- passionnés! 
Enfin, il y a ceux qui ne peuvent pas installer une routine, ou ceux dont ce n’est pas le tempérament, à ceux-là, je leur conseillerai justement de fonctionner à l’enthousiasme et à l’opportunité spontanée de pratiquer, le seul plaisir comme guide, ça marche bien 
3 « J'aime »
Présent !
Je fonctionne à l’envie, et maintenant que je n’ai plus de barrière mentale comme la pluie et le froid, j’y vais toujours de bon cœur.
Par contre avec mon boulot en horaires décalés je n’ai pas le luxe de m’installer une routine. (Sinon ça fait longtemps que j’aurais calé un créneau fixe chaque semaine pour pratiquer avec @haqreu)
Du coup je progresse moins vite, mais je progresse quand-même. 
1 « J'aime »
je suis comme ça aussi…les routines ne fonctionnent pad avec moi et ont même l’effet contraire…
Faire quelque chose quand on en a envie me parait plus productif aussi… la difficulté serai plus de savoir si l’envie ou surtout la « non » envie est là pour de bonnes raisons ou pas…
1 « J'aime »
Ce qui me motive, c’est que je me suis fixé un défi , et se voir progresser à chaque sortie est un truc bien gratifiant aussi.
3 « J'aime »