Au début ,quand on pense mono c’est l’enthousiasme;à tel point qu’on en veut un.Mais vient assez vite une légère désillusion:c’est plus dur qu’on l’avait imaginé.Trouver ce sacré équilibre et le conserver pour commencer à rouler c’est pas du gateau,et puis vient ce moment fabuleux,où on sent que l’on fait soudain bien mieux que d’habitude;on y arrive ,on a fait 20 mètres plusieurs fois,on démarre plus facilement,des automatismes se mettent en place.On peut avoir passé la cinquantaine et se faire incroyablement plaisir avec ce sacré truc à une roue qui à un moment de notre vie(en ce qui me concerne vraisemblablement la première fois où j’ai du en voir un)nous a accroché.
Voila mes états d’ame de la journée qui me laissent à penser que comme dans beaucoup d’activités la meilleure période ,c’est celle des débuts .
Quand pensez vous ?
PS :encore quelques séances et je changerais peut-être de signature 
Fais attention ! Ton récit ressemble étrangement au mien, tu es sur la pente glissante de la monomanie… Plus tu en fais plus tu maîtrise. Pour ma part cette euphorie et cette illusion de maîtrise perdure depuis six mois que j’en fais, et à chaque fois qu’un mois passe je me dis « qu’est ce que j’étais nul le mois dernier! ».
Le bonheur, c’est d’aller à toute blinde en descente et de faire corps avec la route. Le gliding est l’étape ultime dans ce domaine, peut être t’en dirais-je plus à ce propos dans six mois, dans ma signature 
Wooahoo!C’est donc si grave que ça!?
la premiere fois que jais fais du mono, je me suis dit le contraire 
Effectivement, la sensation génial des premiers succès est assez incroyable. Mais le gros avantage, c’est que cette sensation revient à chaque nouvelle figure passée ! C’est pour ca qu’on lâche plus…