La fac propose de temps en temps des études passionnantes !!

Salut tout le monde !!!
Bon je place le décor : pour ceux qui savent pas je suis étudiante en anthropologie en Suisse (et les ethnologues ont toujours des sujets d’études bizarres, et pas toujours dans tribus étranges aux moeurs bizarres… Quoique…). A la fin de notre bachelor, on a un gros travail à rendre avec une sorte de mini-terrain (terme barbare pour désigner en gros l’observation de notre sujet d’étude, avec immersion, entretiens, discussion. Bref en gros dans les « vrais » terrains classiques, c’est partir vivre 6 mois chez les papous avec des plumes dans les cheveux et oublier notre manière occidentale de fonctionner. A notre niveau, il s’agit plus de comprendre comment fonctionne une communauté, une « sous-culture », un groupe particulier à l’intérieur de notre propre culture). Donc bref, je me retrouve avec plusieurs cours possibles dont un qui s’appelle « Pratiques sportives et modèles sociaux ». Evidemment je saute dessus et je réussis à convaincre des copines de bosser avec moi sur le… mono !!! :smiley: L’objectif général du cours est de comprendre de manière générale, pourquoi tel sport attire tel public, qu’est-ce qui fait qu’on va pratiquer tel sport… Bref tout plein de questions auxquelles il est pas forcément évident de répondre, tant elles nous semblent naturelles parfois.
Donc en gros, je poste ça parce que je trouve que c’est important dans un premier temps d’avoir l’avis des premiers concernés plus ou moins pour savoir quelle direction prendre… (Et pas parce que vous en avez quelques chose à faire de mes supers sujets d’études :stuck_out_tongue: :stuck_out_tongue: ) Donc pour vous, qu’est-ce qu’il vous semble important à dire sur le monocycle à des non-initiés ??? Quel est le message que vous voulez faire passer par le fait de faire du monocycle ??? Pourquoi vous en faites ??? euh… si je marque toutes les question qui me viennent à l’esprit, je risque de faire planter le site… :smiley: Mais en gros plus vous m’en dites, mieux c’est !!!

super!
comme toujours les tribus se décomposent en sous-tribus et en chapelles.
entre les pratiquants du street et de la distance il y a comme qui dirait des grosses différences … vu de l’intérieur.
Il y a d’autres dimensions comme l’age.
exemple: pourquoi des hommes mûrs se mettent-ils à un sport aussi invraisemblable? La thérie la plus communément admise est que certains hommes font une crise de l’age mûr: il y a ceux qui s’achètent une ferrari et ceux qui s’achètent un monocycle avec une selle rouge! :smiling_imp: Bon c’est une plaisanterie hyper-éculée mais qui comporte une sacrée part de vérité.
Ensuite pourquoi se sentent-ils comme partie intégrante d’une communauté? Question sociologique passionnante!
On retrouve des tas de paramètres classiques des groupes: 1) pour être en groupe déjà! 2) c’est comme les drogués … la convivialité fait partie de l’expérience 3) comme dans tout groupe on se retrouve dans un club « exclusif » et là on peut le prouver (le ticket d’entrée est déjà cher -en terme d’efforts-) et il y a pas plus snob pour épater ses collègues de bureau (enfoncé le gars qui est classé au tennis!).
Pour ton étude il faudrait regarder les forums internationaux et ensuite assister à quelques « meeting » pour palper (metaphoriquement) l’ambiance.

Bravo et encouragements

En gros:
-faire un peu de sport c’est mieu pour garder la forme!

-le mono, ça nous donne envi par le fait que c’est une sorte de défi
d’équilibre ( au début ^^);

-c’est un sport qu’on peut pratiquer n’importe ou, n’importe quand

-on peut tout le temps se perfectionner, car il y a énormément de disciplines, et dans chaque disciplines, il y a énormément de possibilités(flat:figure;trial:hauteur, longueur, parcours, pierre/palettes;athlé:distance, rapidité, autres;sport co:sport co;street: voir flat et trial; artistique:pleins de figures aussi);

-utilité pour le transport(NE POLLUE PAS)

-impressionnant pour passant (pas tout le temps…), permet de faire spectacle ou autre(peut être gagner même un peu d’argent);

-permet aussi comme tout sport de rencontrer une communauté de personnes qui aiment ce sport;

et autres je pense :smiley:

ou tout simplement pour ce demarquer un peu de tous les cyclistes:…l’originalité :smiley:

Je dirais (pour ma part) très simplement au début tu essayes pour pouvoir dire : « je sais faire du vélo à une roue » .
Apres ça devient une véritable addiction, tu n’as de cesse que de te surpasser et de surpasser les autres, de faire connaitre ton sport comme un sport justement et non comme une attraction sortant tout droit du cirque pour amuser les gens.
Voilà en dégrossi mon point de vue ! :slight_smile: (j’espere t’avoir aidé)

tu peut développer aussi le fait que le trial/steel/flat sont des disciplines qui attirent en gros majorité les garçons, et que dans la plupart des cas, le sexe fort a tendance a s’orienter vers le freestyle de manière on ne peut plus naturelle.

Comme beaucoup je pense, ce qui m’a fait commencé le mono c’est l’originalité, j’aime être en marge, et le mono te permet de le faire savoir a chaque sortie en ville.

Aujourd’hui, je le considère comme un sport a part entière et j’en fait uniquement pour faire ma dose de sport journaliers afin de garder la forme.

Si possible, on pourrait avoir un double de ton compte-rendu ?

Moi c’était surtout un défi (un peu comme apprendre a jongler) et pour etre original
Ensuite quand j’ai vu les vidéo de street je trouvé sa ‹ ‹ stylé › › tout en restant inédit
et quand tu commences sa devient vite une drogue.

Je pense que parmi les plus « vieux » (et même les plus jeunes) beaucoup viennent du cirque. Parmi les plus "vieux encore,il a un nombre non négligeable de gens qui viennent du VTT.

Sinon, dans les motivations premières, il y a clairement l’originalité, et le regard des autres… De là à conclure que les monocyclistes sont tous des frimeurs… :stuck_out_tongue:

Chez les plus jeunes, il y a aussi cette attirance pour un sport à la fois « extrême » (au même titre que skate ou roller street) et encore nouveau, marginal.

Je me demande si c’est une bonne idée de faire une étude sur un groupe auquel on appartient. On est plus facilement dans le milieu par définition, mais on a aussi plus de parti pris (par définition également). Donc, un sujet délicat !

Bref. Pour moi, il y a le fait de se prouver à soi-même qu’on peut se surprendre. Qu’on peut apprendre un truc qu’on pensait impossible pour soi. On est dans le défi, certes, mais plus précisément comme un réponse cherchée à la suite d’une remise en question : (ai-je encore la persévérance nécessaire, ou suis-je déjà vieux ? par exemple). Si on a le sentiment que la réussite dans tel ou tel domaine personnel se fait attendre, le sentiment de progresser ailleurs (dans le monocyle en l’occurence) est salvateur et rebooste partiellement notre confiance en soi.

Voici les deux défis que je vois ;

  • le défi frimeur : Ch’uis sûr que j’vais y arriver. Si en plus, je pouvais bien maîtriser, j’aurais trop la classe !
  • le défi looser : (le mien) : est-ce que ch’uis devenu bon à rien ? si je me fixe un objectif, est-ce que j’arrive encore à me donner les moyens de l’accomplir ou suis-je un homme fini ?!

Je pense que beaucoup de sportifs en général doutent d’eux et ont besoin de se prouver qu’ils ont encore de la valeur à leurs yeux. Les perfectionnistes, quoi !

Voilà pour moi, madame la psy.

Premièrement, merci pour vos réponses. Roue perdue, pour ta remarque sur le fait d’étudier une communauté à laquelle on appartient, c’est pour ça qu’à notre niveau d’étude, on est plusieurs à travailler un sujet. Là, on es 3. Avec un sujet sur le monocycle, j’ai des portes d’entrée qu’elles n’auraient pas sans moi, avec déjà une connaissance préalable du « terrain » (par exemple toutes les débats entre les différentes disciplines du monocycle, je les connais et ça évite pas mal de temps perdu et de recherches inutiles) et par rapport à moi, elles m’offrent un regard complètement neuf sur des choses qui sont très naturelles pour moi (ceci dit vous aussi, parce que j’avais du tout vu la dimension « pourquoi on commence le monocycle ». J’ai appris à rouler dans une école de cirque quand j’avais 8 ans et j’ai aucun souvenir de pourquoi je me suis accrocher à ce truc à une roue… Pour moi, la question était plus pourquoi on fait du mono.) Mais c’est vrai qu’une telle démarche demande énormément de dialogue et j’espère qu’on va réussir à bien le faire. Quant à avoir une copie de notre dossier, ça me semble plus qu’évident !!!

Après y a le côté défi que vous avez soulevé et qui est effectivement super intéressant. J’aime beaucoup ton analyse des sportifs, roue perdue. J’y avais jamais réfléchi de cette manière et c’est un peu rapide, mais je pense qu’il y a une part de vérité qui est vraiment importante.

Je crois que notre problème ressort assez bien ; le monocycle est un monde extrêmement vaste avec beaucoup de manière d’envisager une étude ethnologique à proprement parlé. On en a un peu parlé et y a 2 questions qui sont vraiment ressorties.
Premièrement, on me faisait remarquer (comme quoi c’est utile de bosser avec des gens qui ont un regard neuf sur la chose) que le monocycle est un sport de « reproduction » (enfin je sais pas trop comment le formuler autrement). C’est un sport qui contient plein d’autres sports, plein d’autres sources d’inspiration. Alors pourquoi vous faites du monobasket plutôt que du basket normal, pourquoi faire du flat en mono plutôt que du skate, pourquoi du muni que du vtt de descente ? Qu’est-ce que le monocycle vous apporte en plus ???
Deuxièmement, il y a toute une partie qui peut-être très intéressante sur les passants… (Tiens donc y a pas une rubrique géante sur les passants dans ce forum :stuck_out_tongue: :stuck_out_tongue: ) Disons que nous ce qui nous intéresserait ce serait plutôt un regard croisé entre passants et monocyclistes. Qu’est-ce que le passant lambda pense d’un mec qui se ballade en mono et qu’est-ce que le monocycle pense du passant ??? Disons qu’avec cette question on pourrait rentrer dans toute la dialectique du monocycle comme d’un sport qui est en plein développement. De plus en plus de jeunes (et de moins jeunes aussi :stuck_out_tongue: ) commencent le monocycle, les gens s’étonnent de moins en moins à la vue de quelqu’un qui se ballade avec cet objet étrange. Pour la majorité, vous revendiquez l’originalité comme un des facteurs qui vous a fait commencer le mono ??? Mais si plus personne ne vous fait de remarque, si ça devient un objet presque courant, si vous attirez plus de sourires (ou de remarques de charmantes demoiselles puisque c’est une revendication rabâchée par un certain nombre de monocyclistes :smiling_imp: :smiling_imp: ), est que vous continueriez le mono ??? On râle des remarques perpétuelles des passants mais est-ce qu’elle ne font pas la nature même de notre sport ???

(Désolée pour ce post de 3 km… :blush: :blush: :blush: )

Bonjour,
Une certaine Maud de Nantes :laughing: a fait une étude qui pourrait t’intéresser …
Hervé

parce que le Muni me fait quelque chose au cerveau que ne me fait pas le VTT.
ça me rappelle mon cher ski (sans la neige en général) mais quand je parle de drogue c’est clair: si je ne pratique pas je suis en état de manque, après ma dose je suis zen !
Cette sensation unique fait que je m’accroche au Muni par tous les moyens (qui sont pourtant très limités).
Je me considère comme partie prenante d’une communauté de drogués. C’est y pas triste de voir ces « vieux » qui se shootent au point que leur médecin ne sait plus quoi dire (il en a marre de la casse mais en même temps il siffle quand il voit l’electrocardiogramme!).
Les autres aspects sont moins forts que je ne le prétends: j’ai beau être un tantinet cabotin ce n’est absolument pas ma motivation première pour faire du mono … je plaisante quand je dis qu’on est avant tout des frimeurs.

Pour répondre a la question de damaris.
Si le mono devenait une mode je continuerai (sa fait 3 jours que j’en ai pas fait et je suis vraiment en manque) mais je pense pas que j’aurais pas commencer si le monocycle était a la mode, parce que quand j’ai commencer je voulais me différencier des skater et autre

Salut!

Il y a aussi un point dont on a pas parlé mais c’est « l’esprit » du monocycle. On (enfin pour moi du moins^^) a l’impression de tous faire partie d’une grande famille.
Lorsque on se retrouve lors des conventions, c’est toujours un moment de festivités, on revoie des gens qu’on ne voit qu’une a deux fois l’année, on s’éclate ensemble pendant un WE avant de se quitter de nouveau pour se revoir 6 mois plus tard…

Et c’est le seul sport que je connaisse ou lors d’une coupe du monde tu peux aller discuter avec n’importe quel autre monocycliste de n’importe quelle nationalité et que ce soit un mec (ou une nana) d’un niveau faible ou du champion du monde! ex : Aux UNICON en Nouvelle-Zélande je rangai les palettes à la fin du trial avec Max Schulze…! (D’ailleurs il m’a dit qu’il aimais bien ma facon de mettre les palettes sur le tas : je les lancais!! Hé uai Jpourrais dire a mes enfants que Max Schulze m’a fait des compliments sur ma technique lors de l’épreuve de trial!!! :stuck_out_tongue: )

Le seul sport qui m’a fait connaitre cet esprit de « famille » c’est au rugby! mais une famille de 30 bonhommes ou tu peux pas aller serrer la main à Carter ou pieuter dans le même backpacker que Wilkinson!!!

voila voila…
@ bientôt sur le mono (ui le mono c’est AUSSI des jeux de mots et blagues pourris!!! )

Moi j’fait du mono pour fumer des pétards et picoler pendant les sessions et les compétitions !! :smiley:

Pour rebondir sur la réponse de retac, je dirai qu’en plus de l’aspect mode et que ce sport devient populaire, ce qui fait que je m’intéresse à ce sport est qu’il y a encore tout à découvrir. Je parle pour ma pratique mais aussi pour celle du mono en général. Quel sport peut se vanter tous les 3 mois d’annoncer un inédit (salto avant d’Adrien, Maxwhip, saut en direct de 135cm de haut, puis 142 … ) Je pense que l’évolution des performances des activités sportives suivent une courbe logarithmique, et, alors que la très grande majorité des sports en est à une évolution devenu très lente voire stagnante, le monocycle est en pleine expansion. Il a fallu presque 10 ans à Usan Bolt pour battre le record du monde du 100m, combien de mois faudra-t-il à Joe Hodges pour passer les 1m50 ? (c’est ptet même déjà fait?). Et essayez juste d’imaginer ce que deviendront les performances quand le nombre de pratiquants sera multiplié par 100 ! C’est donc en quelque sorte l’aspect pionnier qui me motive à pratiquer et suivre ce sport.

Quant à ce que je pense des passants, quand je rentre chez moi, mes 4 monos m’attendent bien sagement. Pour les passants, lorsqu’ils me croisent au fin fond de ma campagne, beaucoup d’entre eux voient un monocycle en dehors d’un cirque pour la première fois de leur vie. Je veux dire que quelquechose de banal pour moi est parfois inédit pour une personne lambda. Ca peut expliquer des comportements du style « il te manque une roue » où les passants se croient les rois de la blague car ils ne peuvent pas imaginer que quelqu’un d’autre a déjà fait cette remarque avant eux puisque c’est la première qu’on voit un monocycle. Pour résumer, les passants me surprennent par le fait qu’ils n’ont jamais entendu parler de ce sport.

En tous cas je suis très intéressé par tes résultats. N’hésite pas à nous en faire part quand tu en seras arrivé aux conclusions. J’ai hâte d’apprendre que je pratique le monocycle pour combler le manque de reconnaissance que j’ai dans ma vie à côté du monocycle ! :slight_smile:

juste une petite question: c’est quoi la différence entre une étude sociologique et ethnologique? Je « sens » bien que l’approche est différente mais je n’arrive pas à savoir en quoi… Et le résultat de ces 2 types d’études serait-il radicalement différent?
Merci d’avance pour ta réponse, Damaris.

il me semble que l’ethnologie c’est l’étude d’un peuple ou d’une communauté, alors que la sociologie, c’est plus une approche des différents groupe sociaux.

Pour ma part j’ai commencé le mono en commençant l’école de cirque de berk-en-brousse ; le fait de voir ces gens sur une roue m’a intrigué. Après, j’ai acheté mon premier monp au CDK pour débuter. J’y ai decouvert l’immense panoplie qui couvrait le mur et me suis dit que quand j’arriverais à rouler correctement, je pourrais me spécialiser.
Habitant dans la cambrousse profonde, je faisais un peu de VTT mais trouvais cela vite ennuyeux. Le mono a été mon remède ! Mais je n’avais qu’un mono basic donc pas d petits chemains et je n’avais pas 400€ à mettre dans un mono. Par chance pandant un hiver, koxx a baissé ses prix donc á 200€ la 26", j’ai foncé.
Aujourd’hui mon mono a surtout un fonction pratique :
1 plus simple à transporter qu’un vélo
2 plus rapide que la marche
3 (la plus importante pour moi) ça passe partout donc super pour découvrir de nouveau coins et faire de super balades.

Alors Zzag, tu parles à un ethnologue (ou du moins une étudiante en ethnologie :stuck_out_tongue: ) et donc complètement formatée pour préférer l’ethno à la socio… :smiley: :smiley: En gros la différence avait surtout lieu d’être au début des sciences sociales ; la socio s’est occupée des terrains dits « du proche » et l’ethno des terrain « du lointain ». C’est à dire en gros, que la socio étudiait la formation des différents groupes sociaux dans nos sociétés alors que l’ethnologue préférait l’exotisme et le dépaysement en allant s’exiler des années à l’autre bout du monde. Aujourd’hui, cette différence a quasiment disparu ; on voit beaucoup de sociologues bosser en Afrique, et inversément. Mais tu le soulignes de façon toute à fait juste (même si là encore, la différence tend à diminuer aussi), il reste une différence de méthode. Disons pour résumer très en gros que la socio va préférer tout ce qui est quantitatif et les approches qui vont avec (produire un max de statistiques…) alors que l’ethnologue préférer le qualitatif (produire une monographie de 500 pages que personne ne lira jamais sur une ethnie dont personne n’a jamais entendu parler). Pour résumer le truc en image, disons que on a vu beaucoup de sociologues débarquer en Afrique, « faire » un village en distribuant un questionnaire préétabli, repasser un heure plus tard et ramasser les données. Alors que l’ethnologue va plus s’immerger dans la culture et vivre 3 ans avec des plumes sur la tête et écrire un gros livre.

Ensuite… A priori, ce sur quoi on va se diriger, ça va plutôt être la première question. C’est à dire qu’est-ce que ça vous apporte de faire tout ce que vous faites en mono ??? Mou, tu situes très bien la question en disant que ça te fait « un truc au cerveau que ne te fait pas le VTT ». Mais c’est quoi ce « truc au cerveau » ??? Je note aussi cette communauté qui est très importante.

Et concept qui revient tout le temps, l’originalité. Mais c’est quoi pour vous
être « original » ??? Pourquoi vous voulez l’être ??? Et pourquoi vous avez choisi le monocycle pour manifester cette originalité ???

Ensuite on me demande d’étudier le point de vue interne du sport… Sauf que c’est super complexe pour le monocycle étant donné que c’est constitué de discipline aussi différentes. Donc, la question est un peu bateau, mais qu’est-ce que vous faites comme discipline et pourquoi ??? Qu’est-ce qui vous attache à telle façon de fonctionner ???

Et finalement dernière question (enfin pour ce post, je risque d’en avoir d’autres la prochaine fois :stuck_out_tongue: ) quelle sont les valeurs, mais plutôt dans le sens de vertus, de qualités, que vous attachez au mono ??? Quel est le point commun qui lie ensemble toute cette communauté si incroyable ???

Bref encore merci pour toutes vos réponses, c’est vraiment super intéressant !!! Normalement y a en tout cas une des filles du groupe qui risque de venir avec moi à la cfm, et si vous avez un peu de temps pour qu’on en parle de vive voix, c’est plus que très volontiers !!! :smiley: :smiley: :smiley: