alors je pense que ça peu venir soit du pédalage pas asse régulier, par là j’entends qu’il est possible que, sens tant rendre compte, tu t’arrête de pédalé une fraction de seconde ce qui t’embarque dans la pirouette (pirouette: tourné sur sois même sur un axe vertical) trop tôt et tu repédale juste après pour relancer ton spin, ça peu venir du faite que tu ne mets pas asse de poids sur ta selle et trop sur les pédales doc plus dur d’être régulier (surtout que quand on ressers en pirouette, normalement on mets tous le poids répartie équitablement sur les deux pédales, on est debout dessus, les fesses ne repose même plus sur la selle. et c’est l’inverse lorsque tu effectue les cercles). c’est pour ça que ça deviens plus dur lorsque l’on accélère la vitesse, c’est plus dure de rester régulier car le moindre écart t’envoie valdingué en pirouette et comme tu n’y étais pas préparer ou que le « vrillement » de la roue t’a déstabilisé, ça deviens incontrolable (perte du placement, notion de l’espace…bref on est de travers donc on tombe), ce phénomène est flagrant à très grosse vitesse, tous se barre en cou***e.
je pense que tu veux allé trop vite dans les étapes (comme moi au début). essaye d’abord de travaillé la propreté de tes spins: directe en petit cercle, pas d’écart, bon placement du corps, pirouette super droite (elle ne se déplace pas, elle reste droite); quitte à faire juste une pirouette! ça sert à rien de faire des quadruples si tu ne contrôle pas, si non tu vas galérer…
pour ma part mes meilleur spin sont des quadruples pirouettes (et parfois je gicle un peu sur un coter). contrôle parfaitement les spin à une pirouette (donc pas trop vite), puis deux, trois…
et aussi dans un spin tout est lié il suffit que tu fasse une erreur (placement du corps, régularité du pédalage, cercles, vitesse…) , et c’est tout le reste qui se déstabilise! et encore + avec beaucoup de vitesse!
encore un dernier élément à prendre en compte, il faut que tu prenne des point de repère pour tes yeux, je m’explique: tu auras remarqué que les danseurs classique, lorsqu’ils font des pirouettes ou planés sur la pointe du pied, ils tournent la tête pour toujours fixer un points de repère, nous en mono on utilise un peu la même technique, sauf que la tête ne bouge pas, c’est les yeux qui font tous le travail et ils on besoin de plusieurs points de repère.
imaginons que tu est dans une salle avec quatre pilier disposé en carré et que tu fait un spin en son centre. ses piliers vont être ces fameux points de repère, lorsque tes yeux se pose sur un de ces piliers, tu le garde dans ton champs de visions jusqu’à ce que le pilier suivent apparaisse, et tu saute directement de l’un à l’autre et ainsi de suite. cela te permet de fixé des images fixe plus tôt que le décors en entier qui file trop vite pour que tu puisse réellement saisir ou tu est. ça permet d’être beaucoup plus stable car tu peux, grâce à ces images fixes, représenter ton corps dans l’espace et donc corriger un éventuelle défaut. c’est très importent de bien comprendre cela, car si tu ne te sert pas de ces repères, ça reviens un peu à faire un spin en ferment les yeux ou en regardent le plafond la tête en l’aire, tu ne sais plus ou tu est! à savoir aussi que plus tu vas vite, plus les points de repères sont espace entre eux, donc - nombreux, ce qui fait que c’est plus dure. d’ou l’importance de de commencé par des spins pas trop rapide pour que cette manie de fixé des images soit un automatisme! car à basse vitesse, ces points ne semble pas trop indispensable mais avec de la rapidité c’est essentiel, le contraire serait un peu comme si tu voulais te passer de l’un de tes cinq sens pour te repérer, la vue! ce serais vraiment se mettre en difficulté.
ah oui, une dernière chose, lorsque tu t’entraine souvent aux même endroit, tes yeux sont habitué à ce lieux et donc à sélectionné toujours les même points, donc ne t’étonne pas si tu galère avec les spins si tu est dans un nouvel endroit, il faut que tes yeux/ton cerveaux puisse se fixé sur de nouvelles images, avant que ce soit un automatisme, ça prend du temps!
pfiou… ce roman!