c’est ici :
youtube.com/watch?v=DvTQCkSa … r_embedded
c’était en Avril 2009, Distance 480 km (sans compter le stop et le bus naturellement)
de Belgrade jusqu’ a Tata, (à 70 km après Budapest)
c’était pour le concours culturel crous sur le theme du vélo, mais ça n’a rien donné
Dommage c’était un beau projet.
Rouler seul n’est pas évident…
Le plus dur ça a dû être de poser la caméra, rouler, revenir la chercher !
t’as fait ton coucours dans quelle region??
j’ai eu un prix moi!^^
J’adore !
T’as eu l’air d’avoir pas mal de galère mais ça avait l’air quand même super. Chouette aventure je suppose. ( la prochaine fois prend un pneu et jante de section plus importante, tu crevera moins et tu pourrat aller dans les chemins !^^)
Sinon tu a l’air de voyager super leger, c’est pas donné à tout le monde ! (pour avoir fait l’experience, on est souvent beaucoup trop materialiste et on veut tout emmener, alors qu’au final on se sert pas de tout )
J’ai aussi regardé ta vidéo lyon-venise, sympathique aussi !
Le générique de fin est génial !
A+, et fait nous d’autres vidéos de tes prochains road trips cyclo touristes et monocycle touristes.
C’est superbe.
Vraiment magnifique, dommage que tu ai eu tant de crevaison, ton pneu devait en effet pas être trop adapté. :S
Mais dis nous, qu’est ce qui ta poussé à aller faire un road trip aussi loin (à moins que tu n’habites pas en France) ?
Et, pour savoir, tu as quelle taille de manivelle ?
En tout cas, je trouve ton montage sympa et modeste, avec pourtant une certaine qualité ! et le générique est très bien fait, original !
Cette vidéo est génial, ça donne envie de monter sur sa grande roue et de partir, loin, très loin. 
J’ai concouru sur Nancy-Metz…
C’est sur que j’ai voyagé léger, sans compter que j’avais une caméra et un chargeur une alim, un pied… dans mon sac. En fait, je ne l’ai pas pesé, je ne préfère pas savoir ce genre de chose. Sur ce point là, le voyage en vélo que j’ai fait l’année d’avant m’a vraiment servit à savoir ce qui est susceptible d’être utile ou pas. Et puis quand on va sur ce site, on ne voit plus les randonneurs de la même manière : www.randonner-leger.org . Quoi qu’il en soit, je n’aurais jamais envisagé de faire un voyage en mono sans l’expérience de celui en vélo.
Je n’ai pas pris de chambre à air de rechange… si on commence à prendre ce genre de chose, on s’en sort plus 
mais j’avais des rustines et une pompe. c’était soit l’un soit l’autre. Le problème c’est que ma chambre n’était pas neuve et qu’avec la surpression du pneu et les bosses, les fentes d’anciennes creuvaisons sont sorties des rustines. Elles étaient tellement grandes que malgès tout mon acharnement, je n’ai rien pu faire…que marcher. Finalement, je n’ai pas vraiment crevé souvent…
le mono était (je l’ai revendu depuis) un 28 pouces. En fait, c’est une roue de vélo de course monté sur un mono. Les manivelles, du 100mm. ça demande un peu de pratique, c’est sur, mais on va un peu plus vite aussi (sur du long on tombe à 14.5 km/h, mais on peu facilement tenir à 17, max : env 24 ). Je n’avais pas prévu que la route de l’Eurovelo6 soit parfois totalement non goudronné et donc selon moi, ça devait passer…
Un petit message sur le materiel emporté et plus encore
D’abord, les super points :
-le sac qui repose le poid sur les hanches avec sangle au torsse et aux hanches, totalement réglable. meme si un fillet pour bouteille sur le côté n’aurait pas été de trop
-la selle, KH fusion&freeride je crois. impréssionnante. Qui ne se fait pas sentir donc parfaite.
Sinon :
eau : deux bouteilles de 0,5L, une sous la selle fixé à deux élastiques en tissu et l’autre dans mon tapis de sol sur mon dos (sa fait thermos)
cuisine :
bouteille de gaz (sous la selle fixé sur le sac de couchage)
bleuet de GdeF
allumettes et briquet
une popote en alu
vetements :
2tshirt et 2 débardeurs en plus, un collant de running, sous vetements, qu’il m’ait arrivé de jeter à mesure. la veste que je portais. Plus une ceinture (super utile pour fixer la veste sur le sac) et un maillot de cycliste. Le poncho pour la pluie m’a servit de bivouac ac la corde.
hygiène :
savon, gant, brosse à dents et dentifrice, pince à épillé (etre prudent au moindre poil succeptible de s’infecter), des petites lingettes pour les doigts
santé : en homéopathie
arnica, 9ch
ruta graveolens : 5ch pour les inflammations et douleurs tendineuses et ligamentaires, périostes, musculaires
rhus toxicodendron : 5ch/15ch les courbatures raideurs articulaires, fatigue excessives.
mais ça va, pas eu besoin
sédatif pc (ça si quand mm)
Spriuline, ça c’est vraiment bien.
huile d’olive (fait aussi huile de massage, bon pour les muscles)
un sicatrisant pour les brullures (pas eut besoin)
plus pensements, bandes et je crois que c’est tout.
pour dormir :
un sac de couchage ultra léger 700g t confort 12 deg et un dras de soie 125g qui fait gagner 5 deg. (j’aurai pas vraiment du avoir froid)
un tapis de sol (pertes thermiques les plus importantes vers le sol puisque les plumes du duvet sont écrasés).
Et voila, nos besoins fondamentaux sont atteints…
Pour le vélo :
une clef de 10
mini pompe (bien vérifier qu’elle permet d’atteindre une pression suffisante)
rustines
compteur
colliers risant
ficelle
couteau tatout (militaire)
la caméra :
canon FS100
chargeur, batterie supplémentaire et chargeur de la batterie supp…
2 cartes SD
un mini pied
sinon, question sécurité, un portable éteint sans chargeur. une lampe frontale et des sratch jaune réfléchissant qu’on fixe aux bras.
et puis les cartes de toutes les grandes villes avec l’adresse repéré sur la carte d’au moins 3 auberges (plus prudant en ville de dormir en auberge) et aussi la listes des jours férier dans les pays traversé, la moyenne de température pour la saison et… (il m’a fallu faire 5 auberges et 20 km supplémentaire le jour ou je suis arrivé sur Budapest un wd férié…) carte européenne d’assurance maladie + passeport, carte identité, numéro de tels sur papier, indicatifs téléphoniques et adresse des ambassades plus un petit tour à l’assurance.
Pour l’argent, en UE il n’y a pas trop de pb, mm si la Hongrie utilise le Forint. La Serbie, hors UE, le Dinar Serbe.
le reste du sac c’est la bouffe que j’était capable de transporter au jour le jour. J’avais aussi un fond de glucide pour cycliste. Je n’ai pas pesé le sac parce que je ne voulais pas le savoir et puisque de toute façon, son poids changeait chaque jours. Dans tout ce que j’ai pu prendre, j’en ai pris la quantité nécessaire au voyage, pas plus.
non emporté
pas de gillet fluo, pas de chambre de rechange (ne pas confondre un pays ou il y a des vélos et un pays ou il y a des cyclistes), pas de casquette.
Question entrainement, j’ai commencé 4 mois avant :
Premier point, épaissir la peau pour ne pas avoir de macération (il à fait suffisement froid pour que je ne transpire pas significativement)
le wd, je faisait des sorties de 20, 40 bornes, vitesse max sur les bords de la meurthe, et parfois de plus grosses sorties (un 80km Nancy-Metz)
Je pense avoir fait entre 1 et 4 sorties par semaine de 10-15km, souvent de nuit en ville (v moy 12km, forcement ac les trottoirs… un peu de freestyle pour épaissir la peau le plus possible . (Plus course à pied au moins 1 fois par semaine, voir 2).
je comprends aujourd’hui que le mal au dents vient des nuits froides (+fatigue)
Pour le trajet, je voulais faire une section de l’EuroVélo6. Au début, je pensais partir de la foret noir et partir vers Vienne et au fure et à mesure, j’en suis venu à cette portion d’EuroVélo6 qui permettait de faire Belgrade-Budapest-Bratislava-Vienne…
L’anecdote, je me suis transporter un tout petit bouquin que j’aurais quand même mieux fait de donner dans la premiere auberge parce que mm si c’est pas lourd, c’est toujours trop lourd. c’était « préceptes de vie de Mahatma Gandhi » c’est super comme livre parce qu’en une citation de quatre lignes (pas difficile à lire sur un mono) on pourrait réfléchir des heures. Un exemple ? « si nous sommes en possession d’un objet dont nous n’avons aucun besoin, cet objet doit être considéré comme volé, même si, à l’origine, il n’a pas été volé à quelqu’un d’autre. » Gandhi. C’est percutant, tout simplement
et ça permet de ne pas trop se charger
Deux derniers points :
sur la fixation du sac de couchage :
avec deux équerres sur les vis de la protection arriere de la selle, ça fait des trou pour inserrer des cordellettes. à la bases, cordelettes egalment. Il ne touchait pas les jambes et ne ballançait pas.
sur la taille de la roue :
Je ne suis moi mm pas très grand, donc « c’est pas si pire » comme dirait nos amis les québéquois que je cotoie aujourd’hui (je suis en échange à Montréal et ça c’est bon )
Vraiment pas mal pas mal 
et … au niveau de la langue, sa été, nan 
Pour la langue, ça n’a pas été évident, surtout en Serbie.
Demande d’itinéraire
Par exemple, ils m’indiquaient systématiquement l’autoroute ou le bus quand je leur « disaient » que je voulais aller à la grande ville suivante, Novi Sad. (mais si, mais si, j’y vais en mono…la blague ). L’eurovélo6, même si il y avait eut des panneaux, pas sur qu’ils sachent ce que c’est. C’était pas forcement leur soucis.
L’échec du plan B :
L’état de la route et les voitures qui roulent comme chez nous dans les années 90 (et les 6 chiens morts dans le bas côté que j’avais vu en moins de 100 km) m’ont poussé à vouloir m’acheter un vélo pour avancer plus surement jusqu’en Hongrie en fixant le mono dessus. Ca, c’était le plan B. Le plan C, c’était faire du stop…(la bas, 90% des vélos sont du type roue 20" de ville, très vieux). J’ai demandé à plus de 10, 15 personnes et j’ai mm pas réussit.
En fait, le problème venait certainement du fait que j’aurais été à leur place, je ne l’aurais pas vendu non plus, ce qui n’aide pas à ma conviction d’acheteur…Un vélo, mm pourri, c’est super utile et probablement difficilement remplacable. (je sais pas, j’ai pu en discuter…)
J’en ai bien trouvé un, c’était mm un francophone qui me le proposait, 30e un truc que j’aurais refusé d’acheter 10e en France et si à ça on rajoute la différence de niveau de vie…, j’ai beau marchander, c’est celui de son petit fils etc… j’ai pas su évaluer et je suis reparti comme ça… Avec le recul, j’hésite encore, est ce que c’était de l’arnaque? ou est ce que si l’offre est rare les prix augmentent… et puis surtout, j’étais incapable de demander si il y a un férailleur ou si il y a un vendeur de vélo d’occasion ds le coin…
Ville/Campagne
En ville aucun soucis, on trouve tjrs qq qui parle anglais. Le pb c’est qu’a la campagne ceux qui t’aideraient le plus facilement, c’est les personnes agés, mais à moins de dessiner sur un calepin, de mimer une tente, ou de montrer des mots sur une liste de vocabulaire, c’est très très dur (même s’ils ont une bonne volonté).
Après en Hongrie, ou plutôt en UE, j’ai eu moins de pb question langue. Les fleurs aux arbres, l’odeur du printemps et le chant des oiseaux, c’était tout de suite autre chose.
Chapeau bas. J’ai fait pas mal de rando en vélo en Europe de l’Ouest il y a 15 à 20 ans. Avec plein de matos, c’était déjà parfois coton.
Ayant fait pas mal de trekking en autarcie en haute montagne, je sais aussi à quel point il est difficile de faire son sac en sacrifiant tout.
Ajoutons à cela les roues d’Europe de l’Est et le reste.
Vraiment chapeau chapeau chapeau.
Je suis l’heureux nouveau propriétaire de ce monocycle au long cours et notre ami Marc a fait faire là une bête exceptionnelle, faite pour rouler. Légère, pleine d’astuces dont j’essaye de profiter au mieux, que du bonheur.
Je ne peux que confirmer les dires de Marc sur la selle, je viens de faire 4 heures dans les vignobles Gardois avec mon bon vieux short en toile de coton sans aucune préparation et pas une rougeur mal placée au final.
Sur le mono en lui même, c’est comme le signale Marc basé sur une roue de vélo de course semi profilée sur laquelle il est nécessaire d’avoir une valve de 6cm de long, donc dur de trop changer le pneu, je n’ai trouvé que des chambres à air de 700 x 28C avec cette taille de valve.
Je fais actuellement un petit essai avec une valve de 4.5 cm et un pneu 700 x 32C, un peu difficile à gonfler mais c’est vraiment un sacré plaisir, Marc ! Il faut juste s’habituer à rouler avec un pneu gonflé à 5 bars, on sent bien la route. 
Je suis aussi très long d’être aussi bon que notre ami et les routes des vignes sont plutôt escarpées, donc je suis actuellement avec des « grandes » manivelles 
mais faut pas désespérer !